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La délégation du COE en visite en Syrie, exprime sa solidarité avec celles et ceux qui «restent avec détermination dans leur pays»

Le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, s’est rendu en Syrie, aux côtés du secrétaire général du Conseil des Églises du Moyen-Orient (MECC), Michel Abs, du secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, et du conseiller principal du COE pour la consolidation de la paix, Michel Nseir.

ÖRK-Delegation erklärt sich beim Besuch in Syrien solidarisch mit Menschen, „die unerschütterlich in ihrem Land bleiben“

Gemeinsamer Syrien-Besuch des geschäftsführenden Generalsekretärs des Ökumenischen Rats der Kirchen (ÖRK), Priester Prof. Dr. Ioan Sauca, mit dem Generalsekretär des Kirchenrats des Nahen Ostens, Dr. Michel Abs, und dem Generalsekretär von ACT Alliance, Rudelmar Bueno de Faria, sowie dem ÖRK-Programmreferenten zur Friedensarbeit, Michel Nseir.

Erneute Forderung des ÖRK nach Freilassung der Erzbischöfe von Aleppo

Der geschäftsführende Generalsekretär des Ökumenischen Rates der Kirchen, Priester Prof. Dr. Ioan Sauca, wiederholte die Forderungen nach der Freilassung von zwei syrischen Erzbischöfen, dem syrisch-orthodoxen Erzbischof Johanna Ibrahim und dem griechisch-orthodoxen Erzbischof Bulos Jasidschi, die im April 2013 in der Nähe von Aleppo entführt worden waren.

Le COE renouvelle son appel à la libération des archevêques d’Alep

Le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises, a réitéré les appels à la libération de deux hiérarques syriens, l’archevêque syrien orthodoxe Yohanna Ibrahim et l’archevêque grec orthodoxe Paul Yazigi, enlevés en avril 2013 près d’Alep, en Syrie.

Assyrischer Priester: Zum dritten Mal keine Weihnachtsglocken in Mosul

Priester Emanuel Youkhana bedauert, dass schon zum dritten Mal in Folge zum Weihnachtsfest in Mosul keine Kirchenglocken läuten werden. Er erinnert daran, dass religiöse Minderheiten wie Jesiden und Christen, die in der Nähe der zweitgrößten irakischen Stadt leben, seit Juni 2014 unter fürchterlichen Angriffen der Gruppe zu leiden hatten, die sich selbst Islamischer Staat nennt.

«Les cloches de Noël ne sonneront pas à Mossoul» cette année encore, affirme un prêtre assyrien

Le père Emanuel Youkhana déplore que, pour le troisième Noël d’affilée, les cloches de l’église ne retentiront pas à Mossoul. Aux alentours de juin 2014, raconte-t-il, les minorités religieuses telles que les yézidis et les chrétiens installés autour de la deuxième ville d’Irak ont commencé à subir les atroces assauts du groupe qui se fait appeler l’État islamique, ou Daesh, en arabe.

Studie: Religiöse und ethnische Vielfalt entscheidend für Frieden im Irak und in Syrien

Der Ökumenische Rat der Kirchen (ÖRK) und das norwegische Hilfswerk Norwegian Church Aid (NCA) haben eine neue Studie zu Schutzbedürfnissen religiöser und ethnischer Minderheiten in Syrien und im Irak vorgelegt, in der Bemühungen zum Schutz religiöser Minderheiten und zur Friedensarbeit in diesen zwei Ländern analysiert werden. Die Ergebnisse dieser Studie wurden am 12. Dezember am Sitz der Vereinten Nationen in Genf der Öffentlichkeit vorgestellt.

Une étude affirme que la diversité religieuse et ethnique est cruciale pour la paix en Irak et en Syrie

Une étude sur les besoins de protection des minorités religieuses et ethniques en Syrie et en Irak, analysant les efforts à mener pour protéger les minorités religieuses et consolider la paix dans la région, a été présentée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Aide de l’Église norvégienne (NCA). Les conclusions de l’étude ont été annoncées le 12 décembre aux médias et au grand public au Palais des Nations, à Genève.

Aus dem Dunkeln heraus

In Lalisch gehen Frauen langsam in ihrem Heiligtum umher. Einige haben ihre Kinder bei sich. Sie sind aus dem Flüchtlingslager geholt worden, um zur heiligen Stätte der Jesiden zu gehen, die in den Bergen im Nordirak liegt, unweit von Dohuk. Alle sind zunächst ruhig, und jeder passt auf, nicht auf die Schwelle des Tempels zu stehen.

Sorties des ténèbres

Des femmes font lentement le tour de leur sanctuaire à Lalesh. Certaines sont accompagnées de leurs enfants. Elles ont été conduites d’un camp de réfugiés jusqu’au lieu saint des yézidis, situé dans les montagnes au nord de l’Irak, du côté de Dohuk. Au départ, elles sont toutes silencieuses, et chacune veille à ne pas marcher sur le seuil du temple.

Gelähmt durch Schock

Madeline, 14, und ihre Schwester Sabrine, 16, sind beide an den Beinen gelähmt. „Sie wurden durch den Schock gelähmt. Etwas passierte in ihrem Nervensystem“, sagte Vater Mohammad. Die Familie war in Darʿā, im Süden Syriens, in ein Kreuzfeuer geraten. Sohn Souay, 3, wurde von einer Bombe getötet. Da entschieden sie zu fliehen. Während ihrer Flucht fielen unaufhörlich Bomben.

Paralysées par le choc

Madeline, 14 ans, et sa sœur Sabrine, 16 ans, sont toutes les deux paralysées des jambes. «Le choc les a paralysées, explique leur père Mohammad. Quelque chose a perturbé leur système nerveux.» La famille s’est retrouvée piégée dans des tirs croisés à Daraa, dans le sud de la Syrie. Leur fils Louay, 3 ans, a été tué par une bombe. C’est à ce moment-là qu’ils ont décidé de s’enfuir. Les bombes n’ont pas cessé de pleuvoir pendant leur fuite.

Vertrieben

Der IS griff um vier Uhr morgens an. Im kleinen Dorf Tel Hermes waren nur noch Männer verblieben, um zu versuchen, das Dorf zu verteidigen. Auch die älteren Menschen waren noch da. Sie alle wurden jetzt im Schlafanzug vom IS hinausgezerrt. Von etwa 30 Männern wurde die Hälfte getötet. Einer von ihnen war der Elektriker Fouad Younan.

Expulsés

L’État islamique a attaqué à quatre heures du matin. À Tel Hermes, seuls les hommes sont restés pour tenter de défendre le petit village. Les personnes âgées étaient restées elles aussi. Mais l’État islamique a poussé tout le monde dehors, en pyjama. Sur une trentaine d’hommes, la moitié ont été tués. Fouad Younan, électricien, fait partie des victimes.

Flucht aus einem Land, nicht in ein Land

„Die europäischen Länder sind heute mit Tausenden von Menschen konfrontiert, die aus Syrien und anderen vom Krieg verwüsteten Regionen in Länder geflüchtet sind, über die sie meistens nur sehr wenig wissen. Die Aufnahme solcher Menschenmengen stellt uns vor enorme Herausforderungen. Wie wir mit der Flüchtlingskrise umgehen, und nicht zuletzt auch mit dem Eingliederungs- und Integrationsprozess, wird von größter Bedeutung sowohl für unsere zukünftige Einstellung gegenüber Flüchtlingen und Asylsuchenden als auch für die langfristige Stabilität und Überlebensfähigkeit unserer eigenen Gesellschaften sein“, sagte Knut Vollebaek, Botschafter und früherer norwegischer Außenminister während seiner Rede auf der Genfer ÖRK-UN-Konferenz über die Flüchtlingskrise am 18. und 19. Januar.

Ils fuient de quelque part et non vers quelque part

«Ces temps-ci, les pays d’Europe sont confrontés à des milliers de réfugiés qui ont fui la Syrie et d’autres pays déchirés par la guerre pour aller vers des lieux dont, en général, ils ne savent pas grand-chose. Recevoir des foules aussi importantes crée d’énormes difficultés. La manière dont nous gérons la crise des réfugiés, et tout particulièrement le processus d’installation et d’intégration, seront de la plus grande importance, tant pour ce qui est de l’attitude envers les réfugiés et les demandeurs d’asile à l’avenir que pour la stabilité et la viabilité à long terme de nos propres sociétés», a déclaré Knut Vollebaek, ambassadeur et ancien ministre norvégien des Affaires étrangères dans son discours à la conférence du COE et de l’ONU sur la crise des réfugiés en Europe qui s’est tenue à Genève les 18 et 19 janvier.