Une participation importante des femmes dans la résolution des conflits et l’édification de la paix est bénéfique pour atteindre une paix plus durable. Telle est la conclusion d’une table ronde d’artisanes de la paix, qui s’est tenue après la projection d’un documentaire portant sur l’initiative de 2015 «Women Cross the DMZ».
Une compilation des articles les plus lus parmi ceux publiés par le Conseil œcuménique des Églises (COE) révèle une communauté mondiale axée sur un avenir meilleur, malgré les graves difficultés auxquels le monde a été confronté en 2021.
S’il se trouve dans le monde quelque chose comme l’esprit d’humanité et qui évoque la volonté de Dieu en faveur de la paix et de la justice pour tous, alors l’équipe des pèlerins qui s’est rendue au Soudan du Sud cette semaine l’a rencontré.
L'Église doit être un lieu sûr où les pécheurs sont encouragés à apprendre et à changer, mais aussi où les personnes meurtries peuvent partager leurs souffrances et trouver refuge, a déclaré Maria Dous, une étudiante égyptienne en médecine. En juillet dernier, elle a participé à un séminaire organisé par le Réseau œcuménique d'autonomisation de la femme panafricaine (ROAFP).
Alors que le monde célèbre le 15e anniversaire de l’adoption à l’unanimité de la Résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité, le COE participera du 28 au 30 octobre à un forum pour la paix à New York visant à célébrer les acquis de la résolution et à définir la stratégie de soutien et de mobilisation des femmes et des hommes pour mieux assurer son application.
Le nouveau Comité central du Conseil œcuménique des Églises tout récemment élu, fort de 150 membres, a pris une décision historique vendredi en élisant à sa présidence Mme Agnes Abuom, de Nairobi, membre de l’Église anglicane du Kenya, qui accède ainsi à la tête de l’organe directeur suprême du COE.