Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié de nouveaux supports en ligne dans le cadre de l’Initiative de Pâques 2024: «Sortir des ténèbres — en solidarité pascale avec la Terre Sainte».
À la suite des affrontements qui ont éclaté le 7 octobre, avec des milliers de roquettes qui auraient été lancées de Gaza sur Israël, une incursion d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël et la réaction militaire israélienne qui s’ensuivit, le Conseil œcuménique des Églises (COE) adapte ses activités en Terre sainte pour pérenniser son soutien aux efforts en faveur d’une paix juste.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) suit de près l’évolution de la situation en Israël et en Palestine depuis l’éclatement des hostilités le 07 octobre, à la suite des milliers de tirs de roquette rapportés depuis Gaza sur Israël et de l’infiltration d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël. Le Premier ministre israélien a déclaré que son pays est en guerre.
Une prière œcuménique mondiale organisée par le Conseil œcuménique des Églises (COE) le 18 septembre portait sur la Semaine mondiale pour la paix en Palestine et en Israël et sur le sens de la quête d’un foyer spirituel en Terre Sainte.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) menée par le pasteur Pillay, secrétaire général du COE, s’est rendue cette semaine à New York et à Washington, DC. Elle y a rencontré des représentant-e-s des Nations Unies, le nonce apostolique, le Conseil national des Églises d’Amérique du Nord, d’autres responsables d’Églises, des organisations œcuméniques et des représentant-e-s de l’État.
À l’occasion des commémorations du 75e anniversaire de ce que les Palestinien-ne-s appellent la Nakba, «la catastrophe», le déracinement de centaines de milliers de personnes à la création d’Israël en 1948, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa solidarité avec les Églises membres en Terre sainte.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une feuille d’information sur les démolitions dans Jérusalem-Est servant de source d’informations fiables pour les Églises membres du COE, les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques et les médias.
Plus de 600 personnes ont assisté au Neuvième symposium annuel sur le Rôle de la religion et des organisations confessionnelles dans les affaires internationales qui s’est déroulé en ligne le 24 janvier. Ce symposium, qui avait pour thème «Assurer le bien-être des populations et la durabilité planétaire», était organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et une coalition de partenaires confessionnels et des Nations unies. Des responsables des Nations unies, des représentant-e-s d’organisations confessionnelles internationales et d’autres experts sur les changements climatiques, le désarmement et d’autres sujets essentiels y ont pris part.
Alors que les fidèles chrétiens du monde entier sont entrés dans la période de l’Avent, les préparatifs vont bon train où tout a commencé, à Bethléem, pour célébrer cette histoire singulière au cœur de toutes les traditions chrétiennes.
Les responsables des Églises à Jérusalem, les responsables du Conseil œcuménique des Églises, les partenaires et leurs ami-e-s se sont réuni-e-s à Jérusalem pour célébrer le 20e anniversaire du Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël.
Le Comité consultatif de liaison du COE à Jérusalem s’est réuni pour la première fois à Jérusalem sous la conduite du secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, pour préparer l’avenir.
Les participantes et participants à une table ronde interconfessionnelle sur le climat, organisée le 21 septembre, ont envoyé un message limpide aux gouvernements du monde: une transformation sociale et spirituelle doit étayer des politiques soucieuses de la planète et des personnes les plus vulnérables.
La Semaine mondiale pour la paix en Palestine et en Israël 2022 qui se tiendra du 15 au 22 septembre sera pour le monde l’occasion de se rassembler en prière pour mettre un terme à l’occupation de la Palestine.
Dans une déclaration publique à propos de la Terre Sainte, le Comité central du COE a exprimé « sa profonde solidarité avec tous les habitants de la région, en particulier avec les Églises et les chrétiens de la région dans leur vie et leur travail, en gardant la foi chrétienne et le témoignage en Terre Sainte vivants et dynamiques ».
A l'approche de la Semaine mondiale pour la paix en Palestine et en Israël, en septembre 2022, le Conseil œcuménique des Églises (COE) invite les personnes et les Églises du monde entier à prier, à plaider et à être solidaires des populations de Terre Sainte.
Dans une déclaration publiée le 11 avril, le Patriarcat orthodoxe de Jérusalem a fait part de ses vives inquiétudes quant aux restrictions policières annoncées pour le samedi de la sainte Lumière. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a réagi à cette déclaration en condamnant fermement les mesures qui limitent l’accès aux lieux de culte, les qualifiant d’atteintes à la liberté religieuse en Terre Sainte.
A la suite d'une série d'attaques violentes en Israël, le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, a condamné ces attaques et présenté ses condoléances aux personnes qui ont perdu des proches.
Alors que les chrétiens du monde entier se préparent à célébrer Pâques, les grandes fêtes pour les musulmans et les juifs - Ramadan et Pessa’h - sont également célébrées à la même période en 2022. À cette confluence de célébrations sacrées, le caractère sacré de Jérusalem est particulièrement évident pour les habitants et les visiteurs. Mais le caractère sacré de la Ville Sainte et de ses habitants est de plus en plus menacé par les conséquences de l’occupation en cours, telles que la discrimination et la violence.
Dans une déclaration publique, le comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE), a exprimé sa profonde inquiétude face aux événements récents en Palestine et en Israël, qui sont le reflet "d’une aggravation de la situation dans la région, symbole des manières dont l'occupation militaire actuelle des territoires palestiniens fait obstacle à l'instauration d'une paix juste entre les peuples de Terre Sainte. Ajoutons à cela la pandémie de COVID-19 et les actions en résultant qui ont entraîné de nouvelles restrictions du champ d’action de la société civile dans la région".