À l’occasion d’une audience accordée chaque année durant la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, l’évêque Bo-Göran Åstrand de l’Église évangélique luthérienne de Finlande a offert au pape François une paire de gants, décrite comme «un modeste présent pour réchauffer les mains du pape dans un monde froid par ailleurs».
En visite à Rome le 23 mars pour rencontrer le pape François, une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) et l’Église catholique romaine se sont engagées à cheminer, prier et travailler ensemble au service de la justice, de la réconciliation et de l’unité.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises se rendra à Rome les 22 et 23 mars pour rencontrer le pape François et d’autres dirigeants catholiques romains.
De nombreux exemples du travail promu par les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) en Italie pour aider les réfugiés et les migrants ont été le point fort des premiers jours de la visite de la délégation du COE dans la région cette semaine.
La plupart des initiatives ayant fait l’objet d’une visite sont dirigées par des femmes.
Ce jour, les participants à la conférence «La xénophobie, le racisme et le nationalisme populiste dans le contexte de la migration mondiale» ont publié un message qui affirme et soutient l'institution de l'asile pour celles et ceux qui fuient la guerre, les persécutions ou les catastrophes naturelles. En outre, il invoque le respect des droits de toutes les personnes déplacées.
À l’occasion d’une conférence mondiale sur la xénophobie organisée à Rome, un panel de quatre responsables religieux respectivement de tradition bouddhiste, chrétienne, hindoue et islamique, se sont exprimés ouvertement sur la manière dont la xénophobie peut parfois être profondément ancrée dans le tissu de ces traditions.
L’Institut œcuménique de Bossey, qui recevra la visite du pape François le jeudi 21 juin, dans le cadre de son pèlerinage au Conseil œcuménique des Églises à Genève, est un atelier d’idées, où l’avenir de l’unité des chrétiens se dessine.
Il a fallu un certain temps pour qu’une paroisse italienne apprenne à vivre ensemble malgré une grande diversité culturelle. Cela s’est fait grâce à la conviction de son pasteur pour qui le travail interculturel est une expression de l’unité chrétienne.
Les responsables du Groupe mixte de travail de l’Église catholique romaine et du Conseil œcuménique des Églises (GMT) se sont réunis du 24 au 27 mai à Târgoviște, en Roumanie, pour discuter de la coopération relative à l’engagement en faveur de la paix ainsi que du défi et des possibilités que représentent les personnes migrantes et réfugiées.
Cette semaine, à Assise, des responsables musulmans, juifs, hindous, chrétiens et bouddhistes se sont réunis pour parler de paix, tandis que de l’autre côté de l’Atlantique, à New York, les leaders politiques du monde entier, rassemblés aux Nations Unies, discutaient d’un monde agité.
Des représentants des principales organisations œcuméniques internationales se sont rendus en Hongrie du 25 au 29 septembre afin de consolider les efforts pour soutenir les réfugiés en Europe et au Moyen-Orient.
Dans le contexte de l’actuelle crise des réfugiés, les Églises sont encouragées à intensifier leurs efforts afin de mieux recevoir, soutenir et protéger les réfugiés et réfugiées qui arrivent dans la région. Cet appel a été lancé dans une lettre publiée conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE), la Conférence des Églises européennes (KEK) et la Commission des Églises auprès des migrants en Europe (CEME).
Réunie du 17 au 24 juin, la nouvelle Commission de Foi et constitution du COE a commencé à définir ses principaux axes d’étude œcuménique et d’activités communes pour la période allant de 2015 à la prochaine Assemblée du COE, en 2020.