À l’approche de la Journée mondiale de la santé, célébrée le 7 avril de chaque année, le Conseil œcuménique des Églises invite les peuples du monde entier à se joindre aux prières et aux réflexions.
Trois commissions du Conseil œcuménique des Églises (COE), à savoir la Commission des Églises pour les affaires internationales, la Commission des Églises pour la santé et la guérison et la Commission des Églises pour la justice climatique et le développement durable, se réunissent du 5 au 8 mars à Genève autour du thème «La foi, la diaconie et un témoignage efficace au XXIe siècle».
Dans le cadre des débats de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur les droits humains et la fistule obstétricale, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et ses partenaires œcuméniques ont appelé les gouvernements à porter une plus grande attention à la prévention de la fistule obstétricale dans leurs politiques, leurs plans stratégiques et leurs budgets.
Encourageant la communauté fraternelle du COE dans son appel permanent à la vie de disciple, le Comité central du COE a recommandé aux églises membres du COE le document « Appelé à la transformation – Diaconie œcuménique et addenda ».
Une compilation des articles les plus lus parmi ceux publiés par le Conseil œcuménique des Églises (COE) révèle une communauté mondiale axée sur un avenir meilleur, malgré les graves difficultés auxquels le monde a été confronté en 2021.
Le comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) s'est réuni le 12 novembre - pour la première fois depuis deux ans - et a entamé ses travaux avec le désir de réimaginer l'avenir en identifiant certaines tendances et opportunités nées à la suite à la tragique pandémie de COVID-19. La réunion se déroule de manière hybride à l'Institut œcuménique de Bossey et par vidéoconférence.
Le lundi 30 août, de 17h 00 à 18h 30 CEST, tous les médias sont invités à venir s’informer sur les efforts urgents déployés par les principales ONG et autres organisations en faveur d’une coopération et d’un dialogue multinationaux et mondiaux dans le sillage de la pandémie de COVID-19.
Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.
Le Conseil oecuménique et le Congrès juif mondial présentent un document invitant les responsables religieux à réfléchir et s’impliquer dans les questions morales liées à la distribution mondiale des vaccins.
Alors que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme face aux millions de personnes poussées par la pandémie de coronavirus au bord d’une «famine généralisée aux proportions bibliques», un haut responsable chrétien en Afrique insiste sur la possibilité de vaincre la faim, sous le joug de laquelle se trouvent de nombreuses personnes sur le continent.
Cinquante ans après son assemblée à Uppsala (Suède), qui était résolument tournée vers l’engagement public, le Conseil œcuménique des Églises (COE) continue de s’engager et de s’atteler aux questions d’intérêt public et au bien commun.
«L’invitation au Pèlerinage de justice et de paix a offert une nouvelle occasion de réorienter notre compréhension de la diaconie et de nous retrouver œcuméniquement dans nos travaux diaconaux», déclare le pasteur Kjell Nordstokke à l’occasion du Comité central du Conseil œcuménique des Églises le 16 juin.
À sa fondation il y a 70 ans, le Conseil œcuménique des Églises (COE) s’était déjà engagé dans des activités diaconales pendant plusieurs années, facilitant la réinstallation de centaines de milliers de personnes réfugiées au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale.
Le prince Harry, Elton John, Charlize Theron, l’archevêque Thabo Makgoba, Bill Gates – des princes, des célébrités, des responsables religieux et des philanthropes se sont joints aux chercheurs, aux personnalités politiques, aux professionnels de la santé et aux militants – dont certains sont religieux – lors de la 21e Conférence internationale sur le sida à Durban.
Lors de la session de clôture de la pré-conférence confessionnelle sur le VIH et le sida, les communautés confessionnelles se sont réengagées à venir à bout de la maladie et à ne pas relâcher la pression face à la lassitude qui pourrait gagner tous les intervenants.
Plus de 150 personnes ont assisté à la pré-conférence interconfessionnelle, qui s’est ouverte le 16 juillet à Durban. Elles ont ainsi pu s’informer sur les défis urgents que sont la réduction de l’ostracisme et de la discrimination, l’amélioration de l’accès aux services afférents au VIH et la défense des droits de l’homme, élément essentiel pour éradiquer le sida avant 2030. La maladie est une véritable menace pour la santé publique.
La Journée mondiale de la santé, le 7 avril, est consacrée cette année au diabète. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier son premier rapport mondial sur le diabète, qui révèle que le nombre d’adultes diabétiques dans le monde a presque quadruplé depuis 1980: 422 millions de personnes sont concernées, soit 8,5 % de la population adulte mondiale.
Le COE et l’Alliance œcuménique «Agir ensemble» (EAA) sont convenues de réintégrer l’EAA comme projet du COE, préservant ainsi l’avenir de ce réseau chrétien diversifié spécialisé dans les actions internationales sur des thèmes choisis et spécifiques.