De retour de leur visite de solidarité en Türkiye, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, et le secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, ont diffusé un entretien vidéo dans lequel ils reviennent sur ce qu’ils ont vu, la manière dont les Églises agissent de concert et leurs propres réflexions sur leur visite qui s’est déroulée pendant la Semaine sainte occidentale, du 4 au 6 avril.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises et de l’Alliance ACT est en Turquie cette semaine pour faire part de la solidarité et du soutien des Églises sur le terrain afin de répondre aux besoins immenses au lendemain du séisme du 6 février.
Près de deux semaines se sont écoulées depuis le séisme qui a ravagé le nord de la Syrie et la Turquie le 6 février, ôtant la vie à plus de 41 000 personnes. Des milliers de bâtiments se sont également effondrés. Dans plusieurs villes comme Alep, Hama et Lattaquié, plus de 115 écoles ont été détruites.
Des groupes humanitaires et d’inspiration religieuse du monde entier ont lancé des appels à l’aide et à la prière tandis que les interventions s’intensifiaient au lendemain du séisme dévastateur qui a frappé la Syrie et la Turquie le 6 février.
Alors que les communautés en Turquie et en Syrie sont ébranlées par le tremblement de terre qui a emporté au moins 4 300 vies – chiffre qui ne cesse d’augmenter – les Églises ont pris contact avec les personnes touchées et prient pour la sécurité des disparu-e-s.
Une délégation de l’Alliance ACT et du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est rendue en Hongrie, en Ukraine et en Roumanie du 14 au 18 mars pour une visite axée sur les besoins humanitaires et l’aide des Églises.
Un colloque en ligne de trois jours, du 11 au 13 février, organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Séminaire œcuménique et francophone de théologie de l’écologie, a rassemblé des personnalités autour du thème «Penser les relations écologiques à l’ère de l’anthropocène».
Alors qu’elle se réunit cette semaine à Brisbane, en Australie, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été informée des conséquences durables pour les îles du Pacifique des cinquante années d’essais nucléaires dans la région, devenue l’une des zones du monde les plus sensibles aux changements climatiques.
Après qu’un incendie s’est déclaré le 15 avril en la cathédrale Notre-Dame, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Olav Fykse Tveit, se dit choqué des dégâts subis par l’un des monuments les plus connus de Paris et le siège de l’archevêché de Paris.
Un groupe de pèlerins œcuméniques est parti pour Katowice, en Pologne, ville hôte de la Conférence mondiale sur le climat 2018 où se dérouleront des négociations à haut niveau concernant la préservation de la création. Ce Pèlerinage œcuménique pour la justice climatique, qui est parti de Bonn, en Allemagne, le 9 septembre, a pour slogan «Alors va!» (Geht doch!, en allemand).
Le Conseil d’Églises chrétiennes en France (CÉCEF) encourage des Églises locales à aider à financer le récent projet d’éco label Eglise verte, par leurs offrandes lors de célébrations œcuméniques communes pendant la Semaine de prière pour l’unité chrétienne.
Les pèlerins protestants appuient à fond sur la pédale ces derniers jours. Le pèlerinage à vélo sur la route de la justice et de la paix parcourt les deux rives du Rhin pendant 14 jours, de Constance à Worms.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.
Le patriarche œcuménique, Sa Toute-Sainteté Bartholomée Ier, a prononcé une allocution au Centre œcuménique, à Genève, le 24 avril dans le cadre de sa visite officielle en Suisse à l’occasion du 25e anniversaire de son élection au Trône œcuménique et du 50e anniversaire du Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique à Chambésy.
Il a été surnommé le «patriarche vert», car cela fait au moins 20 ans qu’il aborde les questions environnementales préoccupantes depuis au moins vingt ans dans son rôle de responsable religieux. En 2008, le magazine Time a classé Sa Toute-Sainteté Bartholomée Ier, patriarche œcuménique, parmi les 100 personnes les plus influentes du monde pour «avoir défini l’écologie comme une responsabilité spirituelle».
À l’issue d’une conférence de haut niveau sur la crise des réfugiés en Europe, organisée par le COE et des agences onusiennes au Centre œcuménique de Genève les 18 et 19 janvier, une déclaration a été produite, intitulée «La réponse de l’Europe à la crise des réfugiés et des migrants – Départ, transit, accueil et refuge: un appel au partage des responsabilités et à la coordination des actions».
Les changements climatiques posent de sérieux défis au niveau de l’approvisionnement alimentaire, tant présent que futur. Ce sont les communautés les plus pauvres, dont l’empreinte carbone est la plus modeste de la planète, qui doivent affronter les plus graves effets de ces changements. Depuis plusieurs années, le droit à la nourriture constitue un problème crucial et une priorité pour de nombreux milieux, dont les Églises et les délégations œcuméniques, qui participent aux débats sur le climat.
«Nous croyons que vous vous mettrez au service du monde en montrant le meilleur de la créativité et des capacités humaines», a déclaré le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, le 8 décembre, dans son allocution au segment de haut niveau de la COP21, la Conférence internationale sur le climat qui se tient à Paris.
Les pertes et dommages engendrés par le climat sont l’un des points phares qui ont été soulevés par les groupes religieux pendant la COP21. Un panel de discussion et une manifestation qui se sont tenues à la COP21 début décembre ont exposé de nombreux aspects de cette question.
Plus de 20 chefs religieux réunis à la COP21 se sont assis en compagnie de jeunes et de représentants de la vie politique et civile à l’occasion d’un déjeuner bien particulier, où seuls les couteaux et fourchettes figuraient au menu, lors d’une manifestation publique destinée à montrer leur faim pour une justice climatique.