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Des mots de ténacité résonnent dans les décombres

«Nous ne quitterons pas Gaza tant qu’il y aura une église debout.»

«Nous ne serons pas les derniers chrétiens à vivre à Gaza.»

«Nous avons tout perdu, mais nous ne perdrons ni notre mission, ni notre appartenance à ce lieu cher à nos cœurs.»

«Le christianisme a commencé ici et restera ici.» 

Tels sont les mots prononcés par Nader Abu Amsha, directeur exécutif du Département du service aux réfugiés de Palestine du Conseil des Églises du Moyen-Orient (DSPR-CEMO), qui tâche simplement de les aider à survivre jusqu’au lendemain. 

Stimmen der Standhaftigkeit inmitten der Zerstörung

„Wir werden Gaza nicht verlassen, so lange dort noch eine Kirche steht.“

„Wir werden nicht die letzten Christen sein, die in Gaza leben.“

„Wir haben alles verloren, aber wir können unsere Mission und unsere Zugehörigkeit zu diesem Ort, der uns so sehr am Herzen liegt, niemals aufgeben.“

„Das Christentum ist hier entstanden, und es wird auch hier bleiben.“  

Diese Worte hört Nader Abu Amsha, Direktor der Abteilung für Soziale Dienste für Palästinensische Geflüchtete des Rates der Kirchen im Nahen Osten (DSPR-MECC), von den Menschen, die er in ihrem Überlebenskampf zu unterstützen versucht.

Vorsitzender der Kommission für internationale Angelegenheiten spricht über die komplexe Rolle der Kirchen in der Friedensarbeit

Dr. Mathews George Chunakara, der neue Vorsitzende der Kommission der Kirchen für internationale Angelegenheiten des Ökumenischen Rates der Kirchen, spricht in einem ÖRK-Videointerview darüber, welche Rolle die Kirchen in der Friedensarbeit und im Einsatz für Gerechtigkeit spielen, und erklärt, welche schwierigen Aufgaben vor der Kommission liegen. 

Réflexions du président de la Commission des Églises pour les affaires internationales sur le rôle complexe des Églises dans la construction de la paix

Dans une interview vidéo réalisée par le COE, M. Mathews George Chunakara, nouveau président de la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE), s’exprime sur le rôle des Églises dans l’édification de la paix et le combat pour la justice, et aborde les défis qui attendent la commission.

Conversation avec Christiane Ehrengruber: le pouvoir de la prière et de l’identité

Rencontre avec Christiane Ehrengruber, 27 ans, professionnelle de la communication numérique et des réseaux sociaux pour la Evangelische Mission Weltweit (Mission évangélique mondiale) en Allemagne. Forte d’un bagage en théologie protestante et d’expériences bénévoles dans la politique universitaire et l’œcuménisme international, les réflexions d’Ehrengruber sur l’importance de la prière, le thème de l’unité chrétienne et les défis auxquels les Églises sont confrontées nous livrent une perspective unique pour vivre sa foi dans le monde actuel.

Im Gespräch mit Christiane Ehrengruber: Potenzial von Gebet und Identität aufzeigen

Christiane Ehrengruber ist 27 Jahre alt und arbeitet für die Evangelische Mission Weltweit in Deutschland im Bereich digitale Kommunikation und soziale Medien. Sie hat evangelische Theologie studiert und sich ehrenamtlich in der Hochschulpolitik und der internationalen Ökumene engagiert. Ihre Gedanken zur Bedeutung von Gebet, der Einheit aller christlichen Gläubigen und den Herausforderungen, mit denen die Kirchen konfrontiert sind, liefern einen einzigartigen Blickwinkel auf die Bedeutung von Religion in unserer heutigen Welt.

Religiöse Führungspersönlichkeiten setzen sich gemeinsam und in Solidarität mit Geflüchteten für Klimafrieden ein und geben der UN-Konferenz neue Impulse

Als religiöse Führungskräfte von rund 40 glaubensgeleiteten Organisationen aus der ganzen Welt während einer Zusammenkunft in Genf beschlossen, das individuelle Recht auf Asyl zu verteidigen, war dies ein Höhepunkt am Vorabend des Globalen Flüchtlingsforums, der weltweit größten Versammlung dieser Art. Die Teilnehmenden trafen sich am 12. Dezember auf einer eintägigen Veranstaltung beim Ökumenischen Rat der Kirchen (ÖRK) unter Vorsitz eines armenischen Erzbischofs und eines UN-Diplomatin, die früher einmal türkische Abgeordnete war.

Les responsables religieux-ses s’unissent pour la paix climatique, en solidarité avec les personnes réfugiées, et encouragent la conférence de l’ONU

Les responsables religieux-ses d’une quarantaine d’organisations confessionnelles du monde entier se sont mis-es d’accord pour continuer à défendre le droit individuel de demande d’asile, lors d’une réunion à Genève. C’était un moment fort à la veille du Forum mondial sur les réfugiés, le plus grand rassemblement international de ce type au monde. Ils et elles se sont réuni-e-s le 12 décembre, au Conseil œcuménique des Églises (COE), sous la présidence d’un archevêque arménien et d’une diplomate des Nations unies, ancienne législatrice turque.

„Die Menschen wollen ohne Angst und ständige Übergriffe leben“

Máire Ní Mheibhric aus Galway, Irland, war vom 31. August bis zum 7. Oktober als ökumenische Begleitperson in dem Dorf Tubas im Westjordanland im Einsatz. Bereits 2019 war sie in Hebron als ökumenische Begleiterin tätig. Das ökumenische Begleitprogramm in Palästina und Israel des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK) wurde nach einem Appell örtlicher Kirchenleitender ins Leben gerufen, die sich für eine internationale Präsenz im Land eingesetzt haben. Die Begleitpersonen unterstützen die lokale Bevölkerung und die Gemeinschaften, übernehmen durch ihre Präsenz eine Schutzfunktion und werden unmittelbar Zeuge der täglichen Kämpfe und Hoffnungen der dort lebenden Menschen. Ní Mheibhric beschreibt hier, was sie während ihres Einsatzes erlebt hat.

«La population veut vivre sans crainte et sans harcèlement permanent»

Máire Ní Mheibhric est originaire de Galway, en Irlande. Du 31 août au 7 octobre derniers, elle était accompagnatrice œcuménique (AO) à Tubas, un village de Cisjordanie. Elle avait déjà été AO en 2019 à Hébron. Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël (EAPPI) a été créé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) à la demande des responsables des Églises locales, qui réclamaient la mise en place d’une présence internationale dans leur pays. Ce programme accompagne les populations et les communautés locales en assurant une présence protectrice et en témoignant de leurs luttes et espérances quotidiennes. Máire Ní Mheibhric revient ci-dessous sur ce qu’elle a observé sur le terrain.

«L’occupation ne peut durer éternellement»

La pasteure Annica Anderbrant, de Suède, était accompagnatrice œcuménique près de Jérusalem du 31 août au 7 octobre. Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël du Conseil œcuménique des Églises, en réponse à un appel des responsables des Églises locales à créer une présence internationale dans le pays, accompagne les communautés et populations locales et offre une présence protectrice ainsi qu’un témoignage de leurs luttes quotidiennes et de leurs aspirations. Ci-après, la pasteure Anderbrant revient sur ce qu’elle a vu sur le terrain.

Les enfants se sentent en sécurité pour aller à l’école lorsque les Accompagnateurs œcuméniques sont présents

Igor Galvão, du Brésil, a été accompagnateur œcuménique dans la Vieille ville de Jérusalem du 31 août au 7 octobre. Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël du Conseil œcuménique des Églises (COE), fondé sur un appel des responsables ecclésiaux locaux afin d’établir une présence internationale dans le pays, accompagne les populations et les communautés locales, apportant une présence protectrice et témoignant de leurs peines et espérances quotidiennes. Galvão nous livre ses réflexions sur ce dont il a été témoin sur le terrain et sur le travail à accomplir.

Kinder fühlen sich auf Schulweg sicher, wenn ökumenische Begleitpersonen da sind

Igor Galvão aus Brasilien war vom 31. August bis 7. Oktober als ökumenische Begleitperson in der Altstadt von Jerusalem tätig. Das Ökumenische Begleitprogramm in Palästina und Israel (EAPPI) des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK), das auf die Bitte der örtlichen Kirchenleitungen, eine internationale Präsenz in dem Land zu schaffen, hin ins Leben gerufen wurde, begleitet Menschen und Gemeinwesen vor Ort; es bietet ihnen durch die internationale Präsenz Schutz und vermittelt ihnen das Gefühl, mit ihren alltäglichen Probleme und Hoffnungen nicht allein zu sein. Im Folgenden spricht Galvão über das, was er vor Ort erlebt hat, und über die anstehende Arbeit.

„Besetzung kann nicht ewig dauern“

Pastorin Annica Anderbrant aus Schweden war vom 31. August bis 7. Oktober in der Nähe von Jerusalem als ökumenische Begleitperson im Einsatz. Das Ökumenische Begleitprogramm in Palästina und Israel (EAPPI) des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK), das auf die Bitte der örtlichen Kirchenleitungen, eine internationale Präsenz in dem Land zu schaffen, hin ins Leben gerufen wurde, begleitet Menschen und Gemeinwesen vor Ort; es bietet ihnen durch die internationale Präsenz Schutz und vermittelt ihnen das Gefühl, mit ihren alltäglichen Probleme und Hoffnungen nicht allein zu sein. Im Folgenden berichtet Anderbrant über das, was sie vor Ort erlebt hat.