Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a présenté ses salutations au Sénat colombien le 13 décembre et a dit la joie qu’il ressentait pour le rôle joué par le COE dans le processus de paix en Colombie.
Dans son discours liminaire à la Conférence internationale pour la réconciliation en Colombie, le pasteur Kenneth Mtata, directeur de programme du Conseil œcuménique des Églises pour le témoignage public et la diaconie, fait part de ses réflexions sur les «enseignements et expériences œcuméniques en matière d’édification de la paix».
«C’est avec tristesse que nous avons appris le décès de Julio Hector de Santa Ana, référence dans le domaine de la théologie œcuménique dans une perspective libératrice», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE). J. de Santa Ana est décédé le 17 avril à Genève, en Suisse.
De retour de leur visite de solidarité en Türkiye, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, et le secrétaire général de l’Alliance ACT, Rudelmar Bueno de Faria, ont diffusé un entretien vidéo dans lequel ils reviennent sur ce qu’ils ont vu, la manière dont les Églises agissent de concert et leurs propres réflexions sur leur visite qui s’est déroulée pendant la Semaine sainte occidentale, du 4 au 6 avril.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises et de l’Alliance ACT est en Turquie cette semaine pour faire part de la solidarité et du soutien des Églises sur le terrain afin de répondre aux besoins immenses au lendemain du séisme du 6 février.
Près de deux semaines se sont écoulées depuis le séisme qui a ravagé le nord de la Syrie et la Turquie le 6 février, ôtant la vie à plus de 41 000 personnes. Des milliers de bâtiments se sont également effondrés. Dans plusieurs villes comme Alep, Hama et Lattaquié, plus de 115 écoles ont été détruites.
Le Pasteur Odair Pedroso Mateus a commencé à enseigner à l’Institut œcuménique de Bossey en 2004 et a rejoint le Conseil œcuménique des Églises (COE) en 2007. Récemment, il a été secrétaire général adjoint par intérim du COE et directeur de Foi et constitution. Il se livre pour nous à une réflexion sur ses meilleurs souvenirs, ses accomplissements et ses espoirs.
Des groupes humanitaires et d’inspiration religieuse du monde entier ont lancé des appels à l’aide et à la prière tandis que les interventions s’intensifiaient au lendemain du séisme dévastateur qui a frappé la Syrie et la Turquie le 6 février.
Au lendemain du violent séisme qui a frappé la Turquie et la Syrie, les Églises se mobilisent pour offrir prières et aide humanitaire tandis que les opérations de secours se poursuivent.
Après le terrible tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie le 6 février dernier, les président-e-s du Conseil des Églises du Moyen-Orient ont convoqué une réunion d’urgence pour aborder la catastrophe et les moyens d’intervention.
Alors que les communautés en Turquie et en Syrie sont ébranlées par le tremblement de terre qui a emporté au moins 4 300 vies – chiffre qui ne cesse d’augmenter – les Églises ont pris contact avec les personnes touchées et prient pour la sécurité des disparu-e-s.
Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.
Dans une lettre du 13 juillet adressée au Conseil de sécurité des Nations Unies, Diálogo Intereclesial por la Paz en Colombia (DiPaz), une plateforme interecclésiale pour la paix en Colombie, a demandé à la communauté internationale d’appeler le gouvernement colombien à reprendre la mise en œuvre de l’accord de paix et à renforcer les canaux de dialogue pour résoudre les problèmes sociétaux.
Le Conseil œcuménique des Églises, ACT Alliance, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées, la Communion anglicane, le Conseil méthodiste mondial, le Conseil épiscopal latino-américain et l'Association mondiale pour la communication chrétienne ont, dans une lettre envoyée le 18 mai, exhorté le président colombien Iván Duque Marquéz à mettre fin à la spirale de la violence qui porte un préjudice terrible à la population civile.
Confrontés à l’une des plus graves crises de santé publique dans le monde, les chrétiens du Brésil maintiennent leur traditionnelle célébration de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens dans la période précédant la Pentecôte. Toutefois, pour la deuxième année consécutive, ils prieront sans se rassembler physiquement.
Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.
Le film «Silence radio», de Juliana Fanjul, a reçu le prix des Droits de l’Homme 2020, décerné par l’Association mondiale pour la communication chrétienne (WACC) et l’Association catholique mondiale pour la communication (SIGNIS).
Le long métrage documentaire dresse le portrait de Carmen Arestigui, journaliste et animatrice radio critique envers le gouvernement.
Les prières pour l’unité ont pris une autre allure cette année, mais elles n’ont pas été arrêtées par les restrictions généralisées sur les rassemblements en face à face. Des cartes de prières aux réflexions personnelles, des rassemblements en ligne aux nouvelles connexions, les images illustrent dans le monde entier la richesse spirituelle d’une famille œcuménique qui s’est réunie dans la prière.
Le meurtre brutal de Joao Alberto Silveira Freitas, un homme noir de 40 ans, aux mains de deux agents de sécurité blancs devant un supermarché à Porto Alegre au Brésil, le 19 novembre, la veille de la Journée nationale de la conscience noire, a suscité l’indignation dans tout le pays. Les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) se sont exprimées pour condamner ce meurtre et exprimer leur profonde inquiétude face à l’injustice raciale systémique au Brésil.