Affichage de 1 - 20 de 108

Des mots de ténacité résonnent dans les décombres

«Nous ne quitterons pas Gaza tant qu’il y aura une église debout.»

«Nous ne serons pas les derniers chrétiens à vivre à Gaza.»

«Nous avons tout perdu, mais nous ne perdrons ni notre mission, ni notre appartenance à ce lieu cher à nos cœurs.»

«Le christianisme a commencé ici et restera ici.» 

Tels sont les mots prononcés par Nader Abu Amsha, directeur exécutif du Département du service aux réfugiés de Palestine du Conseil des Églises du Moyen-Orient (DSPR-CEMO), qui tâche simplement de les aider à survivre jusqu’au lendemain. 

Stimmen der Standhaftigkeit inmitten der Zerstörung

„Wir werden Gaza nicht verlassen, so lange dort noch eine Kirche steht.“

„Wir werden nicht die letzten Christen sein, die in Gaza leben.“

„Wir haben alles verloren, aber wir können unsere Mission und unsere Zugehörigkeit zu diesem Ort, der uns so sehr am Herzen liegt, niemals aufgeben.“

„Das Christentum ist hier entstanden, und es wird auch hier bleiben.“  

Diese Worte hört Nader Abu Amsha, Direktor der Abteilung für Soziale Dienste für Palästinensische Geflüchtete des Rates der Kirchen im Nahen Osten (DSPR-MECC), von den Menschen, die er in ihrem Überlebenskampf zu unterstützen versucht.

„Die Menschen wollen ohne Angst und ständige Übergriffe leben“

Máire Ní Mheibhric aus Galway, Irland, war vom 31. August bis zum 7. Oktober als ökumenische Begleitperson in dem Dorf Tubas im Westjordanland im Einsatz. Bereits 2019 war sie in Hebron als ökumenische Begleiterin tätig. Das ökumenische Begleitprogramm in Palästina und Israel des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK) wurde nach einem Appell örtlicher Kirchenleitender ins Leben gerufen, die sich für eine internationale Präsenz im Land eingesetzt haben. Die Begleitpersonen unterstützen die lokale Bevölkerung und die Gemeinschaften, übernehmen durch ihre Präsenz eine Schutzfunktion und werden unmittelbar Zeuge der täglichen Kämpfe und Hoffnungen der dort lebenden Menschen. Ní Mheibhric beschreibt hier, was sie während ihres Einsatzes erlebt hat.

«La population veut vivre sans crainte et sans harcèlement permanent»

Máire Ní Mheibhric est originaire de Galway, en Irlande. Du 31 août au 7 octobre derniers, elle était accompagnatrice œcuménique (AO) à Tubas, un village de Cisjordanie. Elle avait déjà été AO en 2019 à Hébron. Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël (EAPPI) a été créé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) à la demande des responsables des Églises locales, qui réclamaient la mise en place d’une présence internationale dans leur pays. Ce programme accompagne les populations et les communautés locales en assurant une présence protectrice et en témoignant de leurs luttes et espérances quotidiennes. Máire Ní Mheibhric revient ci-dessous sur ce qu’elle a observé sur le terrain.

«L’occupation ne peut durer éternellement»

La pasteure Annica Anderbrant, de Suède, était accompagnatrice œcuménique près de Jérusalem du 31 août au 7 octobre. Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël du Conseil œcuménique des Églises, en réponse à un appel des responsables des Églises locales à créer une présence internationale dans le pays, accompagne les communautés et populations locales et offre une présence protectrice ainsi qu’un témoignage de leurs luttes quotidiennes et de leurs aspirations. Ci-après, la pasteure Anderbrant revient sur ce qu’elle a vu sur le terrain.

Les enfants se sentent en sécurité pour aller à l’école lorsque les Accompagnateurs œcuméniques sont présents

Igor Galvão, du Brésil, a été accompagnateur œcuménique dans la Vieille ville de Jérusalem du 31 août au 7 octobre. Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël du Conseil œcuménique des Églises (COE), fondé sur un appel des responsables ecclésiaux locaux afin d’établir une présence internationale dans le pays, accompagne les populations et les communautés locales, apportant une présence protectrice et témoignant de leurs peines et espérances quotidiennes. Galvão nous livre ses réflexions sur ce dont il a été témoin sur le terrain et sur le travail à accomplir.

Kinder fühlen sich auf Schulweg sicher, wenn ökumenische Begleitpersonen da sind

Igor Galvão aus Brasilien war vom 31. August bis 7. Oktober als ökumenische Begleitperson in der Altstadt von Jerusalem tätig. Das Ökumenische Begleitprogramm in Palästina und Israel (EAPPI) des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK), das auf die Bitte der örtlichen Kirchenleitungen, eine internationale Präsenz in dem Land zu schaffen, hin ins Leben gerufen wurde, begleitet Menschen und Gemeinwesen vor Ort; es bietet ihnen durch die internationale Präsenz Schutz und vermittelt ihnen das Gefühl, mit ihren alltäglichen Probleme und Hoffnungen nicht allein zu sein. Im Folgenden spricht Galvão über das, was er vor Ort erlebt hat, und über die anstehende Arbeit.

„Besetzung kann nicht ewig dauern“

Pastorin Annica Anderbrant aus Schweden war vom 31. August bis 7. Oktober in der Nähe von Jerusalem als ökumenische Begleitperson im Einsatz. Das Ökumenische Begleitprogramm in Palästina und Israel (EAPPI) des Ökumenischen Rates der Kirchen (ÖRK), das auf die Bitte der örtlichen Kirchenleitungen, eine internationale Präsenz in dem Land zu schaffen, hin ins Leben gerufen wurde, begleitet Menschen und Gemeinwesen vor Ort; es bietet ihnen durch die internationale Präsenz Schutz und vermittelt ihnen das Gefühl, mit ihren alltäglichen Probleme und Hoffnungen nicht allein zu sein. Im Folgenden berichtet Anderbrant über das, was sie vor Ort erlebt hat.

Un conseiller de l’ONU recommande la vigilance pour éviter des situations comme le génocide au Rwanda ou la guerre en Ukraine

Il faut faire preuve de vigilance pour aider les peuples à s’accepter mutuellement, et ainsi éviter des aberrations telles que le génocide au Rwanda en 1994 et la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine. Tel est le message qu’un conseiller spécial de l’ONU a transmis à un groupe réunissant des jeunes de religion chrétienne, juive et musulmane.

Geistige Wegzehrung bekommen wir, „wenn wir Menschlichkeit praktizieren“, sagt Mama Shamsa

Eine Frau, die mit jungen Menschen in Kenia arbeitet – meistens junge Männer, die einmal schreckliche Verbrechen begangen haben –, hat eine Gruppe junger Menschen christlichen, jüdischen und muslimischen Glaubens zu Tränen des Mitgefühls und der Freude gerührt, als sie über ihre harte Erziehung berichtete und wie sie junge Erwachsene dabei unterstützt, der Gewalt zu entsagen und sich der Gemeinschaft zuzuwenden.

Pour Mama Shamsa, l’humanité nourrit la spiritualité

Une femme qui travaille avec des jeunes au Kenya — des jeunes qui jadis ont perpétré des crimes odieux — a fait fondre en larmes un groupe de jeunes chrétiens, juifs et musulmans; des larmes de compassion et de joie suscitées par son parcours marqué par une éducation dure et ses efforts pour détourner ces jeunes de la criminalité et les réinsérer dans la communauté.