Les évêques de l’Église de Suède ont publié une nouvelle lettre sur l’urgence climatique qui associe des connaissances scientifiques, un accompagnement pastoral, la théologie et des appels spécifiques.
Lors d’un événement prisé et organisé hier après-midi à Stockholm, en Suède, le Réseau œcuménique de l’eau a fait un pas de plus vers la réalisation de l’objectif 6 de développement durable des Nations Unies, en rassemblant des acteurs religieux et les personnes clés du secteur Eau, assainissement et hygiène.
Cinquante ans après son assemblée à Uppsala (Suède), qui était résolument tournée vers l’engagement public, le Conseil œcuménique des Églises (COE) continue de s’engager et de s’atteler aux questions d’intérêt public et au bien commun.
Dans le cadre de ses efforts renouvelés pour interdire les armes nucléaires, le Conseil œcuménique des Églises a déclaré publiquement soutenir la pétition de la Polynésie française adressée aux Nations Unies demandant réparation pour les effets persistants des essais nucléaires qui s’y sont produits.
Citant les dernières études des Nations Unies, le COE a tiré la sonnette d’alarme concernant les mesures à prendre immédiatement pour éviter ou atténuer les pires incidences des changements climatiques.
«Nous nous réjouissons de travailler en étroite collaboration avec vous pour répondre aux espoirs et aux besoins des personnes du monde entier dans la gloire du seul Dieu», déclare le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE) dans un message de salutation adressé à Birgitte Qvist-Sørensen, élue présidente du Comité directeur d’ACT Alliance le 31 octobre à Uppsala, Suède.
Il y a trente ans, l’équipe fondatrice de la Décennie œcuménique des Églises solidaires des femmes cherchait des moyens non seulement d’aider les femmes de toute la planète à réclamer justice, mais aussi de mettre en exergue ce qu’elles apportaient aux Églises et au monde.
Le patriarche œcuménique, Sa Toute-Sainteté Bartholomée Ier, a prononcé une allocution au Centre œcuménique, à Genève, le 24 avril dans le cadre de sa visite officielle en Suisse à l’occasion du 25e anniversaire de son élection au Trône œcuménique et du 50e anniversaire du Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique à Chambésy.
Il a été surnommé le «patriarche vert», car cela fait au moins 20 ans qu’il aborde les questions environnementales préoccupantes depuis au moins vingt ans dans son rôle de responsable religieux. En 2008, le magazine Time a classé Sa Toute-Sainteté Bartholomée Ier, patriarche œcuménique, parmi les 100 personnes les plus influentes du monde pour «avoir défini l’écologie comme une responsabilité spirituelle».
Comment la religion et les communautés de croyants peuvent-elles contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable fixés par l’ONU? C’est avec cette question en tête qu’un comité d’experts constitué de représentants et représentantes de différentes religions s’est réuni à l’occasion de la Semaine mondiale de l’eau à Stockholm le 29 août, avec une intervention notable du cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical «justice et paix» au Vatican. Le comité d’experts a par ailleurs été accueilli par l’évêque Thomas Söderberg, de l’Église de Suède.
En tant que responsable des politiques de Christian Aid, un des principaux membres de l'alliance ACT, Alison Kelly garde un œil sur les tendances clés de la voix prophétique de l'Église, pour qui l'année 2015 est chargée.