Pendant la pandémie de COVID-19, il est difficile de vivre en isolement chez soi et de voir le nombre de personnes infectées par le virus du COVID-19 et le nombre de morts augmenter. Imaginez ce qu’il en est pour les personnes réfugiées et en mouvement dans le monde.
Le COE met à la disposition de ses Églises membres des ressources et des visages humains pendant la pandémie de COVID-19. Une équipe de huit personnes-ressources a été créée pour répondre aux questions relatives au discernement des Églises sur leur rôle pendant la pandémie de coronavirus, à la manière de s’adapter en tant que communautés d’inspiration religieuse, mais aussi d’interagir et de partager les unes avec les autres.
C’est la saison des confirmations au Groenland. Dans les églises du pays, les rangs de bancs sont décorés de fleurs et de bougies le long de l’allée centrale. Il y a de la joie dans l’air et il est temps, pour une grande majorité des jeunes de 14 ans de voir leur baptême chrétien confirmé.
Notre monde est celui de la migration. Pourtant, les idées reçues et la mystification restent ancrées dans la manière dont nous appréhendons le chemin à parcourir – en particulier concernant les maladies transmissibles telles que le VIH.
Les 20 et 21 février, l’ONUSIDA, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et la Commission internationale catholique pour les migrations accueillent un atelier sur le VIH chez les personnes migrantes et réfugiées.
Cinquante ans après son assemblée à Uppsala (Suède), qui était résolument tournée vers l’engagement public, le Conseil œcuménique des Églises (COE) continue de s’engager et de s’atteler aux questions d’intérêt public et au bien commun.
La Journée mondiale de la santé, le 7 avril, est consacrée cette année au diabète. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier son premier rapport mondial sur le diabète, qui révèle que le nombre d’adultes diabétiques dans le monde a presque quadruplé depuis 1980: 422 millions de personnes sont concernées, soit 8,5 % de la population adulte mondiale.