Dans une déclaration, le Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) a réitéré que la guerre est contraire à la volonté de Dieu, affirmation fondamentale, et a appelé à un cessez-le-feu immédiat dans le monde, impératif moral incontournable.
Dans une déclaration commune, le Conseil œcuménique des Églises, la Conférence des Églises de toute l’Afrique, la Communauté des Églises et conseils chrétiens de la région des Grands Lacs et de la Corne de l’Afrique et l’Alliance ACT ont fait part de leurs vives inquiétudes concernant la violente aggravation des hostilités au Soudan, en particulier les récentes attaques des Forces de soutien rapide contre la ville de Port-Soudan. Des agissements qu’ils ont fermement condamnés.
Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, s’est dit profondément choqué par les récentes attaques dans la région du Darfour du Nord, et plus particulièrement par les assauts menés contre les camps de Zamzam et d’Abu Shouk et contre la ville d’El Fasher.
Dans une déclaration, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a dénoncé les combats en cours au Soudan et a exhorté à la solidarité et à l’aide en faveur de la population et des Églises.
Dans sa déclaration sur le Soudan, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) met l’accent sur les personnes vulnérables dans le contexte de la guerre: les femmes, les enfants et les groupes minoritaires.
En proie aux conflits et aux souffrances, le Soudan entrevoit une lueur d’espérance lors d’une visite œcuménique internationale de solidarité du 18 au 23 avril.
Le 20 avril, une délégation œcuménique menée par le président du Conseil œcuménique des Églises pour l’Afrique, Sa Sainteté le pasteur Rufus Okikiola Ositelu de l’Église du Seigneur (Communauté de la prière) dans le monde, s’est entretenue avec le président soudanais, le général Abdel Fattah Al-Burhan.
Le pasteur Kenneth Mtata, directeur de programme du Conseil œcuménique des Églises pour le témoignage public et la diaconie, revient du Soudan avec un «cœur brisé» après avoir été témoin de la situation critique que vit la population. Il espère néanmoins voir aboutir un pacte pour la paix qui mettrait fin aux souffrances.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a conduit une délégation qui s’est rendue au Soudan du 18 au 22 avril. Ce groupe œcuménique rassemblait le COE, la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA), l’Alliance ACT, l’Association des conférences épiscopales membres d’Afrique de l’Est (AMECEA), la Communauté des Églises et conseils chrétiens de la région des Grands Lacs et de la Corne de l’Afrique (FECCLAHA), le Conseil général des ministères globaux de l’Église méthodiste unie et l’Aide de l’Église norvégienne.
Le Conseil œcuménique des Églises figurait parmi les organisations œcuméniques sises en Afrique et les partenaires internationaux qui ont signé une déclaration conjointe sur le Soudan, le 24 juin.
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE), dans une déclaration publique, appelle à cesser de manière permanente les hostilités au Soudan, dont la population fait face à une catastrophe humanitaire après des semaines d’intenses combats entre l’armée soudanaise et les Forces de soutien rapide paramilitaires.
Dans une lettre pastorale aux Églises et aux partenaires œcuméniques au Soudan, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a transmis ses prières de paix pour le peuple en souffrance.
Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa vive inquiétude face à la catastrophe humanitaire en cours au Soudan et a appelé à la fin des hostilités.
Le 19 avril, lors de la prière de midi, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a appelé le monde à faire preuve de solidarité avec la population soudanaise, alors qu’en raison de l’exacerbation du conflit, nombre d’innocent-e-s se luttent désormais pour survivre.
Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa profonde tristesse face à l’exacerbation soudaine du conflit entre les Forces armées soudanaises et les Forces de soutien rapides.
Dans une déclaration, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a affirmé son soutien en faveur des Églises du Soudan dans leur témoignage et leur ministère. Il s’y félicite d’une visite de solidarité œcuménique au Soudan du 20 au 25 avril effectuée conjointement par le COE, la Conférence des Églises pour toute l’Afrique et la Communauté fraternelle des Conseils et des Églises chrétiens dans la région des Grands Lacs et de la Corne de l’Afrique.
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises a exprimé dans une déclaration publique sa vive inquiétude face à la récurrence de coups d’État militaires en Birmanie (Myanmar) et au Soudan.
«Le peuple de la République du Soudan mérite la justice, la paix et la démocratie», a commenté le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), alors que des manifestations de grande ampleur se poursuivent à Khartoum malgré le couvre-feu imposé par les autorités militaires.
Le Conseil œcuménique des Églises, l’Alliance évangélique mondiale et la Conférence des Églises de toute l’Afrique, ainsi que des organisations humanitaires chrétiennes, des réseaux d’Églises, des organisations ecclésiales et leurs partenaires encouragent les congrégations religieuses du monde entier à célébrer, le 10 juin prochain, la deuxième «Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine».
«L’apatridie rend invisible aux yeux des autorités nationales la vulnérabilité des personnes face aux abus ou à la négation de leurs droits. En cela, le droit à une nationalité est un enjeu fondamental pour l’accès à la protection de tous les autres droits humains. Il s’agit presque d’un "droit d’avoir des droits"», a déclaré Peter Prove, directeur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du COE, après un atelier régional de formation traitant de l’enregistrement des naissances et des lois sur la nationalité qui entraînent une discrimination en fonction du sexe. Cet atelier était organisé par le COE à Addis-Abeba (Éthiopie) du 11 au 13 mai.