Un colloque en ligne de trois jours, du 11 au 13 février, organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Séminaire œcuménique et francophone de théologie de l’écologie, a rassemblé des personnalités autour du thème «Penser les relations écologiques à l’ère de l’anthropocène».
Alors qu’elle se réunit cette semaine à Brisbane, en Australie, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été informée des conséquences durables pour les îles du Pacifique des cinquante années d’essais nucléaires dans la région, devenue l’une des zones du monde les plus sensibles aux changements climatiques.
Après qu’un incendie s’est déclaré le 15 avril en la cathédrale Notre-Dame, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Olav Fykse Tveit, se dit choqué des dégâts subis par l’un des monuments les plus connus de Paris et le siège de l’archevêché de Paris.
Le Conseil œcuménique des Églises, l’Alliance évangélique mondiale et la Conférence des Églises de toute l’Afrique, ainsi que des organisations humanitaires chrétiennes, des réseaux d’Églises, des organisations ecclésiales et leurs partenaires encouragent les congrégations religieuses du monde entier à célébrer, le 10 juin prochain, la deuxième «Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine».
Le Conseil d’Églises chrétiennes en France (CÉCEF) encourage des Églises locales à aider à financer le récent projet d’éco label Eglise verte, par leurs offrandes lors de célébrations œcuméniques communes pendant la Semaine de prière pour l’unité chrétienne.
Les pèlerins protestants appuient à fond sur la pédale ces derniers jours. Le pèlerinage à vélo sur la route de la justice et de la paix parcourt les deux rives du Rhin pendant 14 jours, de Constance à Worms.
Dans le cadre d’un appel à l’action lancé à la veille de la rencontre annuelle des dirigeants des premières puissances mondiales, le Conseil œcuménique des Églises (COE), l’Alliance ACT et la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA) ont exhorté les dirigeants du G20 à prendre des mesures pour éradiquer la faim et faire durer la justice et la paix dans la Corne de l’Afrique.
Le 21 mai, Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine, des millions de croyants et croyantes, d’organisations religieuses et de communautés du monde entier ont prié, tweeté, publié des messages et discuté de vive voix au sujet des mesures d’urgence nécessaires pour aider les 20 millions de personnes souffrant de la famine au Soudan du Sud, en Somalie, au Yémen et au Nigeria.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.
Alors que le nombre de personnes souffrant de la faim n'a jamais été aussi élevé dans l'histoire moderne, le COE et la Conférence des Églises de toute l'Afrique, aux côtés d'un certain nombre de réseaux et de partenaires confessionnels, lancent un appel à une Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine le 21 mai 2017, et ce, en réponse à la crise alimentaire.
À l’issue d’une conférence de haut niveau sur la crise des réfugiés en Europe, organisée par le COE et des agences onusiennes au Centre œcuménique de Genève les 18 et 19 janvier, une déclaration a été produite, intitulée «La réponse de l’Europe à la crise des réfugiés et des migrants – Départ, transit, accueil et refuge: un appel au partage des responsabilités et à la coordination des actions».
Les changements climatiques posent de sérieux défis au niveau de l’approvisionnement alimentaire, tant présent que futur. Ce sont les communautés les plus pauvres, dont l’empreinte carbone est la plus modeste de la planète, qui doivent affronter les plus graves effets de ces changements. Depuis plusieurs années, le droit à la nourriture constitue un problème crucial et une priorité pour de nombreux milieux, dont les Églises et les délégations œcuméniques, qui participent aux débats sur le climat.
«Nous croyons que vous vous mettrez au service du monde en montrant le meilleur de la créativité et des capacités humaines», a déclaré le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, le 8 décembre, dans son allocution au segment de haut niveau de la COP21, la Conférence internationale sur le climat qui se tient à Paris.
Les pertes et dommages engendrés par le climat sont l’un des points phares qui ont été soulevés par les groupes religieux pendant la COP21. Un panel de discussion et une manifestation qui se sont tenues à la COP21 début décembre ont exposé de nombreux aspects de cette question.
Plus de 20 chefs religieux réunis à la COP21 se sont assis en compagnie de jeunes et de représentants de la vie politique et civile à l’occasion d’un déjeuner bien particulier, où seuls les couteaux et fourchettes figuraient au menu, lors d’une manifestation publique destinée à montrer leur faim pour une justice climatique.
«Les dirigeants politiques de la planète s’expriment comme des prédicateurs. Puissent-ils rester croyants», a dit le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, à l’ouverture le 30 novembre à Paris des pourparlers de l’ONU sur le climat (COP21).
Les militants religieux ont présenté un total de 1 780 528 signatures rassemblées à travers le monde pour demander une action décisive afin d’enrayer le réchauffement de la planète. Les pétitions ont été remises aux responsables de la Conférence sur le climat des Nations Unies, la COP 21, qui entame son travail à Paris.
«Les circonstances actuelles sont favorables au changement, et elles sont peut-être plus fortes que nous le pensons», a écrit le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, dans son message de l’Avent à la veille des pourparlers sur le climat à Paris.
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises a publié un communiqué en prévision de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques, qui aura lieu à Paris, disant espérer que cet événement mènera à un accord juridique contraignant et universel sur le climat, avec pour objectif de maintenir le réchauffement planétaire au-dessous de 2°C.
En tant que responsable des politiques de Christian Aid, un des principaux membres de l'alliance ACT, Alison Kelly garde un œil sur les tendances clés de la voix prophétique de l'Église, pour qui l'année 2015 est chargée.