Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié de nouveaux supports en ligne dans le cadre de l’Initiative de Pâques 2024: «Sortir des ténèbres — en solidarité pascale avec la Terre Sainte».
Le temps qui s’est écoulé depuis le 7 octobre 2023 a été décrit de bien des manières – et les propos de Robi Damelin constituent «une vraie mise à l’épreuve de vos systèmes de croyances».
À la suite des affrontements qui ont éclaté le 7 octobre, avec des milliers de roquettes qui auraient été lancées de Gaza sur Israël, une incursion d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël et la réaction militaire israélienne qui s’ensuivit, le Conseil œcuménique des Églises (COE) adapte ses activités en Terre sainte pour pérenniser son soutien aux efforts en faveur d’une paix juste.
À l’occasion des commémorations du 75e anniversaire de ce que les Palestinien-ne-s appellent la Nakba, «la catastrophe», le déracinement de centaines de milliers de personnes à la création d’Israël en 1948, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa solidarité avec les Églises membres en Terre sainte.
«Les militaires sont parti-e-s parce que vous regardiez.»
«Je peux faire paître mon troupeau près de la base militaire parce que je me sens en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques, et les colons me harcèlent moins quand vous êtes ici, à proximité.»
«Nous nous sentons en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.»
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une feuille d’information sur les démolitions dans Jérusalem-Est servant de source d’informations fiables pour les Églises membres du COE, les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques et les médias.
Hanna Barag, une Israélienne qui se décrit comme une «diplomate des droits de la personne», observe depuis plusieurs décennies ce que subissent les Palestinien-ne-s qui passent par les points de contrôle. Pour cette membre de l’organisation Machsom Watch, en un mot, c’est «déshumanisant».
Alors que les fidèles chrétiens du monde entier sont entrés dans la période de l’Avent, les préparatifs vont bon train où tout a commencé, à Bethléem, pour célébrer cette histoire singulière au cœur de toutes les traditions chrétiennes.
Le Comité consultatif de liaison du COE à Jérusalem s’est réuni pour la première fois à Jérusalem sous la conduite du secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, pour préparer l’avenir.
Dans une déclaration publique à propos de la Terre Sainte, le Comité central du COE a exprimé « sa profonde solidarité avec tous les habitants de la région, en particulier avec les Églises et les chrétiens de la région dans leur vie et leur travail, en gardant la foi chrétienne et le témoignage en Terre Sainte vivants et dynamiques ».
A l'approche de la Semaine mondiale pour la paix en Palestine et en Israël, en septembre 2022, le Conseil œcuménique des Églises (COE) invite les personnes et les Églises du monde entier à prier, à plaider et à être solidaires des populations de Terre Sainte.
Dans une déclaration publiée le 11 avril, le Patriarcat orthodoxe de Jérusalem a fait part de ses vives inquiétudes quant aux restrictions policières annoncées pour le samedi de la sainte Lumière. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a réagi à cette déclaration en condamnant fermement les mesures qui limitent l’accès aux lieux de culte, les qualifiant d’atteintes à la liberté religieuse en Terre Sainte.
Depuis des siècles, les ancêtres de Sami El-Yousef participent à la procession du feu sacré, arborant une bannière représentant l'une des 13 plus anciennes familles chrétiennes orthodoxes de Jérusalem.
Prêtre grec orthodoxe rattaché depuis dix ans à la basilique de la Nativité de Bethléem, le père Issa Thaljieh ne pourrait pas imaginer vivre ailleurs que là où Jésus est né.
Tandis qu’Eid Jahaleen contemple la vue magnifique depuis sa communauté bédouine de Khan El Ahmar, il se penche sur les nombreux aspects de sa vie qu’il adore.
Pour Samira Dajani-Budeiri, le sol où reposent ses pieds, à Sheikh Jarrah, est sacré. Sa demeure et le sol sur lequel elle est construite sont chargés du souvenir de ses parents, de ses voisin-e-s – et de son désir de vivre en paix et dans la dignité.
Alors que les chrétiens du monde entier se préparent à célébrer Pâques, les grandes fêtes pour les musulmans et les juifs - Ramadan et Pessa’h - sont également célébrées à la même période en 2022. À cette confluence de célébrations sacrées, le caractère sacré de Jérusalem est particulièrement évident pour les habitants et les visiteurs. Mais le caractère sacré de la Ville Sainte et de ses habitants est de plus en plus menacé par les conséquences de l’occupation en cours, telles que la discrimination et la violence.
Le témoignage qui suit fait partie d'une série qui inaugure l'Initiative de Pâques de cette année et offrira un aperçu de la vie quotidienne des Palestiniens, musulmans et chrétiens, vivant à Jérusalem et dans ses environs, de certains des défis auxquels ils sont confrontés et de ce qui leur donne de l'espoir. Le concept de sacralité sous-tend ces témoignages. Ci-dessous, le récit de Yacoub Rajabi parle du caractère sacré de la dignité humaine - et du caractère sacré de la vie tout simplement.
Ce reportage fait partie d’une série de témoignages recueillis dans le cadre de l’initiative de Pâques de cette année qui donne un aperçu du quotidien des personnes palestiniennes, musulmanes et chrétiennes à Jérusalem et dans les environs, des difficultés auxquelles elles sont confrontées et de ce qui leur donne espoir. Le sacré est au cœur de ces récits. Le récit ci-après est celui de Sheikh Maher Assaf, à Bethléem, qui nous parle du caractère sacré du culte et de l’importance de la liberté de religion pour garantir la paix.
Cent trente bénévoles juifs ont planté 400 oliviers la semaine dernière dans des villages palestiniens et ont poursuivi leur travail même après une attaque violente.