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La délégation du COE en visite au Centre d’aide humanitaire à Moscou et à l’Académie théologique de Serguiev Possad

En déplacement à Moscou, la délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est rendue au Centre d’aide humanitaire, une initiative ecclésiale lancée en mars 2022 après l’éclatement de la guerre en Ukraine. La plupart des réfugié-e-s ukrainien-ne-s qui arrivent à Moscou ont des ami-e-s ou des proches dans la capitale russe. Or, leurs besoins n’en demeurent pas moins importants. Chaque jour, ce sont près de 500 personnes qui se rendent au centre de réfugié-e-s. Au centre d’accueil des personnes réfugiées, ces dernières reçoivent des produits de première nécessité, des aliments de base, des produits d’hygiène personnelle et, si elles ont des enfants, le nécessaire pour eux. Nombreuses sont les personnes arrivant à ce centre d’accueil qui souffrent de troubles psychologiques et d’expériences traumatisantes. Un premier traitement leur est proposé avant de les référer à des professionnel-le-s.

Répondre aux besoins humanitaires en Ukraine

Lorsque la Russie a lancé son invasion à grande échelle de l’Ukraine le 24 février 2022, cela faisait déjà huit ans que les Églises répondaient aux besoins humanitaires du pays, depuis l’annexion de la Crimée en 2014. L’action des Églises pour répondre aux besoins des personnes déplacées par la guerre ne date pas d’hier, mais leur ampleur est sans commune mesure face aux 14 millions de personnes déplacées au cours des six derniers mois, depuis le début de l’invasion.

L’archevêque ukrainien s’adresse aux médias: «C’est une question de sécurité pour le monde entier»

Lors d’une conférence de presse tenue dans le cadre de la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE), l’archevêque ukrainien Eustrate de Tchernihiv et Nijyn a déclaré aux journalistes que l’Église orthodoxe d’Ukraine avait déposé sa candidature pour devenir membre de plein droit du COE et de la Conférence des Églises européennes.

Les Églises insistent sur la nécessité de la réconciliation, de l’unité et de la consolidation de la paix en Ukraine

La guerre en Ukraine, le dialogue entre les Églises et l’action humanitaire étaient au centre des débats pour cette troisième journée de la 11ᵉ Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE). Des hiérarques des Églises ukrainiennes et des responsables d’organisations œcuméniques ont insisté sur la nécessité de la réconciliation, de l’unité et de la consolidation de la paix.

Un monastère ukrainien répond aux conséquences de la guerre

Dans le cadre d’une récente visite de solidarité en Ukraine, une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été accueillie par le monastère de Banchen dans la région de Chernivtsi, en Ukraine, et a été le témoin de l’engagement actif du monastère à porter secours et à accueillir les victimes de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine.

Le secrétaire général par intérim du COE en Ukraine: «Nous sommes ici pour montrer notre solidarité»

Au cours de sa récente visite de solidarité en Ukraine, une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) a rencontré diverses institutions publiques chargées des affaires religieuses pour prêter une oreille attentive aux victimes de la guerre, mais aussi pour demander aux autorités d’autoriser les membres de la délégation des Églises ukrainiennes à sortir du pays pour participer à la 11 Assemblée du COE à Karlsruhe.

Déclaration du Comité central du COE sur la guerre en Ukraine: «La guerre, avec les tueries et toutes les conséquences funestes qu’elle entraîne, est incompatible avec la nature même de Dieu»

Déplorant la guerre illégale et injustifiable «infligée au peuple et à l’État souverain d’Ukraine», le Comité central du COE s’est lamenté du «bilan effroyable qui va en s’aggravant: la mort, la destruction et le déplacement des populations; la destruction des relations et un antagonisme de plus en plus profond entre les peuples de la région; les confrontations qui s’enveniment à travers le monde; le risque accru de famine dans les régions du monde touchées par l’insécurité alimentaire; ainsi que les difficultés économiques et l’exacerbation de l’instabilité sociale et politique dans de nombreux pays».

Le COE exhorte le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu lors du service de la Résurrection»

Dans une lettre à S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie le 19 avril, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) a exhorté le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu au moins pendant quelques heures lors du service de la Résurrection.»

Père prof. Ioan Sauca : "Dieu est du côté de ceux qui souffrent"

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a, depuis le premier jour de la guerre en Ukraine et même dans les mois précédents, travaillé et prié sincèrement pour une solution pacifique au conflit et dans le monde entier. Dès le début, le COE a appelé à la fin immédiate des hostilités armées, à l'arrêt de la guerre et a également lancé un appel pour que cessent immédiatement les attaques aveugles et leurs répercussions sur les civils en Ukraine. Nouvelles du COE a rencontré en ligne le père prof. Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du COE, afin d'obtenir les dernières informations sur le travail du COE.

Le COE horrifié par les atrocités commises en Ukraine

Après avoir entendu des informations plus précises faisant état de graves violations du droit international en Ukraine, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le père prof. Ioan Sauca, s’est dit horrifié par ces atrocités et appelle à ouvrir une enquête approfondie.

Le secrétaire général par intérim du COE répond à la première dame d'Ukraine : « Je prie pour que la paix prévale et que la guerre s'arrête »

En réponse à une lettre de la première dame d'Ukraine, Olena Zelenska, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), a exprimé à la fois sa reconnaissance pour ses réflexions franches, et sa douleur face aux conséquences humanitaires du conflit qui ne cessent de s’aggraver.