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Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises s’est réuni à Abuja, au Nigéria, du 8 au 14 novembre, dans une volonté de faire avancer la communauté fraternelle le long de son Pèlerinage de justice, de réconciliation et d’unité. 

Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a conclu sa réunion le 14 novembre après une semaine de rassemblement au Nigeria, organisé par les Églises membres et accueilli dans la joie par les communautés locales. 

À l’occasion d’une conférence de presse organisée le 14 novembre à Abuja, au Nigéria, les responsables du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont rappelé l’approche du COE sur certains des plus grands enjeux de notre temps, et la manière dont l’organisation est porteuse d’espérance.

Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE), réuni du 8 au 14 novembre à Abuja, au Nigeria, a publié une déclaration exigeant un cessez-le-feu immédiat et l’ouverture de couloirs humanitaires en Palestine et en Israël.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) est solidaire des Patriarches et des Responsables d’Église à Jérusalem dans leur condamnation des frappes aériennes israéliennes sur le site de Saint-Porphyre de l’Église orthodoxe à Gaza, le 19 octobre.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) condamne l’attaque sur l’un des bâtiments du site de l’église grecque orthodoxe de Saint-Porphyre à Gaza. Ce bâtiment, affilié à l’église, qui est l’une des plus anciennes de Gaza, s’est effondré à cause de l’explosion occasionnée par des missiles israéliens, selon le Patriarcat grec orthodoxe.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est dit révolté et choqué par l’annonce d’une frappe aérienne contre l’hôpital Al-Ahli à Gaza. «Des milliers de Palestinien-ne-s ayant perdu leur logement avaient trouvé refuge à l’hôpital, géré par l’Église anglicane», déclare le secrétaire général du COE, le pasteur Jerry Pillay. «Cette attaque n’est autre qu’une punition collective qui constitue un crime de guerre au titre du droit international».

Le Conseil œcuménique des Églises (COE), en concertation avec les responsables d’Église et les représentant-e-s des organisations chrétiennes palestiniennes au sein du Groupe consultatif du Bureau de liaison de Jérusalem, lance un appel urgent pour une enquête internationale menée par les Nations Unies sur les nombreux crimes de guerre perpétrés contre des civils lors du conflit actuel.

Plus de 1,1 million de Palestinien-ne-s essaient de fuir les secteurs du nord de Gaza visés par l’armée militaire, avant une offensive terrestre prévue une semaine après les attentats sanglants du Hamas contre Israël.

À la suite des affrontements qui ont éclaté le 7 octobre, avec des milliers de roquettes qui auraient été lancées de Gaza sur Israël, une incursion d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël et la réaction militaire israélienne qui s’ensuivit, le Conseil œcuménique des Églises (COE) adapte ses activités en Terre sainte pour pérenniser son soutien aux efforts en faveur d’une paix juste.

Au lendemain des violences brutales qui ont ôté la vie à des milliers de civils innocents, le Conseil œcuménique des Églises (COE) appelle à une nouvelle approche pour régler le conflit en Terre Sainte. 

Les responsables ecclésiaux en Terre Sainte se font entendre à l’unisson pour appeler à la cessation de toutes les activités violentes et militaires qui nuisent aux civils tant palestiniens qu’israéliens.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) suit de près l’évolution de la situation en Israël et en Palestine depuis l’éclatement des hostilités le 07 octobre, à la suite des milliers de tirs de roquette rapportés depuis Gaza sur Israël et de l’infiltration d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël. Le Premier ministre israélien a déclaré que son pays est en guerre.

Une prière œcuménique mondiale organisée par le Conseil œcuménique des Églises (COE) le 18 septembre portait sur la Semaine mondiale pour la paix en Palestine et en Israël et sur le sens de la quête d’un foyer spirituel en Terre Sainte.

Pour Sa Béatitude le Patriarche Théophile III de Jérusalem et de Toute la Palestine, qui s’exprimait lors d’un rassemblement au Conseil œcuménique des Églises à Genève, Bethléem et sa basilique sont des signes d’espérance, non pas uniquement pour une seule communauté ou Église, mais pour toute la famille humaine.