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Dans son appel à un nouveau pacte social, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Olav Fykse Tveit, enjoint les personnes participant à Conférence mondiale interreligieuse organisée à Abu Dhabi, aux Émirats arabes unis, à faire usage de leur influence et de leurs institutions religieuses pour promouvoir la tolérance et le respect grâce à la valeur transcendantale et à la pratique concrète de l’amour.

Le Comité exécutif du COE s’est réuni à Uppsala, en Suède, du 1er au 8 novembre pour approuver la planification et le budget pour 2019, assurer un suivi et prendre des décisions concernant divers sujets en lien avec l’Assemblée, réviser le plan stratégique du COE, débattre des affaires internationales et émettre sept déclarations en réponse aux situations actuelles. Le Comité exécutif a également déterminé la voie à suivre concernant la stratégie de communication du COE.

Le COE a salué le travail accompli par les Églises qui, à travers le monde, accueillent et soutiennent les populations migrantes et réfugiées. Dans le même temps, il a mis en garde la communauté internationale contre les réactions politiques racistes ou xénophobes.

En 1968, le mouvement œcuménique fit un important pas en avant lorsque son engagement en faveur de la justice et de la paix se manifesta à l’Assemblée générale du Conseil œcuménique des Églises (COE) à Uppsala, Suède.

Lors d’une Conférence sur la lutte contre l’intolérance et la discrimination, le 22 octobre à Rome, l’archevêque émérite Dr Anders Wejryd, actuel Président du COE pour l’Europe, a centré son allocution sur les origines de la discrimination fondée sur la religion et la croyance et les solutions à y apporter.

Au lancement du colloque mondial sur la Décennie des Églises solidaires des femmes le 2 octobre, les responsables du Conseil œcuménique des Églises ont prononcé des paroles d’encouragement et de détermination pour l’avenir.

Qu’avons-nous fait concrètement pour construire une communauté juste de femmes et d’hommes? Que devons-nous encore faire? Comment pouvons-nous renforcer la collaboration œcuménique en lisant les signes de notre temps pour dresser la carte de la voie à suivre dans nos travaux?

Le pape François s’est entretenu le 20 septembre dernier avec les responsables de différentes Églises chrétiennes participant à la réunion sur la lutte contre le racisme et la xénophobie à Rome, déclarant qu’il espère que cette rencontre ouvrira la voie à de nombreuses autres initiatives de partage similaires.

Ce jour, les participants à la conférence «La xénophobie, le racisme et le nationalisme populiste dans le contexte de la migration mondiale» ont publié un message qui affirme et soutient l'institution de l'asile pour celles et ceux qui fuient la guerre, les persécutions ou les catastrophes naturelles. En outre, il invoque le respect des droits de toutes les personnes déplacées.

À l’occasion d’une conférence mondiale sur la xénophobie organisée à Rome, un panel de quatre responsables religieux respectivement de tradition bouddhiste, chrétienne, hindoue et islamique, se sont exprimés ouvertement sur la manière dont la xénophobie peut parfois être profondément ancrée dans le tissu de ces traditions.

Les responsables religieux et les représentant-es de la société civile de différents pays et de diverses Églises chrétiennes se sont réunis à Rome les 18 et 20 septembre pour débattre du besoin urgent de lutter contre la peur grandissante des personnes dites «étrangères».

Avez-vous déjà songé à composer un oratorio à propos du mouvement œcuménique, et à le dédier au Conseil œcuménique des Églises?

La riche histoire du Conseil œcuménique des Églises, organisation qui favorise la compréhension et la coopération entre les chrétiens du monde entier, est célébrée cette semaine à Amsterdam, où a eu lieu l’Assemblée fondatrice du mouvement.

Un colloque international commémorera le 20ᵉ anniversaire de la Décennie œcuménique des Églises solidaires des femmes (1988-1998) du 1ᵉʳ au 6 octobre prochain à Kingston, en Jamaïque.