La pandémie de COVID-19 s’éloigne peu à peu, mais ses profondes répercussions sur la vie des populations, elles, persistent à travers l’Asie et dans le reste du monde. Aux souffrances et pertes tragiques de vies humaines imputées au virus viennent s’ajouter l’isolement social, la récession économique, la flambée du chômage et la hausse de la pauvreté qui minent les espoirs d’un avenir meilleur.
La pasteure Kelli Jolly, à l’instar de nombreuses personnes aux Bahamas, est habituée à vivre avec le possible passage de multiples ouragans, année après année. Elle officie en tant que presbytérienne itinérante pour l’Église méthodiste des Caraïbes et des Amériques, le district des îles Bahamas/Turques et Caïque, et le circuit ecclésial de Nassau.
Il y a trente ans, l’équipe fondatrice de la Décennie œcuménique des Églises solidaires des femmes cherchait des moyens non seulement d’aider les femmes de toute la planète à réclamer justice, mais aussi de mettre en exergue ce qu’elles apportaient aux Églises et au monde.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.