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Prier pour l’unité avec les Sœurs de Grandchamp en 2021

Vous pouvez manquer le cri du Christ torturé sur la croix, sculpté par l’artiste brésilien Guido Rocha, si vous ne regardez pas attentivement sur votre droite en entrant dans la chapelle en bois sombre de la Communauté monastique de Grandchamp, un hameau proche du lac de Neuchâtel, en Suisse.

Une réunion du Comité exécutif du COE consacrée à l’unité

Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) se réunit à l’Institut œcuménique de Bossey cette semaine, du 7 au 12 juin, pour une session consacrée à l’unité, au renouvellement du plan stratégique et de la stratégie financière du COE, au projet de construction, à la préparation de la Onzième Assemblée et à la célébration des 70 ans du COE.

Hielke Wolters: apôtre des stratégies de la mission

Le pasteur Hielke Wolters quitte le COE après y avoir travaillé pendant neuf ans, notamment au poste de secrétaire général associé ces sept dernières années, mais il ne quitte pas le mouvement œcuménique auprès duquel il est engagé depuis qu’il est étudiant. Officiellement, il prend sa retraite, mais seulement sur le papier. Il retourne aux Pays-Bas et a beaucoup d’idées et de projets pour servir, d’une manière ou d’une autre, l’Église ou le mouvement œcuménique au sens large. Le pasteur a déclaré au centre de presse du COE, avec un sourire: «je suis ouvert à toutes les suggestions et je sais que Dieu me guidera dans la bonne direction le moment venu.»

Écouter les réfugiés, tirer des leçons, rechercher des voies de migration plus sûres

«Nous devrions tirer des leçons de nos erreurs et signaler les systèmes qui ne donnent pas de bons résultats», déclare Pauliina Parhiala, directrice et chargée des opérations de l’Alliance ACT, coalition de 137 Églises et organisations d’inspiration religieuse actives au niveau international dans les domaines de l’assistance humanitaire, du plaidoyer et du développement.

Les Églises prêtes à unir leurs forces pour aider les réfugiés

Les participants à la récente Conférence sur la crise des réfugiés en Europe, accueillie par le COE, se sont déclarés encouragés après avoir pris connaissance de la multitude d’activités mises en place par les Églises, du Liban à la Finlande, en passant par la Serbie, la Grèce et l’Allemagne.

Ils fuient de quelque part et non vers quelque part

«Ces temps-ci, les pays d’Europe sont confrontés à des milliers de réfugiés qui ont fui la Syrie et d’autres pays déchirés par la guerre pour aller vers des lieux dont, en général, ils ne savent pas grand-chose. Recevoir des foules aussi importantes crée d’énormes difficultés. La manière dont nous gérons la crise des réfugiés, et tout particulièrement le processus d’installation et d’intégration, seront de la plus grande importance, tant pour ce qui est de l’attitude envers les réfugiés et les demandeurs d’asile à l’avenir que pour la stabilité et la viabilité à long terme de nos propres sociétés», a déclaré Knut Vollebaek, ambassadeur et ancien ministre norvégien des Affaires étrangères dans son discours à la conférence du COE et de l’ONU sur la crise des réfugiés en Europe qui s’est tenue à Genève les 18 et 19 janvier.

Douwe Visser: Puiser dans les racines de nos valeurs fondamentales pour faire face à la crise des réfugiés

Présent lors de la conférence de haut niveau organisée par le Conseil œcuménique des Églises et les Nations Unies sur la crise des réfugiés en Europe les 18 et 19 janvier, le secrétaire exécutif pour la théologie de la Communion mondiale d’Églises réformées (CMER), Douwe Visser, a été invité par le COE à donner son avis sur la situation des réfugiés du point de vue de la CMER.

La parole de la foi face aux voix de la peur

Les tragédies qui se produisent sur les terres et sur les mers alors que des milliers de personnes désespérées fuient la violence et l’extrême pauvreté qui sévissent dans leurs pays continuent de faire les grands titres des journaux. Pour aborder ce sujet, des représentants et représentantes de gouvernements, d’agences des Nations Unies et d’organisations de la société civile, y compris des organisations ecclésiales et des organisations d’inspiration religieuse, se sont rencontrés à Genève (Suisse) les 18 et 19 janvier à l’occasion d’une conférence de haut niveau accueillie par le COE, sur le thème de la crise des réfugiés et des migrants en Europe.

Une conférence du COE et de l’ONU appelle à une action coordonnée face à la crise des réfugiés

À l’issue d’une conférence de haut niveau sur la crise des réfugiés en Europe, organisée par le COE et des agences onusiennes au Centre œcuménique de Genève les 18 et 19 janvier, une déclaration a été produite, intitulée «La réponse de l’Europe à la crise des réfugiés et des migrants – Départ, transit, accueil et refuge: un appel au partage des responsabilités et à la coordination des actions».

Thomas de Maizière: en première ligne pour l’intégration des réfugiés

Certes, c’est la chancelière allemande, Mme Angela Merkel, qui a hardiment affirmé que l’Allemagne était disposée à recevoir des centaines de milliers d’immigrants; mais c’est à son allié de longue date, le ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière, qu’il échoit, selon ses instructions, de réaliser ce rêve – et d’empêcher qu’il ne tourne au cauchemar – par des dispositions concrètes pour l’accueil et l’intégration des migrants dans la société allemande et dans son économie.

Une conférence souligne la nécessité de renforcer la coopération face à la crise des réfugiés et des migrants

Une conférence de haut niveau réunissant à Genève des représentants de gouvernements, d’agences des Nations Unies et d’organisations de la société civile, dont des Églises et des organisations d’inspiration religieuse, a souligné l’urgente nécessité de renforcer la coordination et la coopération de la riposte européenne à la crise des réfugiés et des migrants.

Le Comité exécutif du COE publie une déclaration sur les crises migratoires

Profondément inquiet pour les migrants dans de nombreuses régions du monde, en particulier ceux qui «sont motivés à entreprendre des périples désespérément risqués et dangereux», le Comité exécutif du COE a déclaré: «Tous les membres de la communauté internationale ont une obligation morale et légale de sauver la vie des personnes en danger en mer ou en transit, quels que soient leur origine ou leur statut.»