Affichage de 1 - 20 de 26

DiPaz exhorte à un appel international plus ferme pour que le gouvernement colombien fasse progresser la paix

Dans une lettre du 13 juillet adressée au Conseil de sécurité des Nations Unies, Diálogo Intereclesial por la Paz en Colombia (DiPaz), une plateforme interecclésiale pour la paix en Colombie, a demandé à la communauté internationale d’appeler le gouvernement colombien à reprendre la mise en œuvre de l’accord de paix et à renforcer les canaux de dialogue pour résoudre les problèmes sociétaux.

Des organisations confessionnelles internationales exhortent le président colombien d'interrompre la spirale de la violence sans plus attendre

Le Conseil œcuménique des Églises, ACT Alliance, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées, la Communion anglicane, le Conseil méthodiste mondial, le Conseil épiscopal latino-américain et l'Association mondiale pour la communication chrétienne ont, dans une lettre envoyée le 18 mai, exhorté le président colombien Iván Duque Marquéz à mettre fin à la spirale de la violence qui porte un préjudice terrible à la population civile.

Devant le Conseil des droits de l’homme, le COE prononce une déclaration sur l’accès insuffisant des Palestiniens aux vaccins contre la COVID-19

Dans une déclaration prononcée devant le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises s’est déclarée très préoccupée par l’accès insuffisant des Palestiniens des territoires occupés aux vaccins contre la COVID-19.

Le COE à l’ONU: les violations des droits humains en Cisjordanie et à Jérusalem-Est doivent cesser

Dans une lettre co-adressée au Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme et au Rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, le Conseil œcuménique des Églises exprime son inquiétude face au nombre élevé de violations des droits humains et à la violence actuellement à l’œuvre en Cisjordanie et à Jérusalem-Est.

Un responsable du COE aborde l’antisémitisme, ses définitions et une future coopération

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Comité juif international pour les consultations interreligieuses (IJCIC) se sont rencontrés officiellement du 25 au 27 juin à Paris, sous le thème «La normalisation de la haine: défis pour les juifs et les chrétiens d’aujourd’hui». La réunion a eu lieu à une étape difficile de la vie religieuse et publique de nombreuses communautés à travers le monde. À la réunion, le directeur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du COE, Peter Prove, a présenté les politiques du COE en matière d’antisémitisme et les travaux de l’organisation en faveur des droits humains de tous et toutes. Le département des nouvelles du COE l’a rencontré à l’issue de la réunion.

Le COE et les Églises locales font part de leur profonde inquiétude quant à la loi définissant Israël comme «l'État-nation du peuple juif»

Les responsables des Églises d'Israël et des Territoires palestiniens occupés ont réagi avec consternation et préoccupation à l'adoption par la Knesset israélienne, le 19 juillet 2018, d'une nouvelle loi fondamentale: Israël, État-nation du peuple juif. Cette loi stipule que «le droit à l'autodétermination nationale au sein de l'État d'Israël ne concerne que le peuple juif».

Le COE très préoccupé par une loi interdisant l’entrée en Israël à certaines personnes

Aujourd’hui, le Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est déclaré très préoccupé par une nouvelle loi adoptée lundi par la Knesset qui interdirait l’octroi de visas d’entrée aux ressortissants étrangers ayant appelé à un boycott économique, culturel ou universitaire d’Israël ou des colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés. Il semblerait que la «Loi sur l’entrée en Israël» (Refus de visas aux non-résidents ayant sciemment appelé au boycott d’Israël) ne fasse aucune distinction entre le boycott d’Israël à proprement parler et celui des produits des colonies qui sont généralement considérés comme illégaux par le droit international.

«Les cloches de Noël ne sonneront pas à Mossoul» cette année encore, affirme un prêtre assyrien

Le père Emanuel Youkhana déplore que, pour le troisième Noël d’affilée, les cloches de l’église ne retentiront pas à Mossoul. Aux alentours de juin 2014, raconte-t-il, les minorités religieuses telles que les yézidis et les chrétiens installés autour de la deuxième ville d’Irak ont commencé à subir les atroces assauts du groupe qui se fait appeler l’État islamique, ou Daesh, en arabe.

Une étude affirme que la diversité religieuse et ethnique est cruciale pour la paix en Irak et en Syrie

Une étude sur les besoins de protection des minorités religieuses et ethniques en Syrie et en Irak, analysant les efforts à mener pour protéger les minorités religieuses et consolider la paix dans la région, a été présentée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Aide de l’Église norvégienne (NCA). Les conclusions de l’étude ont été annoncées le 12 décembre aux médias et au grand public au Palais des Nations, à Genève.

Sorties des ténèbres

Des femmes font lentement le tour de leur sanctuaire à Lalesh. Certaines sont accompagnées de leurs enfants. Elles ont été conduites d’un camp de réfugiés jusqu’au lieu saint des yézidis, situé dans les montagnes au nord de l’Irak, du côté de Dohuk. Au départ, elles sont toutes silencieuses, et chacune veille à ne pas marcher sur le seuil du temple.

Paralysées par le choc

Madeline, 14 ans, et sa sœur Sabrine, 16 ans, sont toutes les deux paralysées des jambes. «Le choc les a paralysées, explique leur père Mohammad. Quelque chose a perturbé leur système nerveux.» La famille s’est retrouvée piégée dans des tirs croisés à Daraa, dans le sud de la Syrie. Leur fils Louay, 3 ans, a été tué par une bombe. C’est à ce moment-là qu’ils ont décidé de s’enfuir. Les bombes n’ont pas cessé de pleuvoir pendant leur fuite.

Expulsés

L’État islamique a attaqué à quatre heures du matin. À Tel Hermes, seuls les hommes sont restés pour tenter de défendre le petit village. Les personnes âgées étaient restées elles aussi. Mais l’État islamique a poussé tout le monde dehors, en pyjama. Sur une trentaine d’hommes, la moitié ont été tués. Fouad Younan, électricien, fait partie des victimes.