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Le secrétaire général du COE, en collaboration avec les Églises des États-Unis, cherche des moyens de renforcer les relations

Une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) menée par le pasteur Pillay, secrétaire général du COE, s’est rendue cette semaine à New York et à Washington, DC. Elle y a rencontré des représentant-e-s des Nations Unies, le nonce apostolique, le Conseil national des Églises d’Amérique du Nord, d’autres responsables d’Églises, des organisations œcuméniques et des représentant-e-s de l’État.

L’Église de Suède et l’Église épiscopale renforcent leur partenariat et la mission commune

«Nos deux Églises partagent plus de 200 ans d’histoire en Europe et aux États-Unis. Cet accord de pleine communion est un signe supplémentaire de la communauté bien-aimée dont nous avons tant besoin de nos jours. Notre partenariat répond à l’enjeu des changements climatiques, soutient les réfugié-e-s et la justice raciale nous engage encore davantage à participer aux efforts œcuméniques mondiaux», déclare le révérend Michael Curry, évêque président et primat de l’Église épiscopale.

L’appel à l’unité des chrétien-ne-s exige «une approche à la fois prophétique et pastorale»

Le pasteur Curtiss Paul DeYoung, codirecteur général du Conseil des Églises du Minnesota, aux États-Unis, a participé à la création d’une équipe d’auteurs et autrices chargée de rédiger les ressources de la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens de cette année. Il revient sur les défis rencontrés et les espoirs partagés lors de la rédaction commune du texte.

À New York, l’esprit des Jeudis en noir fleurit

Si vous vous promenez dans les rues de New York, vous remarquerez peut-être qu’une couleur domine toutes les autres: le noir. Dans cette ville qui compte parmi les capitales internationales de la mode, les habitant-e-s veulent montrer leur audace, leur sens de la mode et à quel point elles et ils sont branché-e-s

 

Uppsala 1968: c’était le temps des changements

Normalement, c’est l’Afrique qui aurait dû être choisie. La première Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’était tenue en Europe (Amsterdam), la deuxième en Amérique du Nord (Evanston, États-Unis) et la troisième en Asie (New Delhi). Il y avait tout lieu d’espérer que l’Afrique serait le prochain continent à accueillir le Conseil. Mais des questions se sont posées au regard des actes de violence et des conflits militaires qui faisaient rage en Afrique durant les années 1960, dans la région du Biafra (Nigeria), à Zanzibar (Érythrée), ou encore en Algérie, au Mozambique et en Rhodésie. C’est ainsi que la Quatrième Assemblée a opté pour la «sécurité» de l’Europe, à Uppsala (Suède). Ironie de l’histoire, les chars soviétiques entreraient dans Prague un mois après la clôture de l’Assemblée.

Le dialogue spirituel en ligne répond à des besoins qui augmentent

En ces temps d’isolement volontaire consécutif aux confinements occasionnés par la pandémie de COVID-19, les retraites œcuméniques en ligne se sont imposées comme des espaces de repli pour le dialogue spirituel. En Suède, depuis la veille de la Pentecôte, se déroule une série de quatre retraites intitulée «Jours de calme», au cours de laquelle les participant-e-s se retrouvent dans un salon virtuel en ligne pour partager un moment de tranquillité et de réflexion. Ces retraites avaient déjà eu lieu l’an dernier, sur le thème «Une demeure spirituelle pour Dieu». Menées par l’évêque luthérienne Karin Johannesson du diocèse d’Uppsala et coanimées par le cardinal catholique romain Anders Arborelius, elles ont été enrichies cette année de sous-titres en anglais pour attirer également un public international.  

En Amérique du Nord, les frontières peuvent-elles devenir des espaces partagés, même dans un contexte de racisme et de division ?

Lors d’une réunion œcuménique des responsables d’églises d’Amérique du Nord le 24 juin, les prières et les discussions ont porté sur des questions à la fois profondément douloureuses et apparemment insurmontables : le racisme, la division, la réticence à se faire vacciner, le génocide et la guerre. Mais l’espoir a fait son chemin dans le rassemblement virtuel, les participants se soutenant mutuellement pour trouver des solutions.