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Des mots de ténacité résonnent dans les décombres

«Nous ne quitterons pas Gaza tant qu’il y aura une église debout.»

«Nous ne serons pas les derniers chrétiens à vivre à Gaza.»

«Nous avons tout perdu, mais nous ne perdrons ni notre mission, ni notre appartenance à ce lieu cher à nos cœurs.»

«Le christianisme a commencé ici et restera ici.» 

Tels sont les mots prononcés par Nader Abu Amsha, directeur exécutif du Département du service aux réfugiés de Palestine du Conseil des Églises du Moyen-Orient (DSPR-CEMO), qui tâche simplement de les aider à survivre jusqu’au lendemain. 

Stimmen der Standhaftigkeit inmitten der Zerstörung

„Wir werden Gaza nicht verlassen, so lange dort noch eine Kirche steht.“

„Wir werden nicht die letzten Christen sein, die in Gaza leben.“

„Wir haben alles verloren, aber wir können unsere Mission und unsere Zugehörigkeit zu diesem Ort, der uns so sehr am Herzen liegt, niemals aufgeben.“

„Das Christentum ist hier entstanden, und es wird auch hier bleiben.“  

Diese Worte hört Nader Abu Amsha, Direktor der Abteilung für Soziale Dienste für Palästinensische Geflüchtete des Rates der Kirchen im Nahen Osten (DSPR-MECC), von den Menschen, die er in ihrem Überlebenskampf zu unterstützen versucht.

Conversation avec Christiane Ehrengruber: le pouvoir de la prière et de l’identité

Rencontre avec Christiane Ehrengruber, 27 ans, professionnelle de la communication numérique et des réseaux sociaux pour la Evangelische Mission Weltweit (Mission évangélique mondiale) en Allemagne. Forte d’un bagage en théologie protestante et d’expériences bénévoles dans la politique universitaire et l’œcuménisme international, les réflexions d’Ehrengruber sur l’importance de la prière, le thème de l’unité chrétienne et les défis auxquels les Églises sont confrontées nous livrent une perspective unique pour vivre sa foi dans le monde actuel.

Im Gespräch mit Christiane Ehrengruber: Potenzial von Gebet und Identität aufzeigen

Christiane Ehrengruber ist 27 Jahre alt und arbeitet für die Evangelische Mission Weltweit in Deutschland im Bereich digitale Kommunikation und soziale Medien. Sie hat evangelische Theologie studiert und sich ehrenamtlich in der Hochschulpolitik und der internationalen Ökumene engagiert. Ihre Gedanken zur Bedeutung von Gebet, der Einheit aller christlichen Gläubigen und den Herausforderungen, mit denen die Kirchen konfrontiert sind, liefern einen einzigartigen Blickwinkel auf die Bedeutung von Religion in unserer heutigen Welt.

Kinder fordern auf dem Gipfel für einen Neuen Globalen Finanzpakt vehement: „Ersetzt das bestehende koloniale Wirtschaftsmodell“

Kinder, die sich im Vorfeld und während des Gipfeltreffens für einen Neuen Globalen Finanzpakt am 22. und 23. Juni in Paris versammelt haben, überbrachten Präsident Macron und den Staats- und Regierungschefs aus aller Welt eine eindeutige Botschaft: Das bestehende koloniale Wirtschaftsmodell muss durch ein System ersetzt werden, in dem die Menschlichkeit wichtiger ist als der Profit.

Le cri de ralliement des enfants lors du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial: «remplacez le modèle économique colonial actuel»

Les enfants qui se sont réuni-e-s avant et pendant le Sommet pour un nouveau pacte financier mondial, organisé les 22 et 23 juin à Paris, ont adressé un message clair au président Macron et aux dirigeant-e-s du monde entier: le modèle économique colonial actuel doit être remplacé par un modèle qui fait passer l’humanité avant les profits.

Un conseiller de l’ONU recommande la vigilance pour éviter des situations comme le génocide au Rwanda ou la guerre en Ukraine

Il faut faire preuve de vigilance pour aider les peuples à s’accepter mutuellement, et ainsi éviter des aberrations telles que le génocide au Rwanda en 1994 et la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine. Tel est le message qu’un conseiller spécial de l’ONU a transmis à un groupe réunissant des jeunes de religion chrétienne, juive et musulmane.

Geistige Wegzehrung bekommen wir, „wenn wir Menschlichkeit praktizieren“, sagt Mama Shamsa

Eine Frau, die mit jungen Menschen in Kenia arbeitet – meistens junge Männer, die einmal schreckliche Verbrechen begangen haben –, hat eine Gruppe junger Menschen christlichen, jüdischen und muslimischen Glaubens zu Tränen des Mitgefühls und der Freude gerührt, als sie über ihre harte Erziehung berichtete und wie sie junge Erwachsene dabei unterstützt, der Gewalt zu entsagen und sich der Gemeinschaft zuzuwenden.

Pour Mama Shamsa, l’humanité nourrit la spiritualité

Une femme qui travaille avec des jeunes au Kenya — des jeunes qui jadis ont perpétré des crimes odieux — a fait fondre en larmes un groupe de jeunes chrétiens, juifs et musulmans; des larmes de compassion et de joie suscitées par son parcours marqué par une éducation dure et ses efforts pour détourner ces jeunes de la criminalité et les réinsérer dans la communauté.

Chrétiens et chrétiennes du Moyen-Orient: «Nous portons la croix avec dignité et espoir»

«Nous portons la croix avec dignité et espoir» C’est par ces mots que les chrétien-ne-s du Moyen-Orient ont, lors de la réunion du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE), ouvert leur témoignage sur les fardeaux et des difficultés – mais aussi la résilience – qu’ils et elles rencontrent au quotidien sur la terre où est né le christianisme. 

Les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques aident les populations à se sentir plus en sécurité en Palestine et en Israël

«Les militaires sont parti-e-s parce que vous regardiez.»

«Je peux faire paître mon troupeau près de la base militaire parce que je me sens en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques, et les colons me harcèlent moins quand vous êtes ici, à proximité.»

«Nous nous sentons en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.»

Ökumenische Begleitpersonen helfen Menschen in Palästina und Israel, sich sicherer zu fühlen

„Die Soldatinnen und Soldaten gingen weg, weil ihr hingesehen habt.“

„Ich kann meine Schafherde nahe der Militärbasis weiden, weil ich mich in Anwesenheit der ökumenischen Begleitpersonen sicher fühle und die Schikanierung durch Siedlerinnen und Siedler viel weniger ist, wenn ihr da seid.“

„Wir fühlen uns sicher, wenn die ökumenischen Begleitpersonen da sind.“