Anzeigen von 21 - 40 von 74

„Die Liebe wird einen Weg finden“

Auf einem Symposium am 23. August an der Protestantischen Theologischen Universität Amsterdam äußerten sich Führungspersonen des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK) zum Thema „Gastfreundschaft: Auf einem Pilgerweg der Gerechtigkeit und des Friedens“.

«L'amour triomphera»

Les dirigeants du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont pris la parole autour du thème «L'hospitalité sur le chemin de la paix et de la justice», et ce, à l'occasion d'un symposium organisé le 23 août par l'Université théologique protestante d'Amsterdam.

Le COE demande la fin d’une «culture de l’impunité» en Syrie

Á la suite d’informations rapportant une odieuse attaque par armes chimiques dans le gouvernorat d’Idlib en Syrie, le Secrétaire général du COE, le pasteur Olav Fykse Tveit, a réclamé un changement culturel dans cette région. Il a également dit sa profonde sympathie envers les familles des victimes.

Assyrischer Priester: Zum dritten Mal keine Weihnachtsglocken in Mosul

Priester Emanuel Youkhana bedauert, dass schon zum dritten Mal in Folge zum Weihnachtsfest in Mosul keine Kirchenglocken läuten werden. Er erinnert daran, dass religiöse Minderheiten wie Jesiden und Christen, die in der Nähe der zweitgrößten irakischen Stadt leben, seit Juni 2014 unter fürchterlichen Angriffen der Gruppe zu leiden hatten, die sich selbst Islamischer Staat nennt.

«Les cloches de Noël ne sonneront pas à Mossoul» cette année encore, affirme un prêtre assyrien

Le père Emanuel Youkhana déplore que, pour le troisième Noël d’affilée, les cloches de l’église ne retentiront pas à Mossoul. Aux alentours de juin 2014, raconte-t-il, les minorités religieuses telles que les yézidis et les chrétiens installés autour de la deuxième ville d’Irak ont commencé à subir les atroces assauts du groupe qui se fait appeler l’État islamique, ou Daesh, en arabe.

Studie: Religiöse und ethnische Vielfalt entscheidend für Frieden im Irak und in Syrien

Der Ökumenische Rat der Kirchen (ÖRK) und das norwegische Hilfswerk Norwegian Church Aid (NCA) haben eine neue Studie zu Schutzbedürfnissen religiöser und ethnischer Minderheiten in Syrien und im Irak vorgelegt, in der Bemühungen zum Schutz religiöser Minderheiten und zur Friedensarbeit in diesen zwei Ländern analysiert werden. Die Ergebnisse dieser Studie wurden am 12. Dezember am Sitz der Vereinten Nationen in Genf der Öffentlichkeit vorgestellt.

Une étude affirme que la diversité religieuse et ethnique est cruciale pour la paix en Irak et en Syrie

Une étude sur les besoins de protection des minorités religieuses et ethniques en Syrie et en Irak, analysant les efforts à mener pour protéger les minorités religieuses et consolider la paix dans la région, a été présentée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Aide de l’Église norvégienne (NCA). Les conclusions de l’étude ont été annoncées le 12 décembre aux médias et au grand public au Palais des Nations, à Genève.

Aus dem Dunkeln heraus

In Lalisch gehen Frauen langsam in ihrem Heiligtum umher. Einige haben ihre Kinder bei sich. Sie sind aus dem Flüchtlingslager geholt worden, um zur heiligen Stätte der Jesiden zu gehen, die in den Bergen im Nordirak liegt, unweit von Dohuk. Alle sind zunächst ruhig, und jeder passt auf, nicht auf die Schwelle des Tempels zu stehen.

Sorties des ténèbres

Des femmes font lentement le tour de leur sanctuaire à Lalesh. Certaines sont accompagnées de leurs enfants. Elles ont été conduites d’un camp de réfugiés jusqu’au lieu saint des yézidis, situé dans les montagnes au nord de l’Irak, du côté de Dohuk. Au départ, elles sont toutes silencieuses, et chacune veille à ne pas marcher sur le seuil du temple.

Gelähmt durch Schock

Madeline, 14, und ihre Schwester Sabrine, 16, sind beide an den Beinen gelähmt. „Sie wurden durch den Schock gelähmt. Etwas passierte in ihrem Nervensystem“, sagte Vater Mohammad. Die Familie war in Darʿā, im Süden Syriens, in ein Kreuzfeuer geraten. Sohn Souay, 3, wurde von einer Bombe getötet. Da entschieden sie zu fliehen. Während ihrer Flucht fielen unaufhörlich Bomben.

Paralysées par le choc

Madeline, 14 ans, et sa sœur Sabrine, 16 ans, sont toutes les deux paralysées des jambes. «Le choc les a paralysées, explique leur père Mohammad. Quelque chose a perturbé leur système nerveux.» La famille s’est retrouvée piégée dans des tirs croisés à Daraa, dans le sud de la Syrie. Leur fils Louay, 3 ans, a été tué par une bombe. C’est à ce moment-là qu’ils ont décidé de s’enfuir. Les bombes n’ont pas cessé de pleuvoir pendant leur fuite.

Vertrieben

Der IS griff um vier Uhr morgens an. Im kleinen Dorf Tel Hermes waren nur noch Männer verblieben, um zu versuchen, das Dorf zu verteidigen. Auch die älteren Menschen waren noch da. Sie alle wurden jetzt im Schlafanzug vom IS hinausgezerrt. Von etwa 30 Männern wurde die Hälfte getötet. Einer von ihnen war der Elektriker Fouad Younan.

Expulsés

L’État islamique a attaqué à quatre heures du matin. À Tel Hermes, seuls les hommes sont restés pour tenter de défendre le petit village. Les personnes âgées étaient restées elles aussi. Mais l’État islamique a poussé tout le monde dehors, en pyjama. Sur une trentaine d’hommes, la moitié ont été tués. Fouad Younan, électricien, fait partie des victimes.

Gibt es Hoffnung für den Nahen Osten?

Krieg, ethnische Konflikte, Millionen von Flüchtlingen und eine sich verschärfende humanitäre Situation sind die deprimierende Ausgangslage für die Diskussion über den Nahen Osten.