Le 15 mars, un groupe d’accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques du Conseil œcuménique des Églises (COE) était invité à partager le dîner du shabbat avec la congrégation de Kol HaNeshama à Jérusalem.
À la mi-mars, les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques se sont rendu-e-s à Ma’alul, un village palestinien détruit pendant la guerre israélo-arabe de 1948.
La matinée s’annonçait belle et ensoleillée pour la marche solidaire organisée mardi par les Rabbins pour les droits de l’homme (Rabbis for Human Rights) à travers la zone H2 d’Hébron sous administration israélienne, où les tensions exacerbées ont forcé le Conseil œcuménique des Églises (COE) à interrompre temporairement la présence de ses accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.
La condamnation de l’antisémitisme par le Conseil œcuménique des Églises (COE) est claire et catégorique. Le COE considère l’antisémitisme comme irréconciliable avec la profession et la pratique de la foi chrétienne, et un péché contre Dieu et contre l’humanité.
Le COE a publié une lettre ouverte aux médias en réponse au rapport que vient de publier l’ONG Monitor, qui critique le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël.
Une cour administrative d'appel de Jérusalem vient d'invalider une décision de l'État israélien interdisant l'entrée dans le pays à Mme Isabel Apawo Phiri, secrétaire générale adjointe du Conseil œcuménique des Églises (COE).
À 4 h45, le poste de contrôle de Qalandiya est déjà bondé alors que des milliers et des milliers de Palestiniens tentent chaque jour de rejoindre Jérusalem.
«10 minutes, c’est la règle. Si à 5h 50 l’autre AO n’est pas levé, vous pouvez faire du vacarme dans votre chambre.» Le métier de berger commence au lever du jour et les accompagnateurs et accompagnatrices du Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël du Conseil œcuménique des Églises jouent un rôle particulier en offrant une présence protectrice à la communauté palestinienne de Cisjordanie.
La date prévue de la démolition de Khan al Ahmar était fixée au 1er octobre. Bien que la communauté bédouine tienne bon, la crainte de voir les bulldozers apparaître est de tous les instants.
Les responsables des Églises d'Israël et des Territoires palestiniens occupés ont réagi avec consternation et préoccupation à l'adoption par la Knesset israélienne, le 19 juillet 2018, d'une nouvelle loi fondamentale: Israël, État-nation du peuple juif. Cette loi stipule que «le droit à l'autodétermination nationale au sein de l'État d'Israël ne concerne que le peuple juif».
Le 12 juillet, alors que se propageait l’annonce par Israël de la destruction imminente d’un village bédouin malgré une injonction temporaire, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Olav Fykse Tveit, a condamné le projet de démolition, le qualifiant de violation des droits des personnes, notamment des enfants vulnérables, qui résident à Khan al-Ahmar.
Le Conseil œcuménique des Églises invite ses Églises membres, les organisations d’inspiration religieuse et les organisations de la société civile du monde entier à s’unir pour une semaine de prière pour une paix juste pour toutes et tous en Palestine et Israël du 16 au 23 septembre 2018.
En exprimant sa profonde inquiétude et en alertant sur la détérioration de la situation des droits humains en territoire palestinien occupé, le COE suggère une série de mesures en réponse aux récentes violences dans la bande de Gaza et autres actes de provocations en Israël et en Palestine.
Le 23 avril, les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques de plus de 20 pays ont remis à un nouveau groupe la «feuille de route» établie par le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël (EAPPI) du Conseil œcuménique des Églises.
Le Jury œcuménique du 32e Festival International de Films de Fribourg (FIFF), qui s'est déroulé du 16 au 24 mars, a décerné son Prix au film Foxtrot, du réalisateur israélien Samuel Maoz. Le long-métrage aborde l'omniprésence de la violence et de la mort au sein de la société israélienne et palestinienne, en plein conflit israélo-palestinien. Ce film a également décroché le Prix Don Quichotte de la Fédération internationale des ciné-clubs (FICC).
Dans un acte extrêmement inhabituel, les responsables des Églises de Jérusalem ont fermé les portes de l’église du Saint-Sépulcre dimanche dernier. Cette protestation est une réaction aux nouvelles mesures prises par les autorités de Jérusalem pour collecter des dizaines de millions de dollars sous forme de taxes aux Églises, ainsi qu'à un projet de loi visant à confisquer les terres appartenant aux Églises.
Une chaleureuse effervescence règne dans l'église. On assiste à d'heureuses retrouvailles. Amis et collègues sont réunis. Pour certains, l'heure est aux adieux. Pour d'autres, l'heure est aux messages de bienvenue. Près de 150 personnes sont réunies dans l'église Sainte-Anne, à Jérusalem-Est. Toutes ont souhaité prier pour une paix juste, mettre fin à 50 ans d'occupation et la solidarité entre Palestiniens et Israéliens. L'heure est venue pour les accompagnateurs œcuméniques du groupe 67 de passer le flambeau à ceux du groupe 68.
Convaincus que la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël constitue un sérieux coup porté aux efforts en faveur d'une paix juste et durable en Terre sainte et risque de raviver les tensions dans la région, les chrétiens du monde entier ont souhaité le faire savoir.
Réuni à Amman (Jordanie) du 17 au 23 novembre, le Comité exécutif du COE a publié un communiqué dans lequel il exprime ses inquiétudes quant aux menaces que font peser les contrats à la légalité contestée, les colons radicaux et les politiques du gouvernement d'Israël sur les institutions et les biens religieux de Jérusalem.
De Genève à Bethléem et ailleurs dans le monde, la Semaine mondiale pour la paix en Israël et en Palestine, initiative du Conseil œcuménique des Églises (COE), a inspiré, la semaine dernière, des rassemblements de prière, de réflexion et d’action.