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L’unité est essentielle face aux nouveaux défis de la crise sanitaire en Asie

La pandémie de COVID-19 s’éloigne peu à peu, mais ses profondes répercussions sur la vie des populations, elles, persistent à travers l’Asie et dans le reste du monde. Aux souffrances et pertes tragiques de vies humaines imputées au virus viennent s’ajouter l’isolement social, la récession économique, la flambée du chômage et la hausse de la pauvreté qui minent les espoirs d’un avenir meilleur.

Les étudiant-e-s de Bossey, impliqué-e-s dans la conduite des prières, disent leur espoir «tant que les Églises affichent leur volonté de cheminer ensemble»

Les étudiant-e-s de l’Institut œcuménique de Bossey ont approfondi leur compréhension du mouvement œcuménique en prêtant main-forte à la conduite des prières de la session du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) qui s’est déroulée par visioconférence du 9 au 15 février.

Depuis la pandémie de COVID-19 « nous sommes plus ouverts à la transformation de nous-mêmes », explique le secrétaire général par intérim du COE

Le 20 janvier dernier, le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, a évoqué ses réflexions dans le cadre d’une discussion organisée par l’Institut d’études œcuméniques de l’Université Pontificale Saint-Thomas-d’Aquin de Rome, autour du thème « La pandémie, le Conseil œcuménique des Églises, et la santé mondiale ».

Le Comité exécutif du COE "réimagine l'avenir" animé d’un sentiment d'espoir

Le comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) s'est réuni le 12 novembre - pour la première fois depuis deux ans - et a entamé ses travaux avec le désir de réimaginer l'avenir en identifiant certaines tendances et opportunités nées à la suite à la tragique pandémie de COVID-19. La réunion se déroule de manière hybride à l'Institut œcuménique de Bossey et par vidéoconférence.

Conférence des Églises européennes: «nos sociétés ont besoin de nos prières pour prendre des décisions avisées»

Jørgen Skov Sørensen est le secrétaire général de la Conférence des Églises européennes. Le 26 mars, le COE et les organisations œcuméniques régionales ont publié une déclaration pastorale commune historique qui confirme l’urgence de s’unir pour protéger la vie en pleine pandémie de COVID-19. Le COE a depuis lors rassemblé différents points de vue de diverses régions sur l’importance de prendre soin de notre seule famille humaine.

Le COE appelle à «donner la priorité absolue à la protection de la vie»

Dans une lettre pastorale adressée aux Églises membres et partenaires œcuméniques du COE, le secrétaire général et la présidente du COE, le pasteur Olav Fykse Tveit et Agnes Abuom, appellent toute personne à donner la priorité absolue «à tout ce qui est en notre pouvoir pour protéger la vie» et rappellent que «nous sommes appelé-e-s aujourd’hui à venir toucher le cœur de l’autre par ce que nous disons, ce que nous partageons, ce que nous faisons – et ne faisons pas – pour protéger la vie si chère au cœur de Dieu.»

Pour les étudiants, décider d’étudier à Bossey est «difficile», mais ils quittent l’Institut avec une «famille» et la certitude que «l’unité chrétienne peut être éprouvée»

Les étudiants diplômés de l’Institut de Bossey, niché au creux des montagnes, au bord du lac Léman, reconnaissent qu’il n’est pas facile de prendre la décision d’étudier à l’Institut du COE, mais ils forment désormais une famille, et ont acquis la certitude «que l’unité chrétienne peut être éprouvée».

Répondre aux traumatismes et guérir les blessures

C’est la saison des confirmations au Groenland. Dans les églises du pays, les rangs de bancs sont décorés de fleurs et de bougies le long de l’allée centrale. Il y a de la joie dans l’air et il est temps, pour une grande majorité des jeunes de 14 ans de voir leur baptême chrétien confirmé.