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Dans une lettre pastorale adressée aux Églises du Soudan du Sud et à Norwegian Church Aid, le secrétaire général du Conseil Œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, s’est déclaré choqué et attristé par l’attaque contre des véhicules de Norwegian Church Aid à Imehejek, Lopa Lafon, dans la région d’Équatoria-Oriental au Soudan du Sud.

Le 10 mars, après avoir accueilli un pèlerinage de responsables religieux du monde entier, le Conseil des Églises du Soudan du Sud a publié une déclaration faisant écho à l’appel des responsables ecclésiaux prônant le recours à la non-violence afin de régler les problèmes de la nation.

Les responsables des Églises du Soudan du Sud ont salué la formation d’un nouveau gouvernement, annoncée le 12 mars dernier par le président sud-soudanais, Salva Kiir Mayardit.

La révélation du nouveau cabinet ministériel a mis fin à des mois d’attente angoissée d’un nouveau gouvernement d’union nationale tel que le prescrit l’accord de paix de 2018, baptisé Accord revitalisé sur le règlement du conflit en République du Soudan du Sud. Ledit cabinet est composé de 34 ministres et de 10 vice-ministres.

Au moment où les populations chrétiennes du monde entier se préparent à célébrer le week-end de Pâques, les responsables d’Église du Soudan du Sud ont offert le cadeau de la paix au peuple, qui a connu beaucoup de souffrances et d’épreuves à cause de la violence et des conflits.

Des représentants et représentantes du Conseil des Églises du Soudan du Sud (SSCC) ont participé à une série de réunions la semaine dernière à New York, aux côtés du Conseil œcuménique des Églises (COE), pour informer les États membres et les agences de l’ONU de la crise actuelle et pour défendre un chemin de paix.

Les responsables des Églises du Soudan du Sud ont déclaré dans leur message de Pâques que les Églises maintenaient leur engagement au service de l’espérance, refusant de «céder à la peur ou à l’indifférence» dans leur patrie agitée où la cessation des conflits violents semble une fois de plus compromise.

Le 23 février, le pape François a appelé à une journée mondiale de prière et de jeûne pour le Soudan du Sud et pour la République démocratique du Congo, deux pays en proie aux conflits, aux désordres et à la famine.

Alors que le nombre de personnes souffrant de la faim n'a jamais été aussi élevé dans l'histoire moderne, le COE et la Conférence des Églises de toute l'Afrique, aux côtés d'un certain nombre de réseaux et de partenaires confessionnels, lancent un appel à une Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine le 21 mai 2017, et ce, en réponse à la crise alimentaire.

Pour le superviseur général du Conseil des Églises du Soudan du Sud (SSCC), le pays est marqué par les traumatismes et le désespoir, et la seule institution capable d’offrir de l’espérance à l’heure actuelle est l’Église.

Le 28 septembre, à Genève, le Conseil œcuménique des Églises a co-organisé un débat intitulé «Reconstruction par le bas: le rôle de la société civile locale au Soudan du Sud.»

Entretien avec le père James Oyet-Latansio, secrétaire général du Conseil chrétien du Soudan du Sud et M. Ferdinand von Habsburg-Lothringen, conseiller en matière de réconciliation, Conseil des Églises du Soudan du Sud.

Le Conseil des Églises du Soudan du Sud (CESS) a encouragé toutes les parties au conflit qui sévit dans le pays à signer l’accord de compromis sur la résolution du conflit au Soudan du Sud.

Lors de sa réunion du 8 au 13 juin 2015, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a évoqué la situation alarmante du Soudan du Sud, dont les habitants continuent de subir massacres, viols, déplacements et torture. Tout indique que la situation humanitaire se détériore.

Alors que le conflit tragique au Soudan du Sud entre dans son dix-huitième mois, le COE et le Conseil des Églises du Soudan du Sud continuent d’appeler à la fin de ce conflit absurde. Les droits humains sont foulés au pied à tous les échelons, non seulement sur le champ de bataille mais aussi dans les zones encore en paix. Des gens sont tués, violés et torturés. La situation humanitaire se détériore. Le Soudan du Sud, terre riche et fertile, devrait être le grenier de l’Afrique, or il dépend de l’aide étrangère.

Alors que la situation tragique de conflit au Soudan du Sud entre dans son 17e mois, le Conseil œcuménique des Églises (COE) invite ses Églises membres à une journée de prière spéciale, le dimanche 10 mai, pour les personnes affectées par le conflit dans le pays, pour une reprise de pourparlers de paix constructifs et pour de nouvelles solutions.

Avec la collaboration du Conseil des Églises du Soudan du Sud, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a réuni des responsables d’Église pour un colloque extraordinaire sur le processus de paix au Soudan du Sud les 14 et 15 avril à Addis Abeba, en Éthiopie.

Inspiré par le thème du «pèlerinage de justice et de paix», le Comité central du COE, principal organe directeur du COE, a défini les orientations des activités du Conseil pour la période 2014-2017.