Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.
Après le terrible tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie le 6 février dernier, les président-e-s du Conseil des Églises du Moyen-Orient ont convoqué une réunion d’urgence pour aborder la catastrophe et les moyens d’intervention.
Le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, s’est rendu en Syrie, aux côtés du secrétaire général du Conseil des Églises du Moyen-Orient (MECC), Michel Abs, du secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, et du conseiller principal du COE pour la consolidation de la paix, Michel Nseir.
Dans le cadre du rapprochement avec les Églises membres au Liban, une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) s'est rendue à Beyrouth, le 7 juillet. Elle y a rencontré des responsables d’églises ainsi que le Conseil des Églises du Moyen-Orient, dans le but d'entendre et de transmettre un message en vue de la 11e Assemblée du COE, qui se tiendra à Karlsruhe (Allemagne), du 31 août au 8 septembre.
Le 5 avril, un colloque sur les activités programmatiques relatives à la Syrie que mène le Conseil œcuménique des Églises (COE) depuis de longues années a permis à la direction et au personnel de l’organisation de rencontrer des représentants des Églises membres syriennes. Le colloque était organisé à l’Institut œcuménique de Bossey à l’initiative du secrétaire général par intérim du COE, le père Ioan Sauca.
Le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises, a réitéré les appels à la libération de deux hiérarques syriens, l’archevêque syrien orthodoxe Yohanna Ibrahim et l’archevêque grec orthodoxe Paul Yazigi, enlevés en avril 2013 près d’Alep, en Syrie.
Le secrétaire général du Conseil des Églises du Moyen-Orient, le professeur Dr Michel Abs, a accueilli le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, le 14 décembre au siège du Secrétariat général du Conseil des Églises du Moyen-Orient à Beyrouth. Le président de l'Union évangélique nationale au Liban et président du Conseil pour la famille évangélique, S.E. le Révérend Dr Habib Badr, ainsi que l'équipe du Secrétariat général à Beyrouth, ont également reçu le père Sauca.
Le 15 décembre, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) a rendu visite à Sa Béatitude Jean X, patriarche de l'Église orthodoxe grecque d’Antioche et de tout l’Orient, à sa résidence de Balamand, au Liban.
Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Olav Fykse Tveit, a exprimé sa profonde préoccupation pour les droits et le bien-être des personnes au Liban.
La vocation suprême des Églises au Moyen-Orient et de leurs partenaires à travers le monde est de rétablir la dignité humaine là où les êtres humains souffrent le plus. C’est ce qu’ont affirmé le Conseil des Églises du Moyen-Orient et ses partenaires, rassemblés cette semaine à Ain el-Qassis (Liban) pour leur réunion annuelle.
Le département des nouvelles du COE s’est entretenu avec l’archimandrite Alexi Chehadeh, responsable du département des relations œcuméniques et de développement du Patriarcat orthodoxe grec d’Antioche et de tout l’Orient à Damas, en Syrie. Le père Alexi est un modèle et un pacificateur remarquable.
Le secrétaire général du COE, le pasteur Olav Fykse Tveit, a organisé un déjeuner le 12 décembre en signe de gratitude pour les services rendus par l’envoyé spécial des Nations Unies pour la Syrie, Staffan de Mistura, au Château de Bossey, aux côtés de l’ambassadrice Heidi Grau, cheffe de la Division sécurité humaine du Département fédéral suisse des affaires étrangères, et des équipes de l’ONU et du COE pour la Syrie.
À l’occasion d’une conférence mondiale sur la xénophobie organisée à Rome, un panel de quatre responsables religieux respectivement de tradition bouddhiste, chrétienne, hindoue et islamique, se sont exprimés ouvertement sur la manière dont la xénophobie peut parfois être profondément ancrée dans le tissu de ces traditions.
Le 20 mars, le programme unique visant à donner des moyens d’action aux jeunes Syro-Arméniens ayant fui le conflit syrien et s’étant installés en Arménie a été lancé à Erevan. Grâce à des formations, à des actions de développement des compétences et à des activités communes, le projet veut renforcer les relations entre les jeunes Syriens et les jeunes Arméniens locaux.
Dans une déclaration du 26 février, le COE a exprimé sa consternation devant l’escalade dramatique des actions militaires contre des civils dans la Ghouta à l'Est de Damas, en Syrie.
Á la suite d’informations rapportant une odieuse attaque par armes chimiques dans le gouvernorat d’Idlib en Syrie, le Secrétaire général du COE, le pasteur Olav Fykse Tveit, a réclamé un changement culturel dans cette région. Il a également dit sa profonde sympathie envers les familles des victimes.
Le père Emanuel Youkhana déplore que, pour le troisième Noël d’affilée, les cloches de l’église ne retentiront pas à Mossoul. Aux alentours de juin 2014, raconte-t-il, les minorités religieuses telles que les yézidis et les chrétiens installés autour de la deuxième ville d’Irak ont commencé à subir les atroces assauts du groupe qui se fait appeler l’État islamique, ou Daesh, en arabe.
Une étude sur les besoins de protection des minorités religieuses et ethniques en Syrie et en Irak, analysant les efforts à mener pour protéger les minorités religieuses et consolider la paix dans la région, a été présentée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Aide de l’Église norvégienne (NCA). Les conclusions de l’étude ont été annoncées le 12 décembre aux médias et au grand public au Palais des Nations, à Genève.
Tarek Mitri sait que son identité de chrétien influence le regard que les gens lui portent. Cet universitaire libanais, dont la carrière a couvert la politique, la diplomatie et une période passée parmi le personnel du Conseil œcuménique, sait gérer les réactions des gens qui ont des idées toutes faites à propos de ce qu’il va dire, ou devrait dire sur les questions publiques.
La guerre, le conflit ethnique, des millions de réfugiés, une situation humanitaire qui se dégrade, la discussion sur le Moyen-Orient se déroule dans un contexte sinistre.