Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa vive inquiétude face à la catastrophe humanitaire en cours au Soudan et a appelé à la fin des hostilités.
Dans le cadre des débats de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur les droits humains et la fistule obstétricale, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et ses partenaires œcuméniques ont appelé les gouvernements à porter une plus grande attention à la prévention de la fistule obstétricale dans leurs politiques, leurs plans stratégiques et leurs budgets.
Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.
Le pasteur Curtiss Paul DeYoung, codirecteur général du Conseil des Églises du Minnesota, aux États-Unis, a participé à la création d’une équipe d’auteurs et autrices chargée de rédiger les ressources de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens de cette année. Il revient sur les défis rencontrés et les espoirs partagés lors de la rédaction commune du texte.
Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay, a dénoncé un attentat à la bombe qui a tué 17 membres de la paroisse de la 8e Communauté des Églises pentecôtistes du Congo le 15 janvier. 39 personnes ont été blessées.
Lorsque le pasteur Frank Chikane était secrétaire général du Conseil des Églises d'Afrique du Sud pour dénoncer les injustices du régime de l'apartheid, son travail s’est poursuivi même après la démolition du bâtiment abritant les bureaux du Conseil dans les années 1980 suite à une bombe. Modérateur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) depuis 2016, le pasteur Frank Chikane s'est engagé dans la lutte contre les injustices dans de nombreuses régions. Le département de communication du COE a demandé au pasteur Frank Chikane de revenir sur son mandat à la commission et sur l'appel permanent des églises à s'attaquer aux injustices dans le monde d'aujourd'hui.
La Commission des Églises pour les affaires internationales (CEAI) du Conseil œcuménique des Églises (COE) a facilité l’engagement des Églises dans un large éventail de questions cruciales pour le monde depuis la dernière Assemblée du COE à Busan. La 58e réunion de la CEAI du COE, qui a rassemblé des représentants des Églises à Johannesburg et en ligne, s’est conclue par la célébration du 75e anniversaire de la création de la Commission.
Cette semaine, la 58e session de la Commission des Églises pour les affaires internationales (CEAI) du Conseil œcuménique des Églises s’ouvre à Johannesburg au rythme chaleureux des percussions sud-africaines pour revenir sur les travaux de la Commission entre les deux Assemblées du COE et aborder l’engagement des Églises dans les grandes questions de notre temps.
Dans l'État de Kaduna, au nord-ouest du Nigeria, les chrétiens font les frais de l'insécurité et de la violence. Des bandits s'attaquent aux maisons, aux villages et aux Églises, tuant des chrétiens et en enlevant d'autres pour obtenir une rançon.
La persécution religieuse, l'ambition territoriale et le nettoyage ethnique sont au cœur de la violence communautaire dans la région, où les communautés se sont installées en fonction de leur religion, selon le pasteur John Joseph Hayab, directeur national de la Global Peace Foundation (Fondation mondiale pour la paix) au Nigeria.
Dans une lettre ouverte et une prière, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a fait part de ses espoirs de paix à la veille du premier sommet entre les présidents américain et russe, qui aura lieu à Genève le 16 juin.
L'entretien suivant avec Benoît et Denise Lokila, de la Fraternité Cana en République démocratique du Congo, fait partie d'une série consacrée à la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens.
Face aux violences qui ont éclaté le 6 janvier à Washington, aux États-Unis, alors que le pays est en proie à des tensions électorales, le secrétaire général intérimaire du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, s’est dit «profondément et vivement préoccupé» par les récents événements.
Tout au long de l'année 2020, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil national des Églises de Corée observent une campagne mondiale de prière baptisée «Nous prions, la paix maintenant, arrêtez la guerre». Dans le cadre de cette campagne, le COE publie divers récits personnels et interviews dont l'objectif est d'encourager les individus à œuvrer pour la paix. C'est le cas des témoignages suivants, recueillis auprès d'anciens combattants américains et disponibles en vidéo.
Un message de paix œcuménique commun a été rendu public à l’occasion du 70e anniversaire de l’éclatement de la guerre de Corée lors d’un événement diffusé en direct le 22 juin. Le message, coparrainé par les Églises et conseils des Églises du monde entier, et plus particulièrement des pays ayant participé à la guerre de Corée, décrit cette dernière comme un «conflit effroyablement destructeur» des suites duquel aucun traité de paix n’a abouti.
Alors qu’elle se réunit cette semaine à Brisbane, en Australie, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été informée des conséquences durables pour les îles du Pacifique des cinquante années d’essais nucléaires dans la région, devenue l’une des zones du monde les plus sensibles aux changements climatiques.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) transmet ses félicitations au Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, lauréat du prix Nobel de la paix 2019. Depuis son élection comme Premier ministre en avril 2018, M. Ahmed a pris la tête d’un impressionnant projet d’incitatives de réformes positives et stimulantes et a joué un rôle décisif dans la réconciliation des deux synodes, tout en favorisant l’unité de l’Église orthodoxe Tewahedo d’Éthiopie. Ce prix reconnaît plus particulièrement son rôle d’impulsion dans la résolution formelle du conflit fratricide qui oppose l’Éthiopie et l’Érythrée depuis vingt ans.
Lors d’un dialogue informel, les leaders religieux ont rencontré des représentants des gouvernements, de la société civile, du monde universitaire et des Nations Unies pour discuter du financement de l’adaptation et des pertes et dommages liés au changement climatique.
L’Appel d’Arusha à vivre en disciples est à la fois exaltant, exigeant, et source de transformation, jusqu’à l’inconfort pour certain-e-s, selon les responsables de la Commission de mission et d’évangélisation (CME) du Conseil œcuménique des Églises (COE) à la conférence de presse et au lancement d’un ouvrage le 20 mai à Helsinki, en Finlande.
Les partenaires du Conseil œcuménique des Églises à Arusha, en Tanzanie, se sont penchés sur les réalités des communautés dont ils sont au service lors d’une rencontre organisée un an après la Conférence mondiale sur la mission et l’évangélisation du Conseil œcuménique des Églises.