«La justice fiscale est une question de foi», déclare Suzanne Matale. «La foi permet [à tous et à toutes] d’avoir la vie en abondance. Les personnes ordinaires ont le droit d’être informées et de participer aux prises de décision qui touchent à notre dignité donnée par Dieu».
Les responsables de deux initiatives de lutte contre le VIH du Conseil œcuménique des Églises (COE) se sont réunis pour examiner et célébrer le travail accompli ainsi que pour poursuivre la planification d'une lutte renforcée du COE contre le VIH au sein de la nouvelle Commission pour la santé et la guérison du COE.
Dans le cadre d’une initiative d’inspiration religieuse du PEPFAR et de l’ONUSIDA, le programme Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (WCC-EHAIA), a organisé, en partenariat avec Pole Institute, une consultation sur les risques et vulnérabilités liés au VIH auxquels sont confrontés les migrants, les personnes déplacées, et les réfugiés à Goma, en République démocratique du Congo.
En avril 2021, le programme Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (COE) organisera des ateliers sur l’observance du traitement du VIH en Côte d’Ivoire et au Nigéria.
Du 18 au 20 mars, le programme Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (COE) co-organise une consultation avec le Conseil des Églises de Zambie dans le but de renforcer l’observance du traitement du VIH.
Du 1er au 5 mars à Jos (Nigéria), le Conseil œcuménique des Églises (COE) co-animera un atelier sur la réduction des risques et des vulnérabilités face au VIH pour les migrants, les réfugiés et les personnes déplacées à l’intérieur du territoire.
Grâce à quatre années de collaboration avec le Complexe scolaire laïque Effata au Togo, le Programme d’initiatives et de plaidoyer œcuméniques sur le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (COE) a initié les élèves et les enseignants aux Jeudis en noir, vers un monde sans viol ni violence, les a aidés à mieux répondre au VIH et leur a offert un espace sûr pour discuter d’une santé sexuelle et reproductive responsable.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) rend hommage à Hendrew Lusey-Gekawaku, décédé le 13 octobre 2020. Infirmier diplômé et professionnel de la santé publique, cet œcuméniste a apporté une contribution considérable aux actions œcuméniques et interconfessionnelles contre le VIH/sida.
Au cours d’une cérémonie reconnaissant les jeunes d’Ouganda comme de véritables «agents du changement» en matière de santé et de guérison, la pasteure Pauline Njiru, coordinatrice régionale pour l’Afrique de l’Est des Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises, a déclaré que les jeunes apportaient une nouvelle impulsion pour la justice dans de nombreuses communautés locales.
Et si le VIH n’était qu’un virus, et non plus un tabou? Cette semaine, les responsables religieux se sont rassemblés en Tanzanie afin de débattre de la stigmatisation et de la discrimination envers le VIH.
Isabel Apawo Phiri, secrétaire générale adjointe du Conseil œcuménique des Églises (COE), a présenté un important discours sur la diaconie œcuménique à l’occasion de la conférence sur la diaconie et le développement en Afrique.
À l'occasion de la 11e Assemblée générale de la Conférence des Églises de toute l'Afrique (CETA), qui se tient du 1er au 7 juillet à Kigali (Rwanda), le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), s'est exprimé sur «L'unité du mouvement œcuménique».
À l’occasion de la 10e assemblée du COE en 2013, Shyreen Mvula, 19 ans, avait captivé des centaines de personnes en racontant son histoire de courage, celle d’une jeune femme née séropositive qui a lutté toute sa vie pour la justice.
Le Conseil œcuménique des Églises, l’Alliance évangélique mondiale et la Conférence des Églises de toute l’Afrique, ainsi que des organisations humanitaires chrétiennes, des réseaux d’Églises, des organisations ecclésiales et leurs partenaires encouragent les congrégations religieuses du monde entier à célébrer, le 10 juin prochain, la deuxième «Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine».
Le pasteur Ikechukwu Anaga se souvient de l'époque où les gens ne connaissaient pas la campagne des «Jeudis en noir», le mouvement mondial de résistance contre les attitudes et les pratiques autorisant le viol et la violence.
Autour de la Conférence mondiale sur la mission et l’évangélisation (CME), plusieurs expositions ont été présentées par différents groupes et individus, avec des étals d’articles colorés à vendre: sacs, vêtements traditionnels, chaussures, bijoux et art.
Des théologiennes africaines, auteures du livre «There is Something We Long For» (Nous avons un rêve), ont reçu le prix Marga Bührig 2017 lors d'un colloque en fin de semaine, à Bâle, en Suisse, où l’ouvrage a été honoré.
Du 15 au 22 octobre 2017, l'Alliance œcuménique «agir ensemble» du Conseil œcuménique des Églises invite une nouvelle fois les Églises du monde entier à une Semaine d'action des Églises pour l'alimentation, une occasion de prier, de réfléchir et d’agir ensemble, pour la justice alimentaire à travers le monde.
Dans le cadre d’un appel à l’action lancé à la veille de la rencontre annuelle des dirigeants des premières puissances mondiales, le Conseil œcuménique des Églises (COE), l’Alliance ACT et la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA) ont exhorté les dirigeants du G20 à prendre des mesures pour éradiquer la faim et faire durer la justice et la paix dans la Corne de l’Afrique.
Marchant dans les rues de Nairobi pour la Journée de l’enfant africain 2017, les responsables religieux de différentes communautés de foi du Kenya se sont exprimés publiquement en faveur des droits des enfants et des adolescent-e-s vivant avec le VIH. Ils étaient accompagnés de centaines de personnes, notamment des élèves de six écoles de Nairobi et des dizaines de jeunes bénévoles.