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Des mots de ténacité résonnent dans les décombres

«Nous ne quitterons pas Gaza tant qu’il y aura une église debout.»

«Nous ne serons pas les derniers chrétiens à vivre à Gaza.»

«Nous avons tout perdu, mais nous ne perdrons ni notre mission, ni notre appartenance à ce lieu cher à nos cœurs.»

«Le christianisme a commencé ici et restera ici.» 

Tels sont les mots prononcés par Nader Abu Amsha, directeur exécutif du Département du service aux réfugiés de Palestine du Conseil des Églises du Moyen-Orient (DSPR-CEMO), qui tâche simplement de les aider à survivre jusqu’au lendemain. 

Words of steadfastness ring from the rubble

We won’t leave Gaza as long as there is a standing church.” 

We will not be the last Christians living in Gaza.” “

We lost everything, but we can’t lose our mission and our belonging to this place dear to our hearts.”

Christianity started here and will continue to be here.”  

These are the words people are uttering as Nader Abu Amsha, executive director of Department of Services to Palestinian Refugees of the Middle East Council of Churches (DSPR-MECC), tries to help them simply survive the next day. 

Violence against Palestinians is rising in the West Bank

Despite the war, security concerns, and travel restrictions, the World Council of Churches (WCC) Ecumenical Accompaniment Programme for Palestine and Israel and the WCC Jerusalem Office continue to operate. Ecumenical accompaniers have observed increasing violence against Palestinians in the West Bank since October 7. 

Ecumenical accompanier: “many Palestinians simply want to live a peaceful life”

Siad Ní Bhroin, from the EAPPI UK and Ireland team, served as an ecumenical accompanier in Bethlehem from 31 August to 7 October. The World Council of Churches Ecumenical Accompaniment Program in Palestine and Israel, based on an appeal from local church leaders to create an international presence in the country, accompanies the local people and communities, offering a protective presence and witnessing daily struggles and hopes. Below, a reflection on what she witnessed while in the field.

Les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques aident les populations à se sentir plus en sécurité en Palestine et en Israël

«Les militaires sont parti-e-s parce que vous regardiez.»

«Je peux faire paître mon troupeau près de la base militaire parce que je me sens en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques, et les colons me harcèlent moins quand vous êtes ici, à proximité.»

«Nous nous sentons en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.»

À Jérusalem-Est, «les gens doivent comprendre ce qui se passe lorsque des colonies sont construites»

Pour les 380 000 Palestiniens qui vivent à Jérusalem-Est, la vie quotidienne est souvent entachée d'inégalités dans des domaines aussi variés que le logement, les services de santé, la garde d'enfants et même le ramassage des ordures. Bien que les Palestiniens représentent 39% de la population de la ville, il existe de nombreuses disparités dans les services qu'ils reçoivent.

La zone E1, terre de promesses futures ou rêve brisé pour la Palestine?

Jad Issac a tendance à penser avec les chiffres. S’agissant des territoires de Cisjordanie situés aux abords de Jérusalem et de la vallée du Jourdain, aussi connus sous le nom de zone E1, J. Issac fait face à un chiffre très élevé: une perte de 2 milliards de dollars par an pour les Palestiniens et Palestiniennes contre la possibilité de gagner net le même montant, de rembourser des dettes et d’aider à son tour des pays plus pauvres. Cette somme astronomique correspond à des opportunités touristiques perdues en raison des difficultés d’accès à la zone E1, à la vallée du Jourdain et à la mer Morte, d’après l’étude sur le coût économique de l’occupation menée par l’institut de recherches appliquées de Jérusalem.

E1 land holds future promise for Palestinians—but will those dreams be shattered?

Dr Jad Issac tends to think in numbers. When it comes to the land in the West Bank on the outskirts of Jerusalem and the Jordan Valley—known simply as E1— Issac is weighing a stark figure: a loss of $2 billion a year for Palestinians versus the ability to net the same amount of revenue, pay off debts, and, in turn, help poorer countries.  The astronomical figure amounts to lost tourism opportunities due to the lack of access to E1, Jordan Valley, and the Dead Sea—as per the Economic Cost of the Occupation Study done by the Applied Research Institute of Jerusalem.