À l’occasion d’une audience accordée chaque année durant la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, l’évêque Bo-Göran Åstrand de l’Église évangélique luthérienne de Finlande a offert au pape François une paire de gants, décrite comme «un modeste présent pour réchauffer les mains du pape dans un monde froid par ailleurs».
En visite à Rome le 23 mars pour rencontrer le pape François, une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Église catholique romaine se sont engagées à cheminer, prier et travailler ensemble au service de la justice, de la réconciliation et de l’unité.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises se rendra à Rome les 22 et 23 mars pour rencontrer le pape François et d’autres dirigeants catholiques romains.
De nombreux exemples du travail promu par les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) en Italie pour aider les réfugiés et les migrants ont été le point fort des premiers jours de la visite de la délégation du COE dans la région cette semaine.
La plupart des initiatives ayant fait l’objet d’une visite sont dirigées par des femmes.
Le 20 janvier dernier, le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, a évoqué ses réflexions dans le cadre d’une discussion organisée par l’Institut d’études œcuméniques de l’Université Pontificale Saint-Thomas-d’Aquin de Rome, autour du thème « La pandémie, le Conseil œcuménique des Églises, et la santé mondiale ».
Devant la Communauté de Sant’Egidio à Bologne, en Italie, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le Pasteur Olav Fykse Tveit a parlé de « La pauvreté et l’inégalité en ces temps de changement climatique ».
Ce jour, les participants à la conférence «La xénophobie, le racisme et le nationalisme populiste dans le contexte de la migration mondiale» ont publié un message qui affirme et soutient l'institution de l'asile pour celles et ceux qui fuient la guerre, les persécutions ou les catastrophes naturelles. En outre, il invoque le respect des droits de toutes les personnes déplacées.
Il a fallu un certain temps pour qu’une paroisse italienne apprenne à vivre ensemble malgré une grande diversité culturelle. Cela s’est fait grâce à la conviction de son pasteur pour qui le travail interculturel est une expression de l’unité chrétienne.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.
Cette semaine, à Assise, des responsables musulmans, juifs, hindous, chrétiens et bouddhistes se sont réunis pour parler de paix, tandis que de l’autre côté de l’Atlantique, à New York, les leaders politiques du monde entier, rassemblés aux Nations Unies, discutaient d’un monde agité.
À l’issue d’une conférence de haut niveau sur la crise des réfugiés en Europe, organisée par le COE et des agences onusiennes au Centre œcuménique de Genève les 18 et 19 janvier, une déclaration a été produite, intitulée «La réponse de l’Europe à la crise des réfugiés et des migrants – Départ, transit, accueil et refuge: un appel au partage des responsabilités et à la coordination des actions».
Le 14 décembre à Rome, lors de la prière du soir de Sant' Egidio, en l'église Santa Maria in Trastevere, le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, a proposé une méditation pour célébrer l'amour et l'espérance en cette période de l'Avent, évoquant plus particulièrement la détresse des milliers de réfugiés et les diverses réactions à la Conférence sur le climat de Paris.
Dans le contexte de l’actuelle crise des réfugiés, les Églises sont encouragées à intensifier leurs efforts afin de mieux recevoir, soutenir et protéger les réfugiés et réfugiées qui arrivent dans la région. Cet appel a été lancé dans une lettre publiée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE), la Conférence des Églises européennes (KEK) et la Commission des Églises auprès des migrants en Europe (CEME).
Le COE a salué la publication de l’encyclique «Laudao Si’» du pape François, qui met en lumière l’action que mènent depuis des décennies Églises et organisations œcuméniques en faveur de la Terre et de la justice climatique.