Un colloque en ligne de trois jours, du 11 au 13 février, organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Séminaire œcuménique et francophone de théologie de l’écologie, a rassemblé des personnalités autour du thème «Penser les relations écologiques à l’ère de l’anthropocène».
Pendant la période de Pâques à Jérusalem, la Via Dolorosa, le dernier tronçon parcouru par Jésus avant sa crucifixion, était déserte tout au long de la Semaine sainte. En revanche, la célèbre cérémonie du «feu sacré» commémorant la résurrection de Jésus ne sera pas virtuelle, comme l’ont été nombre de célébrations pascales.
Alors qu’elle se réunit cette semaine à Brisbane, en Australie, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été informée des conséquences durables pour les îles du Pacifique des cinquante années d’essais nucléaires dans la région, devenue l’une des zones du monde les plus sensibles aux changements climatiques.
Du 13 au 20 octobre 2019, l’Alliance œcuménique «agir ensemble» du COE invite une nouvelle fois les Églises du monde entier à une Semaine d’action des Églises pour l’alimentation – une occasion de prier, de réfléchir et d’agir ensemble en faveur de la justice alimentaire à travers le monde.
Après qu’un incendie s’est déclaré le 15 avril en la cathédrale Notre-Dame, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Olav Fykse Tveit, se dit choqué des dégâts subis par l’un des monuments les plus connus de Paris et le siège de l’archevêché de Paris.
Le Conseil d’Églises chrétiennes en France (CÉCEF) encourage des Églises locales à aider à financer le récent projet d’éco label Eglise verte, par leurs offrandes lors de célébrations œcuméniques communes pendant la Semaine de prière pour l’unité chrétienne.
Les pèlerins protestants appuient à fond sur la pédale ces derniers jours. Le pèlerinage à vélo sur la route de la justice et de la paix parcourt les deux rives du Rhin pendant 14 jours, de Constance à Worms.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.
Les encouragements, l’inspiration et les récits ont animé la discussion plénière du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) consacrée au Pèlerinage de justice et de paix.
À leur arrivée à l’aéroport Ben-Gourion la semaine dernière, pour assister à une réunion sur la justice climatique, des membres du personnel et des partenaires du COE ont été placés en détention ou expulsés dans des conditions sans précédent que le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, qualifie d’intolérables.
Pour Hind Khoury, la question de la justice de l’eau est très simple. Elle est convaincue qu’il n’y a pas de justice de l’eau en Palestine parce que, si l’accès à l’eau potable ou utilisable pour les installations sanitaires existe en Israël, ce n’est pas le cas dans les territoires palestiniens qu’il occupe.
Dans le classement des pays qui disposent de beaucoup d’eau, le Brésil s’inscrit parmi les plus favorisés. Il dispose de 12% des réserves mondiales d’eau douce. Pourtant, pour Magali do Nascimento Cunha, la situation n’est pas aussi brillante des points de vue de la distribution d’eau et de la disponibilité d’installations sanitaires.
À Jérusalem, lors du lancement de la campagne des «Sept semaines pour l’eau», le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises COE, a rappelé que la population palestinienne affronte une crise de l’eau.
Le Réseau œcuménique de l’eau du COE invite ses Églises membres et les personnes qui le soutiennent à mener une réflexion l’eau pendant le carême. Pour beaucoup de gens dans le monde, l’eau est soit quelque chose qui va de soi, soit quelque chose dont on a désespérément besoin.
À l’issue d’une conférence de haut niveau sur la crise des réfugiés en Europe, organisée par le COE et des agences onusiennes au Centre œcuménique de Genève les 18 et 19 janvier, une déclaration a été produite, intitulée «La réponse de l’Europe à la crise des réfugiés et des migrants – Départ, transit, accueil et refuge: un appel au partage des responsabilités et à la coordination des actions».
Les changements climatiques posent de sérieux défis au niveau de l’approvisionnement alimentaire, tant présent que futur. Ce sont les communautés les plus pauvres, dont l’empreinte carbone est la plus modeste de la planète, qui doivent affronter les plus graves effets de ces changements. Depuis plusieurs années, le droit à la nourriture constitue un problème crucial et une priorité pour de nombreux milieux, dont les Églises et les délégations œcuméniques, qui participent aux débats sur le climat.
«Nous croyons que vous vous mettrez au service du monde en montrant le meilleur de la créativité et des capacités humaines», a déclaré le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, le 8 décembre, dans son allocution au segment de haut niveau de la COP21, la Conférence internationale sur le climat qui se tient à Paris.