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Le pasteur Frank Chikane : "On ne peut pas faire l'unité au détriment de la justice".

Lorsque le pasteur Frank Chikane était secrétaire général du Conseil des Églises d'Afrique du Sud pour dénoncer les injustices du régime de l'apartheid, son travail s’est poursuivi même après la démolition du bâtiment abritant les bureaux du Conseil dans les années 1980 suite à une bombe. Modérateur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) depuis 2016, le pasteur Frank Chikane s'est engagé dans la lutte contre les injustices dans de nombreuses régions. Le département de communication du COE a demandé au pasteur Frank Chikane de revenir sur son mandat à la commission et sur l'appel permanent des églises à s'attaquer aux injustices dans le monde d'aujourd'hui.

Rev. Frank Chikane: “You can’t do unity at the expense of justice”

When Rev. Frank Chikane was leading the South African Council of Churches in calling out injustices of the apartheid system, their work did not stop even after the council’s office building was bombed to the ground in 1980s. Moderating the Commission of the Churches on International Affairs of the World Council of Churches (WCC) since 2016, Rev. Chikane has been engaged in addressing injustices in many parts of the world. WCC Communication asked Rev. Chikane to look back at his term at the commission and the ongoing calling of churches to address injustices in the world today.

South Africans draw hope despite recurring challenges

Gender-based violence and attacks on foreign nationals in South Africa have left communities wondering where to turn. In a visit of solidarity, a World Council of Churches (WCC) Pilgrim Team visited the nation from 7-12 December.

When you strike the women, you strike a rock

As South Africa grapples with a gender-based violence crisis, president Cyril Ramaphosa is convening, on 18 September, the entire parliament for a special session on how to create a society in which women feel not only safe, but enjoy human rights equal to men. With 52,420 sexual offences reported in the last financial year - and many unreported - hundreds of thousands of people in South Africa are publicly saying “#EnoughIsEnough.” Churches and faith communities are a vocal, visible part of this call for change. Will the momentum grow? Will we stand with the women of South Africa?

Frapper une femme, c’est comme frapper un rocher

Tandis que l’Afrique du Sud se débat avec une crise provoquée par les violences sexistes, le président Cyril Ramaphosa a convoqué l’ensemble du Parlement le 18 septembre pour une session extraordinaire. Le thème: comment créer une société dans laquelle les femmes se sentent non seulement en sécurité, mais bénéficient aussi des mêmes droits fondamentaux que les hommes? Prenant acte des 52 420 infractions sexuelles déclarées au cours du dernier exercice (et beaucoup n’ont pas été signalées), des centaines de milliers de Sud-Africaines et de Sud-Africains affichent leur ras-le-bol. Les Églises et les communautés religieuses occupent une place visible et audible dans cet appel au changement. Le mouvement va-t-il prendre de l’ampleur? Prendrons-nous position aux côtés des Sud-Africaines?

«L'amour triomphera»

Les dirigeants du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont pris la parole autour du thème «L'hospitalité sur le chemin de la paix et de la justice», et ce, à l'occasion d'un symposium organisé le 23 août par l'Université théologique protestante d'Amsterdam.

#WCC70: Les Églises, des «agents de la liberté»

Les minorités blanches ont gouverné trois pays du sud de l’Afrique pendant de nombreuses années, y compris après l’indépendance de la plupart des anciennes colonies africaines. Des guerres sanglantes et acharnées ont fait rage pendant 20 à 30 ans avant que le Zimbabwe (anciennement Rhodésie) et la Namibie (anciennement Sud-Ouest africain) n’obtiennent leur indépendance en 1980 et 1990 respectivement, ainsi qu’avant la prise de pouvoir de la majorité en Afrique du Sud en 1994.