Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a proposé des perspectives et participé au dialogue lors de la pré-Assemblée des jeunes du Conseil national des Églises en Inde, qui s’est déroulée du 17 au 19 avril à Hyderabad.
Organisée par le Centre indien pour la paix, la pré-Assemblée des jeunes s’est tenue sur le thème «L’heure est venue: l’heure pour les jeunes de construire un monde de paix et de durabilité».
«C’est avec tristesse que nous avons appris le décès de Julio Hector de Santa Ana, référence dans le domaine de la théologie œcuménique dans une perspective libératrice», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE). J. de Santa Ana est décédé le 17 avril à Genève, en Suisse.
Le Pasteur Odair Pedroso Mateus a commencé à enseigner à l’Institut œcuménique de Bossey en 2004 et a rejoint le Conseil œcuménique des Églises (COE) en 2007. Récemment, il a été secrétaire général adjoint par intérim du COE et directeur de Foi et constitution. Il se livre pour nous à une réflexion sur ses meilleurs souvenirs, ses accomplissements et ses espoirs.
L’évêque Isaac Mar Philoxenos, membre du Comité central du COE, a partagé un exemple de « l’amour de Dieu en action » lors d’une réunion confessionnelle.
Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.
Plus de 40 responsables d’Églises et spécialistes de la diaconie venu-e-s de 15 pays asiatiques ont pris part à la formation sur la diaconie œcuménique et le développement organisée par le Conseil œcuménique des Églises (COE) à Chiang Mai, en Thaïlande, du 4 au 7 décembre.
Voici le quatrième d’une série d’entretiens avec les ambassadeurs et ambassadrices des Jeudis en noir qui jouent un rôle de premier plan pour stimuler l’impact de notre appel collectif à un monde sans viol ni violence. Larissa Aguiar Garcia, de l’Igreja Medista do Brasil, est membre de la Commission des jeunes ECHOS du Conseil œcuménique des Églises (COE).
Derrière les hôtels de luxe de Bali, les plages de sable et les paysages luxuriants où se font dorloter des touristes du monde entier, on rencontre une pauvreté bouleversante, et ses victimes les plus vulnérables sont les enfants.
L’un des groupes les plus actifs de «La Casona», un centre d’accompagnement au sud de Buenos Aires, est le «Centro de Producción Audiovisual» qui regroupe huit jeunes de 16 à 22 ans ayant trouvé dans le cinéma et la production audiovisuelle un outil d’expression de leurs sentiments concernant les difficultés de la réalité qui les entoure. En août dernier, ils ont reçu la visite d’un groupe mené par Frederique Seidel, conseillère spéciale pour les droits de l’enfant du Conseil œcuménique des Églises (COE).
Le 11 août dernier, des Églises, des organisations de la société civile et près de 100 enfants et adolescents - dont beaucoup font face quotidiennement à la pauvreté et à la violence - ont participé à un colloque organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) dans la ville de Pilar, au nord de Buenos Aires (Argentine).
«Quoi?! Vous allez à Barrio Borro? Pardon, mais je ne peux pas vous y conduire, et aucun autre taxi ne le fera. C’est trop dangereux d’aller là-bas.» Voilà les réactions obtenues par Frederique Seidel lorsqu’elle a fait part de son intention de se rendre à Obra Ecumenica Barrio Borro, ou au projet de soutien œcuménique (quartier de Borro) en Uruguay.
Que ce soit en tant qu'individus ou en tant que communauté, il est de notre devoir collectif de défendre l'unité des chrétiens, déclare Melanio L. Aoanan. L'éducateur philippin appelle à une vision claire de la formation œcuménique qui soit pertinente au XXIe siècle.
Les relations entre les catholiques et les protestants au niveau local en Indonésie orientale ne sont pas aussi complexes qu’à l’occasion de débats sur le dogme à des échelons plus élevés de l’Église, déclare une pasteure de l’Église protestante des Moluques.
L’Institut œcuménique de Bossey, qui recevra la visite du pape François le jeudi 21 juin, dans le cadre de son pèlerinage au Conseil œcuménique des Églises à Genève, est un atelier d’idées, où l’avenir de l’unité des chrétiens se dessine.
D’éminents représentants d’Église, enseignants de théologie et militants sociaux du monde entier se réuniront du 19 au 23 novembre à São Leopoldo, au Brésil, pour examiner comment les traditions issues de la Réforme ont contribué à transformer les sociétés dans le monde grâce à l’éducation.
La violence faite aux enfants était l’un des points prioritaires figurant à l’ordre du jour de la réunion de la Conférence chrétienne d’Asie. «C’est encore une triste réalité dans de vastes régions du monde, mais le dynamisme pour lutter contre la violence faite aux enfants s’accroît au sein des gouvernements et des communautés, chez les parents et les chefs religieux. C’est excellent, car c’est en nous unissant qu’on induira un changement», indique Lauren Rumble, du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) en Indonésie.
Inspiré par le thème du «pèlerinage de justice et de paix», le Comité central du COE, principal organe directeur du COE, a défini les orientations des activités du Conseil pour la période 2014-2017.