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Répondre aux besoins humanitaires en Ukraine

Lorsque la Russie a lancé son invasion à grande échelle de l’Ukraine le 24 février 2022, cela faisait déjà huit ans que les Églises répondaient aux besoins humanitaires du pays, depuis l’annexion de la Crimée en 2014. L’action des Églises pour répondre aux besoins des personnes déplacées par la guerre ne date pas d’hier, mais leur ampleur est sans commune mesure face aux 14 millions de personnes déplacées au cours des six derniers mois, depuis le début de l’invasion.

Le COE exhorte le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu lors du service de la Résurrection»

Dans une lettre à S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie le 19 avril, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) a exhorté le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu au moins pendant quelques heures lors du service de la Résurrection.»

Le secrétaire général par intérim du COE répond à la première dame d'Ukraine : « Je prie pour que la paix prévale et que la guerre s'arrête »

En réponse à une lettre de la première dame d'Ukraine, Olena Zelenska, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), a exprimé à la fois sa reconnaissance pour ses réflexions franches, et sa douleur face aux conséquences humanitaires du conflit qui ne cessent de s’aggraver.

Le COE publie des offres d’emploi à des postes de direction

Suite à la décision prise par le Comité exécutif lors de sa réunion de novembre 2021, le Conseil œcuménique des Églises (COE) annonce l’ouverture de trois postes de direction : responsable du programme Unité et mission, responsable du programme Témoignage public et diaconie, et responsable de la Commission de Foi et constitution du COE.

Le Comité exécutif du COE "réimagine l'avenir" animé d’un sentiment d'espoir

Le comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) s'est réuni le 12 novembre - pour la première fois depuis deux ans - et a entamé ses travaux avec le désir de réimaginer l'avenir en identifiant certaines tendances et opportunités nées à la suite à la tragique pandémie de COVID-19. La réunion se déroule de manière hybride à l'Institut œcuménique de Bossey et par vidéoconférence.

En Argentine, « Servir un monde blessé » est un appel à la collaboration plein d’espoir

Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.

Un séminaire organisé sur le thème «Tragédie brésilienne: un risque pour notre maison commune?»

Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.

Un colloque œcuménique de réflexion théologique sur l’écologie

Un colloque en ligne de trois jours, du 11 au 13 février, organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Séminaire œcuménique et francophone de théologie de l’écologie, a rassemblé des personnalités autour du thème «Penser les relations écologiques à l’ère de l’anthropocène».

Les graves dangers qui menacent l’Amazonie exacerbés par le pillage agricole, ainsi que le prosélytisme

La création de Dieu gémit dans la forêt amazonienne, un espace sacré pour 34 millions de personnes souffrant de la croissance des inégalités, de l’invasion des terres, de l’extractivisme, de l’assouplissement des lois environnementales, de la criminalisation et du meurtre de ses défenseurs, et des incendies volontaires orchestrés par l’agribusiness – le tout aggravé par le prosélytisme.