Dans une démonstration d’unité historique, les Églises éthiopiennes, réunies à l’Institut œcuménique de Bossey, ont décidé d’établir un conseil des Églises dans leur pays.
Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.
Le 22 mars prochain, une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un communiqué publié par le comité de planification de la prière explique que les chrétien-ne-s sont appelé-e-s à s’unir dans la prière et à défendre la paix. «Dans un contexte mondial pris d’assaut par la guerre et la violence, la pratique de la paix est devenue plus urgente que jamais», précise le texte.
Les jeunes membres du clergé, théologiens et laïcs africains sont impatients de s’attaquer aux problèmes complexes qui touchent leur continent et le monde entier. C’est ce qui est apparu clairement lors d’un concours d’écriture destiné aux auteurs de moins de 35 ans et organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE), en partenariat avec la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA).
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) transmet ses félicitations au Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed, lauréat du prix Nobel de la paix 2019. Depuis son élection comme Premier ministre en avril 2018, M. Ahmed a pris la tête d’un impressionnant projet d’incitatives de réformes positives et stimulantes et a joué un rôle décisif dans la réconciliation des deux synodes, tout en favorisant l’unité de l’Église orthodoxe Tewahedo d’Éthiopie. Ce prix reconnaît plus particulièrement son rôle d’impulsion dans la résolution formelle du conflit fratricide qui oppose l’Éthiopie et l’Érythrée depuis vingt ans.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) se félicite que le prix Nobel de la paix 2018 ait été décerné à Mme Nadia Murad et au Dr Denis Mukwege pour leur combat contre «les violences sexuelles employées comme arme de guerre et de conflit armé».
Le 23 février, le pape François a appelé à une journée mondiale de prière et de jeûne pour le Soudan du Sud et pour la République démocratique du Congo, deux pays en proie aux conflits, aux désordres et à la famine.
L’espérance en un Pèlerinage de justice et de paix constituait le fil conducteur des travaux du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE), qui s’est réuni à Trondheim, en Norvège.
Au cours du quatrième Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’homme, le COE, en collaboration avec l’Alliance ACT et la Fédération luthérienne mondiale, a organisé une réunion sur le thème: «La contribution des organisations d’inspiration religieuse à la protection des droits fonciers des communautés – Leçons apprises et bonnes pratiques d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine».
Profondément inquiet pour les migrants dans de nombreuses régions du monde, en particulier ceux qui «sont motivés à entreprendre des périples désespérément risqués et dangereux», le Comité exécutif du COE a déclaré: «Tous les membres de la communauté internationale ont une obligation morale et légale de sauver la vie des personnes en danger en mer ou en transit, quels que soient leur origine ou leur statut.»
Inspiré par le thème du «pèlerinage de justice et de paix», le Comité central du COE, principal organe directeur du COE, a défini les orientations des activités du Conseil pour la période 2014-2017.
À l'occasion d'un service œcuménique organisé par les Églises congolaises sous les auspices de la paroisse des Disciples du Christ de Lemba, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, le secrétaire général du COE a offert une réflexion sur la résurrection du Christ. Pour le pasteur Tveit, cette résurrection revêt une importance particulière pour la RDC, souvent désignée comme «un pays oublié, avec des problèmes oubliés».