Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a présenté ses salutations au Sénat colombien le 13 décembre et a dit la joie qu’il ressentait pour le rôle joué par le COE dans le processus de paix en Colombie.
Dans son discours liminaire à la Conférence internationale pour la réconciliation en Colombie, le pasteur Kenneth Mtata, directeur de programme du Conseil œcuménique des Églises pour le témoignage public et la diaconie, fait part de ses réflexions sur les «enseignements et expériences œcuméniques en matière d’édification de la paix».
«C’est avec tristesse que nous avons appris le décès de Julio Hector de Santa Ana, référence dans le domaine de la théologie œcuménique dans une perspective libératrice», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE). J. de Santa Ana est décédé le 17 avril à Genève, en Suisse.
Le Pasteur Odair Pedroso Mateus a commencé à enseigner à l’Institut œcuménique de Bossey en 2004 et a rejoint le Conseil œcuménique des Églises (COE) en 2007. Récemment, il a été secrétaire général adjoint par intérim du COE et directeur de Foi et constitution. Il se livre pour nous à une réflexion sur ses meilleurs souvenirs, ses accomplissements et ses espoirs.
Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.
Dans une lettre du 13 juillet adressée au Conseil de sécurité des Nations Unies, Diálogo Intereclesial por la Paz en Colombia (DiPaz), une plateforme interecclésiale pour la paix en Colombie, a demandé à la communauté internationale d’appeler le gouvernement colombien à reprendre la mise en œuvre de l’accord de paix et à renforcer les canaux de dialogue pour résoudre les problèmes sociétaux.
Le Conseil œcuménique des Églises, ACT Alliance, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées, la Communion anglicane, le Conseil méthodiste mondial, le Conseil épiscopal latino-américain et l'Association mondiale pour la communication chrétienne ont, dans une lettre envoyée le 18 mai, exhorté le président colombien Iván Duque Marquéz à mettre fin à la spirale de la violence qui porte un préjudice terrible à la population civile.
Confrontés à l’une des plus graves crises de santé publique dans le monde, les chrétiens du Brésil maintiennent leur traditionnelle célébration de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens dans la période précédant la Pentecôte. Toutefois, pour la deuxième année consécutive, ils prieront sans se rassembler physiquement.
Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.
Le film «Silence radio», de Juliana Fanjul, a reçu le prix des Droits de l’Homme 2020, décerné par l’Association mondiale pour la communication chrétienne (WACC) et l’Association catholique mondiale pour la communication (SIGNIS).
Le long métrage documentaire dresse le portrait de Carmen Arestigui, journaliste et animatrice radio critique envers le gouvernement.
Le meurtre brutal de Joao Alberto Silveira Freitas, un homme noir de 40 ans, aux mains de deux agents de sécurité blancs devant un supermarché à Porto Alegre au Brésil, le 19 novembre, la veille de la Journée nationale de la conscience noire, a suscité l’indignation dans tout le pays. Les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) se sont exprimées pour condamner ce meurtre et exprimer leur profonde inquiétude face à l’injustice raciale systémique au Brésil.
La création de Dieu gémit dans la forêt amazonienne, un espace sacré pour 34 millions de personnes souffrant de la croissance des inégalités, de l’invasion des terres, de l’extractivisme, de l’assouplissement des lois environnementales, de la criminalisation et du meurtre de ses défenseurs, et des incendies volontaires orchestrés par l’agribusiness – le tout aggravé par le prosélytisme.
Le Conseil œcuménique des Églises, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées et le Conseil méthodiste mondial ont adressé une lettre aux églises et au peuple du Zimbabwe, dans laquelle ils expriment leur solidarité envers la nation.
Jether Pereira Ramalho, l’une des principales voix du mouvement œcuménique brésilien et latino-américain, est décédé le 28 juin dernier, à Rio de Janeiro, laissant derrière lui un héritage d’inspiration, de dévouement et de transformation pour de nombreuses générations.
Alors que le Brésil a vu s’affronter des récits assez contradictoires sur comment faire face à la pandémie de COVID-19, les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont activement soutenu les efforts d’autorités sanitaires telles que l’Organisation mondiale de la santé pour conseiller aux personnes d’éviter les regroupements qui augmenteraient la transmission du virus.
Au Chili, selon la théologienne et avocate chilienne Cecilia Castillo Nanjari, les femmes ont été victimes de violences, d’humiliations, d’obligations de se dénuder et même de viols dans le cadre des manifestations sociales qui secouent la nation depuis octobre dernier.
Le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), a reçu l’ancien président brésilien Luiz Inácio «Lula» da Silva, le 6 mars, au Centre œcuménique à Genève, en Suisse.
Les jeunes membres du clergé, théologiens et laïcs africains sont impatients de s’attaquer aux problèmes complexes qui touchent leur continent et le monde entier. C’est ce qui est apparu clairement lors d’un concours d’écriture destiné aux auteurs de moins de 35 ans et organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE), en partenariat avec la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA).
Les 23 et 24 octobre derniers, le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), a rencontré les responsables de l’Église méthodiste du Mexique dans le cadre d’un processus interne de discernement qui pourrait conduire à la réintégration de l’Église parmi les membres du COE, 35 ans après sa suspension en 1994.