Une conférence dédiée à l’eau au service des droits humains et du développement durable se tiendra les 3 et 4 novembre au Palais des Nations à Genève, en Suisse, et en ligne.
Dans une lettre à S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie le 19 avril, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) a exhorté le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu au moins pendant quelques heures lors du service de la Résurrection.»
En réponse à une lettre de la première dame d'Ukraine, Olena Zelenska, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), a exprimé à la fois sa reconnaissance pour ses réflexions franches, et sa douleur face aux conséquences humanitaires du conflit qui ne cessent de s’aggraver.
Dans une lettre adressée à Vladimir Vladimirovitch Poutine, président de la Fédération de Russie, et à Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky, président de l'Ukraine, le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, a exhorté les dirigeants à écouter les cris de leurs propres fidèles.
Le COE met à la disposition de ses Églises membres des ressources et des visages humains pendant la pandémie de COVID-19. Une équipe de huit personnes-ressources a été créée pour répondre aux questions relatives au discernement des Églises sur leur rôle pendant la pandémie de coronavirus, à la manière de s’adapter en tant que communautés d’inspiration religieuse, mais aussi d’interagir et de partager les unes avec les autres.
«Dieu ne reste jamais indifférent aux changements climatiques qui affaiblissent les populations déjà affaiblies, appauvries et dispersées de par le monde», déclare le pasteur Nestor Friedrich, du Brésil, dans son sermon prononcé à la célébration de prière œcuménique du 8 décembre, en l’église évangélique espagnole, à Madrid, dans le cadre de la COP25, le sommet des Nations Unies sur les changements climatiques.
Lors d’un événement prisé et organisé hier après-midi à Stockholm, en Suède, le Réseau œcuménique de l’eau a fait un pas de plus vers la réalisation de l’objectif 6 de développement durable des Nations Unies, en rassemblant des acteurs religieux et les personnes clés du secteur Eau, assainissement et hygiène.
C’est la saison des confirmations au Groenland. Dans les églises du pays, les rangs de bancs sont décorés de fleurs et de bougies le long de l’allée centrale. Il y a de la joie dans l’air et il est temps, pour une grande majorité des jeunes de 14 ans de voir leur baptême chrétien confirmé.
Les voix des plus jeunes raisonneront dans les murs du Centre œcuménique le 21 novembre à Genève dans le cadre des célébrations pour la Journée mondiale de l’enfance, en lien avec d’autres événements impliquant le Conseil œcuménique des Églises (COE) à divers endroits.
Des théologiennes africaines, auteures du livre «There is Something We Long For» (Nous avons un rêve), ont reçu le prix Marga Bührig 2017 lors d'un colloque en fin de semaine, à Bâle, en Suisse, où l’ouvrage a été honoré.
Réunis le 30 août à Stockholm, en Suède, pour la Semaine mondiale de l’eau, des représentantes et représentants de plusieurs communautés et organisations religieuses travaillant dans le domaine de l’eau ont organisé une session pour étudier comment les communautés de foi pouvaient contribuer au sixième objectif de développement durable (ODD): garantir l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement et assurer une gestion durable des ressources en eau.
Les politiques étrangères des gouvernements doivent évoluer et se concentrer sur des enjeux tels que les inégalités à l'origine de conflits dans de nombreuses régions du monde, a déclaré Agnes Abuom, Présidente du Comité central du COE lors d'un forum à Berlin avec le ministre allemand des Affaires étrangères, Sigmar Gabriel.
Le patriarche œcuménique, Sa Toute-Sainteté Bartholomée Ier, a prononcé une allocution au Centre œcuménique, à Genève, le 24 avril dans le cadre de sa visite officielle en Suisse à l’occasion du 25e anniversaire de son élection au Trône œcuménique et du 50e anniversaire du Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique à Chambésy.
Lors de sa participation au Forum économique mondial de Davos (Suisse), qui s’est déroulé du 17 au 20 janvier 2017, le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, a exhorté les dirigeants du monde entier à rendre des comptes à l’humanité au profit de la justice et de la paix pour tous.
Il a été surnommé le «patriarche vert», car cela fait au moins 20 ans qu’il aborde les questions environnementales préoccupantes depuis au moins vingt ans dans son rôle de responsable religieux. En 2008, le magazine Time a classé Sa Toute-Sainteté Bartholomée Ier, patriarche œcuménique, parmi les 100 personnes les plus influentes du monde pour «avoir défini l’écologie comme une responsabilité spirituelle».
Les représentants et représentantes du Conseil œcuménique des Églises (COE) et de l’Église catholique romaine élaborent de nouvelles façons de travailler en commun sur les problèmes contemporains les plus urgents.
Comment la religion et les communautés de croyants peuvent-elles contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable fixés par l’ONU? C’est avec cette question en tête qu’un comité d’experts constitué de représentants et représentantes de différentes religions s’est réuni à l’occasion de la Semaine mondiale de l’eau à Stockholm le 29 août, avec une intervention notable du cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical «justice et paix» au Vatican. Le comité d’experts a par ailleurs été accueilli par l’évêque Thomas Söderberg, de l’Église de Suède.
«De nos jours, heureusement, la religion n’est plus un sujet "tabou" dans les ouvrages consacrés au développement et aux sciences politiques», a déclaré le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), à l’occasion d’une conférence internationale sur la religion et le développement durable.
Le 14 décembre à Rome, lors de la prière du soir de Sant' Egidio, en l'église Santa Maria in Trastevere, le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, a proposé une méditation pour célébrer l'amour et l'espérance en cette période de l'Avent, évoquant plus particulièrement la détresse des milliers de réfugiés et les diverses réactions à la Conférence sur le climat de Paris.
Réunie du 17 au 24 juin, la nouvelle Commission de Foi et constitution du COE a commencé à définir ses principaux axes d’étude œcuménique et d’activités communes pour la période allant de 2015 à la prochaine Assemblée du COE, en 2020.