Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a présenté ses salutations au Sénat colombien le 13 décembre et a dit la joie qu’il ressentait pour le rôle joué par le COE dans le processus de paix en Colombie.
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a rendu visite au sultan du Sokoto, Muhammadu Sa’ad Abubakar. À l’instar du sultan de Sokoto, il est considéré comme le chef spirituel des 100 millions de fidèles musulmans au Nigéria.
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a conclu sa réunion le 14 novembre après une semaine de rassemblement au Nigeria, organisé par les Églises membres et accueilli dans la joie par les communautés locales.
À l’occasion d’une conférence de presse organisée le 14 novembre à Abuja, au Nigéria, les responsables du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont rappelé l’approche du COE sur certains des plus grands enjeux de notre temps, et la manière dont l’organisation est porteuse d’espérance.
À l’occasion de sa réunion du 8 au 14 novembre à Abuja, au Nigeria, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises a publié une déclaration soulignant «la diversité étonnante de cultures, de langues et de religions» au Nigeria — et appelant également le gouvernement du Nigeria à combattre les injustices économiques et d’autres graves difficultés auxquelles la nation est confrontée.
Évoquant «l’expérience d’un monde uni» vécue dans le cadre du Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) réuni à Abuja (Nigeria) du 8 au 14 novembre, l’évêque Heinrich Bedford-Strohm, président du Comité central du COE, a déclaré que cette rencontre lui apportait beaucoup d’espérance.
Dans son discours liminaire à la Conférence internationale pour la réconciliation en Colombie, le pasteur Kenneth Mtata, directeur de programme du Conseil œcuménique des Églises pour le témoignage public et la diaconie, fait part de ses réflexions sur les «enseignements et expériences œcuméniques en matière d’édification de la paix».
«C’est avec tristesse que nous avons appris le décès de Julio Hector de Santa Ana, référence dans le domaine de la théologie œcuménique dans une perspective libératrice», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE). J. de Santa Ana est décédé le 17 avril à Genève, en Suisse.
Le Pasteur Odair Pedroso Mateus a commencé à enseigner à l’Institut œcuménique de Bossey en 2004 et a rejoint le Conseil œcuménique des Églises (COE) en 2007. Récemment, il a été secrétaire général adjoint par intérim du COE et directeur de Foi et constitution. Il se livre pour nous à une réflexion sur ses meilleurs souvenirs, ses accomplissements et ses espoirs.
Dans une déclaration faite lors de la réunion de son Comité exécutif, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a exprimé son soulagement à l’annonce de la libération des dirigeants religieux enlevés au Nigéria, mais aussi son inquiétude face à la recrudescence des enlèvements criminels dans le pays.
Depuis sa création en 2016, le Centre international pour la paix et l’harmonie interreligieuses (International Centre for Inter-Faith Peace and Harmony – ICIPH) de Kaduna, au Nigeria, a constitué un cadre d'artisans de la paix, témoins de la paix et de l'harmonie interreligieuses. Il reste un symbole physique pour aider les musulmans et les chrétiens à travailler ensemble plus efficacement.
Dans l'État de Kaduna, au nord-ouest du Nigeria, les chrétiens font les frais de l'insécurité et de la violence. Des bandits s'attaquent aux maisons, aux villages et aux Églises, tuant des chrétiens et en enlevant d'autres pour obtenir une rançon.
La persécution religieuse, l'ambition territoriale et le nettoyage ethnique sont au cœur de la violence communautaire dans la région, où les communautés se sont installées en fonction de leur religion, selon le pasteur John Joseph Hayab, directeur national de la Global Peace Foundation (Fondation mondiale pour la paix) au Nigeria.
Les membres du Conseil chrétien du Nigeria ont adopté "Out of the Shadows", un document conçue pour mettre fin à toutes les formes de violence sexuelle à l’encontre des enfants.
Le professeur Dr h.c. Humberto Martin Shikiya, vice-président du Centre œcuménique régional de défense des causes et de service (CREAS) en Argentine, réfléchit à la manière dont le document « Servir un monde blessé dans la solidarité interreligieuse » : un appel chrétien à la réflexion et à l’action pendant la COVID-19 et au-delà » est reçu comme un appel plein d’espoir à la collaboration œcuménique et interreligieuse. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux ont publié conjointement « Servir un monde blessé » pour encourager les Églises et les organisations chrétiennes à réfléchir à l’importance de la solidarité interreligieuse dans un monde blessé par la pandémie de COVID-19.
Dans une lettre du 13 juillet adressée au Conseil de sécurité des Nations Unies, Diálogo Intereclesial por la Paz en Colombia (DiPaz), une plateforme interecclésiale pour la paix en Colombie, a demandé à la communauté internationale d’appeler le gouvernement colombien à reprendre la mise en œuvre de l’accord de paix et à renforcer les canaux de dialogue pour résoudre les problèmes sociétaux.
Telle est la question que se sont posée les représentants africains au Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE). Plus de 30 représentants d’Églises et membres du personnel du COE venant d’Afrique se sont réunis dans le cadre de la réunion du comité central du COE qui s’est tenue en ligne du 23 au 28 juin 2021.
Le Conseil œcuménique des Églises, ACT Alliance, la Fédération luthérienne mondiale, la Communion mondiale d'Églises réformées, la Communion anglicane, le Conseil méthodiste mondial, le Conseil épiscopal latino-américain et l'Association mondiale pour la communication chrétienne ont, dans une lettre envoyée le 18 mai, exhorté le président colombien Iván Duque Marquéz à mettre fin à la spirale de la violence qui porte un préjudice terrible à la population civile.
Confrontés à l’une des plus graves crises de santé publique dans le monde, les chrétiens du Brésil maintiennent leur traditionnelle célébration de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens dans la période précédant la Pentecôte. Toutefois, pour la deuxième année consécutive, ils prieront sans se rassembler physiquement.
Du 4 au 6 mai, le séminaire international en ligne «Tragédie brésilienne : un risque pour notre maison commune?» a rassemblé des responsables religieux ainsi que des leaders des droits sociaux et humains et des experts renommés pour analyser de quelle manière le processus de déconstruction de la démocratie qui s’est opéré au Brésil ces dernières années a entraîné le pays dans de nombreuses crises.