Le monde est confronté à une crise alimentaire mondiale sans précédent exacerbée par la guerre en Ukraine mais l'humanité peut et doit prendre des mesures correctives en matière de justice économique et climatique, a-t-on entendu lors d'une réunion animée par le Conseil œcuménique des Églises.
El viernes por la tarde, cuando los líderes de los Estados del G20 se reúnan en Hamburgo para debatir asuntos económicos, sociales, medioambientales y políticos mundiales, las iglesias de Alemania invitan a los habitantes de Alemania y del mundo entero a una oración común por la paz.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.
Les changements climatiques posent de sérieux défis au niveau de l’approvisionnement alimentaire, tant présent que futur. Ce sont les communautés les plus pauvres, dont l’empreinte carbone est la plus modeste de la planète, qui doivent affronter les plus graves effets de ces changements. Depuis plusieurs années, le droit à la nourriture constitue un problème crucial et une priorité pour de nombreux milieux, dont les Églises et les délégations œcuméniques, qui participent aux débats sur le climat.
Les pertes et dommages engendrés par le climat sont l’un des points phares qui ont été soulevés par les groupes religieux pendant la COP21. Un panel de discussion et une manifestation qui se sont tenues à la COP21 début décembre ont exposé de nombreux aspects de cette question.
Plus de 20 chefs religieux réunis à la COP21 se sont assis en compagnie de jeunes et de représentants de la vie politique et civile à l’occasion d’un déjeuner bien particulier, où seuls les couteaux et fourchettes figuraient au menu, lors d’une manifestation publique destinée à montrer leur faim pour une justice climatique.