Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a présenté ses salutations au Sénat colombien le 13 décembre et a dit la joie qu’il ressentait pour le rôle joué par le COE dans le processus de paix en Colombie.
Dans son discours liminaire à la Conférence internationale pour la réconciliation en Colombie, le pasteur Kenneth Mtata, directeur de programme du Conseil œcuménique des Églises pour le témoignage public et la diaconie, fait part de ses réflexions sur les «enseignements et expériences œcuméniques en matière d’édification de la paix».
«C’est avec tristesse que nous avons appris le décès de Julio Hector de Santa Ana, référence dans le domaine de la théologie œcuménique dans une perspective libératrice», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE). J. de Santa Ana est décédé le 17 avril à Genève, en Suisse.
Le Pasteur Odair Pedroso Mateus a commencé à enseigner à l’Institut œcuménique de Bossey en 2004 et a rejoint le Conseil œcuménique des Églises (COE) en 2007. Récemment, il a été secrétaire général adjoint par intérim du COE et directeur de Foi et constitution. Il se livre pour nous à une réflexion sur ses meilleurs souvenirs, ses accomplissements et ses espoirs.
Une vidéo du lancement du livre de l’évêque Olav Fykse Tveit, «Visions of Christian Unity», vient d’être publiée par le Conseil œcuménique des Églises (COE).
Le secrétaire général intérimaire du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, a rendu visite à l’Église de Norvège le 23 novembre et s’est dit ravi à la fois de découvrir les bureaux de l’Église et du soutien qu’elle a apporté aux préparatifs de la 11e Assemblée du COE.
Lors de cérémonie de remise du Bridge Builder Award le 22 novembre dernier à Oslo, les artisans de paix interreligieux ont été reconnus pour l’importance de leur travail qui porte haut les valeurs de respect, d’amour et de tolérance mutuelle.
Alors que les feux de forêt continuent de faire rage en Grèce, aux États-Unis, en Albanie et en Russie, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a exprimé sa solidarité avec les Églises et les communautés qui continuent d'être évacuées ainsi qu'avec celles qui ont tout perdu.
Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.
Dans une lettre du 13 juillet adressée au Conseil de sécurité des Nations Unies, Diálogo Intereclesial por la Paz en Colombia (DiPaz), une plateforme interecclésiale pour la paix en Colombie, a demandé à la communauté internationale d’appeler le gouvernement colombien à reprendre la mise en œuvre de l’accord de paix et à renforcer les canaux de dialogue pour résoudre les problèmes sociétaux.
Le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, présente ses réflexions après avoir reçu le prix Bridge Builder pour avoir construit des ponts de compréhension entre les personnes, les nations et les communautés aux niveaux national et international. Le prix est décerné par le jury du Comité du 14 août de Norvège, en collaboration avec le Centre d’Oslo.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) reçoit le Bridge Builder Award pour avoir tissé des liens de compréhension entre les peuples, les nations et les communautés aux niveaux national et international. Le prix sera remis par le jury du Comité du 14 août Norvège et par le Centre d’Oslo.
Lors de l’ouverture de la réunion du Comité central du COE le 23 juin, le pasteur Olav Fykse Tveit, évêque président de l’Église de Norvège et ancien secrétaire général du COE, a prononcé une prière et un sermon d’ouverture. Il a qualifié ces circonstances de « moment intense ».
Le Conseil œcuménique des Églises, ACT Alliance, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées, la Communion anglicane, le Conseil méthodiste mondial, le Conseil épiscopal latino-américain et l'Association mondiale pour la communication chrétienne ont, dans une lettre envoyée le 18 mai, exhorté le président colombien Iván Duque Marquéz à mettre fin à la spirale de la violence qui porte un préjudice terrible à la population civile.
Confrontés à l’une des plus graves crises de santé publique dans le monde, les chrétiens du Brésil maintiennent leur traditionnelle célébration de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens dans la période précédant la Pentecôte. Toutefois, pour la deuxième année consécutive, ils prieront sans se rassembler physiquement.
Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.
Le film «Silence radio», de Juliana Fanjul, a reçu le prix des Droits de l’Homme 2020, décerné par l’Association mondiale pour la communication chrétienne (WACC) et l’Association catholique mondiale pour la communication (SIGNIS).
Le long métrage documentaire dresse le portrait de Carmen Arestigui, journaliste et animatrice radio critique envers le gouvernement.
Le meurtre brutal de Joao Alberto Silveira Freitas, un homme noir de 40 ans, aux mains de deux agents de sécurité blancs devant un supermarché à Porto Alegre au Brésil, le 19 novembre, la veille de la Journée nationale de la conscience noire, a suscité l’indignation dans tout le pays. Les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) se sont exprimées pour condamner ce meurtre et exprimer leur profonde inquiétude face à l’injustice raciale systémique au Brésil.
La création de Dieu gémit dans la forêt amazonienne, un espace sacré pour 34 millions de personnes souffrant de la croissance des inégalités, de l’invasion des terres, de l’extractivisme, de l’assouplissement des lois environnementales, de la criminalisation et du meurtre de ses défenseurs, et des incendies volontaires orchestrés par l’agribusiness – le tout aggravé par le prosélytisme.