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Les partenaires œcuméniques exhortent les gouvernements à agir pour prévenir la fistule obstétricale

Dans le cadre des débats de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur les droits humains et la fistule obstétricale, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et ses partenaires œcuméniques ont appelé les gouvernements à porter une plus grande attention à la prévention de la fistule obstétricale dans leurs politiques, leurs plans stratégiques et leurs budgets.

Le pasteur Frank Chikane : "On ne peut pas faire l'unité au détriment de la justice".

Lorsque le pasteur Frank Chikane était secrétaire général du Conseil des Églises d'Afrique du Sud pour dénoncer les injustices du régime de l'apartheid, son travail s’est poursuivi même après la démolition du bâtiment abritant les bureaux du Conseil dans les années 1980 suite à une bombe. Modérateur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) depuis 2016, le pasteur Frank Chikane s'est engagé dans la lutte contre les injustices dans de nombreuses régions. Le département de communication du COE a demandé au pasteur Frank Chikane de revenir sur son mandat à la commission et sur l'appel permanent des églises à s'attaquer aux injustices dans le monde d'aujourd'hui.

L’engagement dans les affaires internationales a permis aux Églises de prendre fermement position contre les injustices

La Commission des Églises pour les affaires internationales (CEAI) du Conseil œcuménique des Églises (COE) a facilité l’engagement des Églises dans un large éventail de questions cruciales pour le monde depuis la dernière Assemblée du COE à Busan. La 58e réunion de la CEAI du COE, qui a rassemblé des représentants des Églises à Johannesburg et en ligne, s’est conclue par la célébration du 75e anniversaire de la création de la Commission.

La Commission des Églises pour les affaires internationales du COE se réunit à Johannesburg et se concentre sur la guérison des profondes blessures du monde

Cette semaine, la 58e session de la Commission des Églises pour les affaires internationales (CEAI) du Conseil œcuménique des Églises s’ouvre à Johannesburg au rythme chaleureux des percussions sud-africaines pour revenir sur les travaux de la Commission entre les deux Assemblées du COE et aborder l’engagement des Églises dans les grandes questions de notre temps.

Les chrétiens, les pasteurs et les Églises sont les principales victimes des attaques de bandits dans l'État de Kaduna au Nigeria

Dans l'État de Kaduna, au nord-ouest du Nigeria, les chrétiens font les frais de l'insécurité et de la violence. Des bandits s'attaquent aux maisons, aux villages et aux Églises, tuant des chrétiens et en enlevant d'autres pour obtenir une rançon.

La persécution religieuse, l'ambition territoriale et le nettoyage ethnique sont au cœur de la violence communautaire dans la région, où les communautés se sont installées en fonction de leur religion, selon le pasteur John Joseph Hayab, directeur national de la Global Peace Foundation (Fondation mondiale pour la paix) au Nigeria.

 

«Nous espérons que ce prix Nobel de la paix sera une source d’inspiration et insufflera un nouvel élan à la recherche continue de la paix et de la justice en Éthiopie», déclare M. Tveit

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) transmet ses félicitations au Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, lauréat du prix Nobel de la paix 2019. Depuis son élection comme Premier ministre en avril 2018, M. Ahmed a pris la tête d’un impressionnant projet d’incitatives de réformes positives et stimulantes et a joué un rôle décisif dans la réconciliation des deux synodes, tout en favorisant l’unité de l’Église orthodoxe Tewahedo d’Éthiopie. Ce prix reconnaît plus particulièrement son rôle d’impulsion dans la résolution formelle du conflit fratricide qui oppose l’Éthiopie et l’Érythrée depuis vingt ans.

Les Congolais et les Congolaises souffrent de l’instabilité et de la violence, déclare le Comité central du COE

Égrenant une litanie d’horreurs perpétrées en République démocratique du Congo, le Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) a rendu compte d’«une crise politique, humanitaire et relative aux droits de la personne qui s’aggrave» en RDC ainsi que du risque d’assister à l’émergence de nouveaux conflits, de violations massives des droits humains et de crimes atroces dans le pays.

«Nous sommes appelés à aimer notre prochain»

Au cours d’une visite de solidarité effectuée au Kenya du 10 au 12 octobre, les responsables du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont rencontré des représentants des Églises kenyanes, et ont exprimé leur soutien à celles qui œuvraient pour la paix et la justice. Ils ont également étayé leur vision des événements du COE à venir, notamment concernant la Conférence mondiale sur la mission et l’évangélisation, prévue en mars 2018.

Les Églises africaines s’engagent à lutter contre l’apatridie

«L’apatridie rend invisible aux yeux des autorités nationales la vulnérabilité des personnes face aux abus ou à la négation de leurs droits. En cela, le droit à une nationalité est un enjeu fondamental pour l’accès à la protection de tous les autres droits humains. Il s’agit presque d’un "droit d’avoir des droits"», a déclaré Peter Prove, directeur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du COE, après un atelier régional de formation traitant de l’enregistrement des naissances et des lois sur la nationalité qui entraînent une discrimination en fonction du sexe. Cet atelier était organisé par le COE à Addis-Abeba (Éthiopie) du 11 au 13 mai.