De retour de leur visite de solidarité en Türkiye, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, et le secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, ont diffusé un entretien vidéo dans lequel ils reviennent sur ce qu’ils ont vu, la manière dont les Églises agissent de concert et leurs propres réflexions sur leur visite qui s’est déroulée pendant la Semaine sainte occidentale, du 4 au 6 avril.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises et de l’Alliance ACT est en Turquie cette semaine pour faire part de la solidarité et du soutien des Églises sur le terrain afin de répondre aux besoins immenses au lendemain du séisme du 6 février.
Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.
Près de deux semaines se sont écoulées depuis le séisme qui a ravagé le nord de la Syrie et la Turquie le 6 février, ôtant la vie à plus de 41 000 personnes. Des milliers de bâtiments se sont également effondrés. Dans plusieurs villes comme Alep, Hama et Lattaquié, plus de 115 écoles ont été détruites.
Des groupes humanitaires et d’inspiration religieuse du monde entier ont lancé des appels à l’aide et à la prière tandis que les interventions s’intensifiaient au lendemain du séisme dévastateur qui a frappé la Syrie et la Turquie le 6 février.
Alors que les communautés en Turquie et en Syrie sont ébranlées par le tremblement de terre qui a emporté au moins 4 300 vies – chiffre qui ne cesse d’augmenter – les Églises ont pris contact avec les personnes touchées et prient pour la sécurité des disparu-e-s.
Du 13 au 20 octobre 2019, l’Alliance œcuménique «agir ensemble» du COE invite une nouvelle fois les Églises du monde entier à une Semaine d’action des Églises pour l’alimentation – une occasion de prier, de réfléchir et d’agir ensemble en faveur de la justice alimentaire à travers le monde.
Le Réseau œcuménique de l’eau (ROE) du Conseil œcuménique des Églises (COE) vous invite à profiter du temps du Carême pour réfléchir à la question de l’eau. Depuis 2008, le ROE propose des réflexions théologiques hebdomadaires et de la documentation sur le thème de l’eau durant les sept semaines du Carême ainsi que pour la Journée mondiale de l’eau, le 22 mars. Cette année, l’attention portera particulièrement sur l’Amérique latine.
«L'Amazonie, le cœur vert de la Terre, pleure et la vie qu'elle entretient dépérit»: c'est par ces mots que commence une déclaration publiée par le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises à l'occasion de sa réunion à Amman, en Jordanie, du 17 au 23 novembre.
Pour Hind Khoury, la question de la justice de l’eau est très simple. Elle est convaincue qu’il n’y a pas de justice de l’eau en Palestine parce que, si l’accès à l’eau potable ou utilisable pour les installations sanitaires existe en Israël, ce n’est pas le cas dans les territoires palestiniens qu’il occupe.
Dans le classement des pays qui disposent de beaucoup d’eau, le Brésil s’inscrit parmi les plus favorisés. Il dispose de 12% des réserves mondiales d’eau douce. Pourtant, pour Magali do Nascimento Cunha, la situation n’est pas aussi brillante des points de vue de la distribution d’eau et de la disponibilité d’installations sanitaires.
À Jérusalem, lors du lancement de la campagne des «Sept semaines pour l’eau», le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises COE, a rappelé que la population palestinienne affronte une crise de l’eau.
Le Réseau œcuménique de l’eau du COE invite ses Églises membres et les personnes qui le soutiennent à mener une réflexion l’eau pendant le carême. Pour beaucoup de gens dans le monde, l’eau est soit quelque chose qui va de soi, soit quelque chose dont on a désespérément besoin.
Sur fond de tensions internationales souvent alimentées par les religions, un groupe composé de jeunes chrétiens, musulmans et juifs a constitué une communauté multireligieuse. Dans le cadre d'un cours d'été interreligieux organisé sous l'égide du COE, cette communauté veut œuvrer à la protection de la création, une préoccupation qui, selon eux, est partagée par toutes les traditions religieuses.