Du 18 au 20 mars, le programme Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (COE) co-organise une consultation avec le Conseil des Églises de Zambie dans le but de renforcer l’observance du traitement du VIH.
Grâce à quatre années de collaboration avec le Complexe scolaire laïque Effata au Togo, le Programme d’initiatives et de plaidoyer œcuméniques sur le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (COE) a initié les élèves et les enseignants aux Jeudis en noir, vers un monde sans viol ni violence, les a aidés à mieux répondre au VIH et leur a offert un espace sûr pour discuter d’une santé sexuelle et reproductive responsable.
Pour essayer de comprendre les récits contradictoires concernant le développement et les injustices socio-économiques liées aux investissements étrangers, les participants de l’École œcuménique de gouvernance, d’économie et de gestion pour une économie de la vie (GEM School) ont visité, le 22 aout, une société minière.
La deuxième édition de l’École œcuménique de gouvernance, d’économie et de gestion pour une économie de la vie (École GEM) s’est déroulée du 21 août au 1ᵉʳ septembre à Lusaka, en Zambie. Son but est de renforcer les compétences en économie au sein des Églises.
«Existe-t-il un moyen d’agir contre la stigmatisation et la discrimination au sein des communautés religieuses, pour montrer l’exemple, afin que celles et ceux qui sont là pour rendre service et prodiguer des soins ne stigmatisent pas les personnes malades? Car lorsqu’il s’agit de lutter contre le VIH et le sida, peu importe que l’on soit chrétien ou musulman, femme ou homme, nous devons agir en tant qu’êtres humains.»
Le 6 avril, à New York, des organisations d’inspiration religieuse ont apporté une contribution importante à l’occasion d’une séance des Nations Unies avec des représentantes et représentants de la société civile, qui préludait à une réunion de haut niveau consacrée au VIH.
Les services de santé sexuelle et reproductive ne doivent pas seulement être «accueillants pour les jeunes» mais aussi «accueillants pour les garçons et les filles» et «ouverts à la participation» de la jeunesse, afin que les jeunes hommes et femmes aient accès aux services et informations dont ils ont besoin et qu’ils veulent obtenir – tel est le souhait exprimé par les adolescents et adolescentes qui ont participé à un atelier à Lomé (Togo) les 24 et 25 mars.
Les Églises du Togo ont engagé une lutte décisive contre le VIH et le sida. Les minorités sexuelles, qui sont extrêmement vulnérables à la pandémie, ont absolument besoin d'un accompagnement pastoral qui encourage l'accès aux services de prévention du VIH pour sauver leurs vies.