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«Les cloches de Noël ne sonneront pas à Mossoul» cette année encore, affirme un prêtre assyrien

Le père Emanuel Youkhana déplore que, pour le troisième Noël d’affilée, les cloches de l’église ne retentiront pas à Mossoul. Aux alentours de juin 2014, raconte-t-il, les minorités religieuses telles que les yézidis et les chrétiens installés autour de la deuxième ville d’Irak ont commencé à subir les atroces assauts du groupe qui se fait appeler l’État islamique, ou Daesh, en arabe.

Une étude affirme que la diversité religieuse et ethnique est cruciale pour la paix en Irak et en Syrie

Une étude sur les besoins de protection des minorités religieuses et ethniques en Syrie et en Irak, analysant les efforts à mener pour protéger les minorités religieuses et consolider la paix dans la région, a été présentée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Aide de l’Église norvégienne (NCA). Les conclusions de l’étude ont été annoncées le 12 décembre aux médias et au grand public au Palais des Nations, à Genève.

Un colloque conclut que la spiritualité est un élément clef dans le pèlerinage de justice et de paix

«Que se passe-t-il quand on fait un pèlerinage, un pèlerinage de justice et de paix, avec des personnes qui partagent nos valeurs, mais qui n'acceptent pas toujours l'institution de l'Église? Et que signifie être en pèlerinage de justice et de paix lorsque la génération suivante partage nos préoccupations concernant la justice et la paix et veut suivre Dieu, mais ne partage pas notre spiritualité telle qu'elle est délimitée par l'Église et par la tradition?»

À Assise, les responsables religieux parlent de paix

Cette semaine, à Assise, des responsables musulmans, juifs, hindous, chrétiens et bouddhistes se sont réunis pour parler de paix, tandis que de l’autre côté de l’Atlantique, à New York, les leaders politiques du monde entier, rassemblés aux Nations Unies, discutaient d’un monde agité.

Un séminaire sur l’engagement des jeunes, la religion et la violence

Quarante jeunes provenant de quatorze pays différents se sont réunis la semaine dernière au Caire à l’occasion d’un séminaire intitulé «Engagement des jeunes, religion et violence». Du 18 au 22 août, des participantes et participants venus d’Europe, d’Afrique, d’Asie et du Moyen-Orient se sont penchés sur des thèmes tels que l’influence du discours religieux en tant que contribution à la consolidation de la paix et générateur de tensions violentes.

Des responsables d’Église d’aujourd’hui et de demain se réunissent à l’École GEM pour dessiner une architecture financière et économique nouvelle

Le monde actuel est régi par un système économique s’appuyant sur la surconsommation et la cupidité et il est grand temps de changer ce paradigme en œuvrant pour une nouvelle architecture financière et économique. Le COE réunit en ce moment à Hong Kong, en collaboration avec la CMER, la toute première École œcuménique de gouvernance, d’économie et de gestion pour une économie de la vie.

Une plénière sur les enfants au comité central du COE

Une séance plénière sur le soutien des communautés religieuses aux droits des enfants, et un premier projet de déclaration à propos des «principes à l’intention des Églises respectueuses des enfants» ont mobilisé l’attention du comité central du COE le 27 juin. Ce document sera encore révisé et soumis à nouveau à la prochaine réunion du comité exécutif du COE.

Secrétaire général du COE: «La religion peut-elle apporter l’espérance à l’humanité d’aujourd’hui?»

Le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), participait le 4 mai dernier à un séminaire sur le développement durable à Rome. Dans une réflexion sur la pertinence de la religion dans le monde d’aujourd’hui, il a interrogé les participants: «La religion peut-elle apporter l’espérance à l’humanité d’aujourd’hui?»

Les appels à la paix prennent de l'ampleur au Burundi

À l'occasion d'une visite de solidarité au Burundi du 1er au 4 mars, le COE et la Conférence des Églises de toute l'Afrique ont envoyé un «message de paix», invitant tous les acteurs du Burundi à promouvoir l'unité nationale, la guérison et la réconciliation.