La communauté fraternelle mondiale, par la voix du secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay, exprime de vives inquiétudes face à la récente escalade de la violence au Moyen-Orient dans le sillage de la première confrontation directe entre l’Iran et Israël.
Alors qu’une année de conflit exceptionnel et croissant touche à sa fin et que nous prions pour la paix pour toutes et tous en 2024, «cette perspective semble particulièrement lointaine pour la population de Gaza, en souffrance et traumatisée», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE).
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE), réuni du 8 au 14 novembre à Abuja, au Nigeria, a publié une déclaration exigeant un cessez-le-feu immédiat et l’ouverture de couloirs humanitaires en Palestine et en Israël.
Des ressources, réflexions, prières et autres textes sont désormais disponibles pour aider les Églises et toutes les personnes de bonnes volontés à célébrer la Semaine mondiale pour la paix en Palestine et Israël, du 16 au 23 septembre 2023.
À l’occasion des commémorations du 75e anniversaire de ce que les Palestinien-ne-s appellent la Nakba, «la catastrophe», le déracinement de centaines de milliers de personnes à la création d’Israël en 1948, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa solidarité avec les Églises membres en Terre sainte.
De retour de leur visite de solidarité en Türkiye, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, et le secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, ont diffusé un entretien vidéo dans lequel ils reviennent sur ce qu’ils ont vu, la manière dont les Églises agissent de concert et leurs propres réflexions sur leur visite qui s’est déroulée pendant la Semaine sainte occidentale, du 4 au 6 avril.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises et de l’Alliance ACT est en Turquie cette semaine pour faire part de la solidarité et du soutien des Églises sur le terrain afin de répondre aux besoins immenses au lendemain du séisme du 6 février.
Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.
Le 7 mars, les participant-e-s à la réunion «Living Together» (Vivre ensemble) à Bagdad, représentant divers groupes religieux et ethniques du pays, se sont entretenu-e-s avec le président irakien, Son Excellence Abdullatif Jamal Rashid, pour lui faire part de leurs préoccupations et des difficultés posées à la diversité religieuse et ethnique en Irak.
Lors de l’ouverture de «Living Together», qui s’est déroulée à Bagdad le 6 mars, des responsables religieux et ethniques d’Irak ont célébré la diversité et abordé avec franchise les entraves à une citoyenneté inclusive. Des représentant-e-s des organes exécutifs et législatifs irakiens, des agences des Nations unies et de différentes ambassades ont également participé à cet événement.
Le 22 mars prochain, une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un communiqué publié par le comité de planification de la prière explique que les chrétien-ne-s sont appelé-e-s à s’unir dans la prière et à défendre la paix. «Dans un contexte mondial pris d’assaut par la guerre et la violence, la pratique de la paix est devenue plus urgente que jamais», précise le texte.
Près de deux semaines se sont écoulées depuis le séisme qui a ravagé le nord de la Syrie et la Turquie le 6 février, ôtant la vie à plus de 41 000 personnes. Des milliers de bâtiments se sont également effondrés. Dans plusieurs villes comme Alep, Hama et Lattaquié, plus de 115 écoles ont été détruites.
Des groupes humanitaires et d’inspiration religieuse du monde entier ont lancé des appels à l’aide et à la prière tandis que les interventions s’intensifiaient au lendemain du séisme dévastateur qui a frappé la Syrie et la Turquie le 6 février.
Alors que les communautés en Turquie et en Syrie sont ébranlées par le tremblement de terre qui a emporté au moins 4 300 vies – chiffre qui ne cesse d’augmenter – les Églises ont pris contact avec les personnes touchées et prient pour la sécurité des disparu-e-s.
Le 24 novembre, le président palestinien Mahmoud Abbas a officiellement reçu le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, pour une réunion visant à discuter de la paix juste en Palestine et en Israël.
Le Comité consultatif de liaison du COE à Jérusalem s’est réuni pour la première fois à Jérusalem sous la conduite du secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, pour préparer l’avenir.
Le Conseil œcuménique des Églises et ses partenaires ont coorganisé un événement parallèle à la COP27 sur le thème «Une promesse à tenir: s’assurer de répondre aux besoins en adaptation actuels et à venir».
Lors d’une prière œcuménique, des personnes de nombreuses confessions se sont réunies pendant la COP27 pour se confesser, exprimer leur déploration et formuler leur espoir en l’avenir.
Le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises, le père Ioan Sauca, a lancé un appel urgent à la fin de la violence à Jérusalem, après que, le 14 août, huit personnes ont été blessées dans une fusillade visant un bus.
Le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, s’est rendu en Syrie, aux côtés du secrétaire général du Conseil des Églises du Moyen-Orient (MECC), Michel Abs, du secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, et du conseiller principal du COE pour la consolidation de la paix, Michel Nseir.