Le COE s’est joint à plus d’une trentaine de responsables de religions mondiales et d’organisations d’inspiration religieuse pour lancer un appel à l’action visant à mettre un terme à l’extrême pauvreté avant 2030, conformément à l’objectif fixé par le Groupe de la Banque mondiale.
Le COE et l’Alliance œcuménique «Agir ensemble» (EAA) sont convenues de réintégrer l’EAA comme projet du COE, préservant ainsi l’avenir de ce réseau chrétien diversifié spécialisé dans les actions internationales sur des thèmes choisis et spécifiques.
Des représentants des Nations Unies et du COE sont convenus que la communauté internationale et les responsables religieux doivent coopérer davantage pour lutter contre Ebola.
En réaction à la crise d’Ebola, le COE a réuni des représentants d’organisations d’entraide et des Nations Unies afin de stimuler l’apprentissage mutuel.
Tandis que des centaines de milliers de gens défilaient dans les rues de New York pour réclamer des mesures face aux changements climatiques, trente dignitaires représentant neuf religions apposaient leur nom à une déclaration appelant à agir concrètement pour limiter les émissions de carbone.
Sur fond de tensions internationales souvent alimentées par les religions, un groupe composé de jeunes chrétiens, musulmans et juifs a constitué une communauté multireligieuse. Dans le cadre d'un cours d'été interreligieux organisé sous l'égide du COE, cette communauté veut œuvrer à la protection de la création, une préoccupation qui, selon eux, est partagée par toutes les traditions religieuses.
Inspiré par le thème du «pèlerinage de justice et de paix», le Comité central du COE, principal organe directeur du COE, a défini les orientations des activités du Conseil pour la période 2014-2017.
Le gouffre qui sépare les nantis des démunis ne cesse de se creuser partout dans le monde et les Églises doivent en faire davantage pour assurer la justice économique à toutes et à tous. Ce constat a servi de base aux discussions d’une plénière qui s’est tenue le 5 juillet lors de la session du Comité central du COE à Genève.
Le Cameroun est un pays où la prévalence du VIH et du sida est élevée, d'après un rapport de l'ONUSIDA. Que font les Églises dans ce pays pour aider à guérir les communautés confrontées à cette maladie? Comment la théologie chrétienne inspire-t-elle la guérison et comment lutte-t-elle contre la discrimination qui rend les femmes plus vulnérables à la pandémie de VIH?
À partir du lundi 3 mars, la campagne des «Sept semaines pour l'eau» invite les Églises, les organisations d'inspiration religieuse et les particuliers dans le monde entier à participer à un «pèlerinage vers la justice de l'eau». Ce thème est traité au travers d'une série de réflexions publiées chaque semaine pendant le carême, dans le but de sensibiliser les gens à la problématique de l'accès universel à l'eau et à l'assainissement.
Les Églises du Togo ont engagé une lutte décisive contre le VIH et le sida. Les minorités sexuelles, qui sont extrêmement vulnérables à la pandémie, ont absolument besoin d'un accompagnement pastoral qui encourage l'accès aux services de prévention du VIH pour sauver leurs vies.
Des fidèles des églises d'Onex, en Suisse, se sont rassemblés près de Genève pour célébrer l'eau, création de Dieu, et réfléchir aux difficultés auxquelles sont confrontés les gens qui n'ont pas un accès adéquat à cette ressource pourvoyeuse de vie. Leur réunion s'est tenue une matinée pluvieuse au bord de l'étang des Mouilles le dimanche 15 septembre.
Une déclaration publiée lors d'un colloque du COE appelle les Églises, les pouvoirs publics et les Nations Unies à garantir l'accès universel à l'eau, à l'assainissement et à l'hygiène, ainsi qu'à faire de l'accès à l'eau une priorité pour l'après-2015.