À l'approche des négociations dites de «Genève 2» le 22 janvier, une trentaine de responsables d'Église de Syrie et du monde entier se sont réunis à une semaine de l'échéance au siège du COE à Genève, où ils ont appelé à ce que des mesures concrètes soient prises lors des négociations visant à mettre fin au conflit armé en Syrie.
La politisation de la religion, les droits des minorités religieuses et des apatrides, la paix et la réunification de la péninsule coréenne et la paix juste ont été les sujets des déclarations publiques adoptées par la 10e Assemblée du COE à Busan, République de Corée.
La 10e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises, réunie à Busan, République de Corée, a pris fin le 8 novembre en exprimant sa volonté d'inciter les Églises à renouveler leur engagement en faveur de la justice et de la paix. Grâce à de multiples rencontres et dialogues au sein de la communauté des Églises, l'Assemblée a pris des décisions concrètes et formulé des recommandations qui détermineront les priorités des activités à venir du COE.
Des responsables d'Église de Syrie, de Russie, des États-Unis et de plusieurs pays européens ont plaidé la cause d'une solution politique comme seule issue vers la paix en Syrie. Leur position a été exposée dans un communiqué rendu public après leur réunion avec Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies, et Lakhdar Brahimi, représentant conjoint de la Ligue arabe et de l'ONU pour la Syrie.
Le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), a encouragé une transformation pacifique et participative du système politique égyptien. Il a en outre exprimé sa «profonde inquiétude» vis-à-vis de l'escalade de la violence dans le pays.