Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a présenté ses salutations au Sénat colombien le 13 décembre et a dit la joie qu’il ressentait pour le rôle joué par le COE dans le processus de paix en Colombie.
Dans son discours liminaire à la Conférence internationale pour la réconciliation en Colombie, le pasteur Kenneth Mtata, directeur de programme du Conseil œcuménique des Églises pour le témoignage public et la diaconie, fait part de ses réflexions sur les «enseignements et expériences œcuméniques en matière d’édification de la paix».
Dans un récent rapport, Human Rights Monitor, partenaire du COE, a exprimé sa vive inquiétude face à l’intensification des opérations des forces de sécurité indonésiennes en Papouasie occidentale.
Au cours du débat général de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève, le Conseil national des Églises des Philippines a exprimé sa profonde inquiétude face aux violations persistantes des droits humains aux Philippines.
À l’annonce de l’attribution du prix Nobel de la paix à deux journalistes, Maria Ressa et Dmitry Muratov, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), leur a adressé ses félicitations et a exprimé sa solidarité avec leur lutte constante pour la justice et la paix.
Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.
Dans une lettre du 13 juillet adressée au Conseil de sécurité des Nations Unies, Diálogo Intereclesial por la Paz en Colombia (DiPaz), une plateforme interecclésiale pour la paix en Colombie, a demandé à la communauté internationale d’appeler le gouvernement colombien à reprendre la mise en œuvre de l’accord de paix et à renforcer les canaux de dialogue pour résoudre les problèmes sociétaux.
Le Conseil œcuménique des Églises, ACT Alliance, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées, la Communion anglicane, le Conseil méthodiste mondial, le Conseil épiscopal latino-américain et l'Association mondiale pour la communication chrétienne ont, dans une lettre envoyée le 18 mai, exhorté le président colombien Iván Duque Marquéz à mettre fin à la spirale de la violence qui porte un préjudice terrible à la population civile.
Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.
Le meurtre brutal de Joao Alberto Silveira Freitas, un homme noir de 40 ans, aux mains de deux agents de sécurité blancs devant un supermarché à Porto Alegre au Brésil, le 19 novembre, la veille de la Journée nationale de la conscience noire, a suscité l’indignation dans tout le pays. Les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) se sont exprimées pour condamner ce meurtre et exprimer leur profonde inquiétude face à l’injustice raciale systémique au Brésil.
Le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), a reçu l’ancien président brésilien Luiz Inácio «Lula» da Silva, le 6 mars, au Centre œcuménique à Genève, en Suisse.
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises a publié une déclaration le 23 mai exprimant sa préoccupation et sa solidarité avec le peuple de Papouasie occidentale, qui fait face à la violence et à des violations des droits humains.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a condamné le massacre de 14 fermiers commis par des agents de police début avril à Canlaon, Manjuyod et Santa Catalina, trois villes de la province du Negros Oriental, aux Philippines. Le COE a également réitéré l’appel qu’il avait lancé au gouvernement des Philippines pour faire cesser la culture d’impunité et garantir que ces assassinats fassent l’objet d’enquêtes en bonne et due forme à l’issue desquelles les auteurs des faits seront traduits en justice.
Derrière les hôtels de luxe de Bali, les plages de sable et les paysages luxuriants où se font dorloter des touristes du monde entier, on rencontre une pauvreté bouleversante, et ses victimes les plus vulnérables sont les enfants.
C'est avec consternation et une profonde tristesse que le Conseil œcuménique des Églises (COE) a appris les attaques terroristes perpétrées contre deux mosquées en Nouvelle-Zélande, dont le dernier bilan fait état de 49 morts et d'au moins 20 blessés.
Dans le petit village de Kaliki, les hommes, les femmes et les enfants sont debout, dansant, accompagnés par des percussions, alors qu’une équipe internationale du Pèlerinage du Conseil œcuménique des Églises (COE) arrive. Les pèlerins reçoivent des couronnes tressées de feuilles et de fleurs, et leurs visages sont peints de motifs traditionnels.
«Ce n'est pas la volonté de Dieu que la Terre soit détruite. Nous, les créatures, nous qui sommes censés être les intendants de la création, nous rendons injustement coupables d'actes autodestructeurs», a écrit dans sa prédication le pasteur Arnold C. Temple, président de la Conférence des Églises de toute l'Afrique. Un texte prononcé en son absence lors du lancement de la campagne des Sept semaines pour l'eau à Chiang Mai (Thaïlande).
La Conférence chrétienne d’Asie a invité plus de 100 représentants de sept religions – des chrétiens, des bouddhistes, des musulmans, des juifs, des bahaïs, des hindous et des sikhs – à rencontrer les participants du Groupe de référence du Pèlerinage pour la justice et la paix du Conseil œcuménique des Églises (COE), pour discuter de questions relatives à la religion et de leurs implications pour la société asiatique.