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Le COE dénonce 50 ans d’occupation des Territoires palestiniens

Cent ans après la déclaration Balfour et cinquante ans après le début de l’occupation israélienne des Territoires palestiniens conquis durant la guerre de 1967, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a déploré la constante incapacité des parties à rechercher une paix juste, observant que cette incapacité à résoudre la situation «entache également de manière indélébile la conscience des membres de la communauté internationale».

La Pentecôte: un moment de prière pour l’unité et la paix juste

La communion et l’unité ressenties par les disciples de Jésus qui priaient ensemble alors que la peur régnait à Jérusalem au moment de la Pentecôte «ont marqué un nouveau début» pour la mission de l’Église, a rappelé le secrétaire général du COE, en Terre Sainte, aux chrétiens du monde entier.

Une œuvre sainte pour la Terre Sainte

Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël (EAPPI) a été lancé par le COE en 2002 en réponse à l’appel des responsables des Églises locales à créer une présence internationale dans ce pays. À ce jour, plus de 1 800 accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques se sont efforcés de créer les conditions d’une paix juste.

Le COE très préoccupé par une loi interdisant l’entrée en Israël à certaines personnes

Aujourd’hui, le Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est déclaré très préoccupé par une nouvelle loi adoptée lundi par la Knesset qui interdirait l’octroi de visas d’entrée aux ressortissants étrangers ayant appelé à un boycott économique, culturel ou universitaire d’Israël ou des colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés. Il semblerait que la «Loi sur l’entrée en Israël» (Refus de visas aux non-résidents ayant sciemment appelé au boycott d’Israël) ne fasse aucune distinction entre le boycott d’Israël à proprement parler et celui des produits des colonies qui sont généralement considérés comme illégaux par le droit international.

L’Évêque Younan, lauréat du Prix de la paix Niwano

Le Prix de la paix Niwano sera remis cette année à l’évêque Munib Younan de l’Église évangélique luthérienne de Jordanie et de Terre Sainte, afin de récompenser son travail en faveur du dialogue interreligieux entre chrétiens, musulmans et juifs à Jérusalem et partout ailleurs.

À Beyrouth, protestants et non-protestants mettent la Réforme à l’honneur

Que signifie le 500e anniversaire de la Réforme en dehors de son berceau européen? Au Moyen-Orient, la Réforme représente un héritage fort, mais aussi l’avenir incertain d’une minorité infime et éclatée. Les Églises de la Réforme restent importantes dans la constellation des groupes chrétiens, disons des chrétiens non évangéliques, qui les appellent à mener des actions œcuméniques s’adressant à des groupes charismatiques et pentecôtistes plus récents.

Une lueur d’espoir pour la justice et la paix en Terre Sainte

Tous les matins, un homme posé et enjoué arrive à son bureau de Jérusalem-Est avec une lueur d’espoir. Bernard Sabella a consacré toute sa vie aux droits du peuple palestinien. À son poste de directeur exécutif du département des services aux réfugiés palestiniens (DSPR), il est quotidiennement confronté à des questions concernant la relation entre Israël et la Palestine. Pourtant, il aimerait juste être un citoyen ordinaire dans le pays où lui et sa famille ont leurs racines, sans être constamment associé au conflit israélo-palestinien qui parfois, d’après lui, ne rend pas justice à son identité de Palestinien.

Tarek Mitri, du Liban : un chrétien dans le monde politique du Moyen-Orient

Tarek Mitri sait que son identité de chrétien influence le regard que les gens lui portent. Cet universitaire libanais, dont la carrière a couvert la politique, la diplomatie et une période passée parmi le personnel du Conseil œcuménique, sait gérer les réactions des gens qui ont des idées toutes faites à propos de ce qu’il va dire, ou devrait dire sur les questions publiques.